Walking Dead, Tome 10 : Vers quel avenir ?

Un bon tome, l'arrivée de la horde est impressionnante, Rick est de plus en plus dingue, un nouveau personnage rejoins le groupe.

Les dessins comme d'habitude sont bon mais sans être superbes, vraiment une colorisation n'aurait pas fait de mal.

Côté scénario on s'éloigne un peu plus de la série (à part quelques détails) et ce n'est pas pour me déplaire !!

Je me demande si je suis blasée. Plus rien ne m'étonne. Même la nouveauté de ce Tome (la horde) n'en est pas vraiment une puisqu'il en a déjà été question dans le précédent.
C'est un éternel recommencement : dès qu'une solution est trouvée un nouveau problème apparaît.
En même temps il me reste quelques volumes à lire et il faut bien qu'il y ait quelque chose à y raconter

Les jours se succèdent mais ne se ressemblent pas (ou presque) dans Walking Dead . Un jour, les personnages regagnent de l'espoir, le lendemain tout s'effondre. Les deux petits groupes, après s'être rejoins, continuent leur route ensemble,et bien sûr ça amène quelques tensions et beaucoup d'interrogations. Ils se jaugent, mais on se rendra vite compte que tant de temps au milieu des morts vivants crée forcément des poins communs. On a donc le droit dans ce tome a quelques témoignages émouvants, on apprend à connaître ces trois nouveaux personnages : Abraham, Eugene et Rosita. Il y a aussi des retrouvailles et des zombies, beaucoup de zombies... Un tome emplit de nostalgie, d'émotion, d'action et de suspens, bref la recette parfaite qui fait le succès de cette série depuis ses débuts.

Dans ce dixième épisode de Walking Dead, Rick est en train de former un nouveau groupe qui doit aller vers Washington. Mais certains éléments en ont assez de bouger et de fuir.
Dans cet album, nous retrouvons les personnages toujours plus en proie à leur douleur. Cela va de la tentative de suicide jusqu'aux confidences les plus sordides. Il est souvent question des enfants dans cet épisode. Les enfants que l'on protège, vivants ou... morts. Il est difficile de se faire une idée des nouveaux personnages mais ils semblent que Rick et ses amis leur fassent confiance.
Le scénario s'est un peu tassé et il faudrait un sacré coup de fouet pour relancer l'histoire qui veut s'enliser. Il est dommage que les personnages disparaissent aussi facilement mais c'est l'univers violent qui le veut. Heureusement que nous pouvons nous attacher à quelques personnages apparus dans les deux premiers albums.
Le dessin est du même niveau que le scénario, moyen. Il y a des cases bien travaillées, mais malheureusement, la majeure partie de l'album semble avoir été bâclée.
On suit encore...
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C'est un des tomes les plus noirs de la série jusqu'à présent. SPOILER... giga maximus devant...

D'abord il montre un cauchemar de Rick dévoré par Lori, qui atteste de sa culpabilité toujours bien présente. Ensuite, Maggie se pend mais se rate. Puis on a l'antagonisme entre Rick et Abraham, un militaire qui n'est pas tout à fait clair dans sa tête.

Le groupe trouve un petit coin sympa, mais Rick insiste pour aller à l'armurerie de son poste de police, un aller-retour de 400 kilomètres. Ils sont trois, Abraham, Rick et Carl et tombent sur des bandits en chemin. Rick leur règle leur compte de manière sauvage sous le regard de Carl... La relation père-fils entamée dans le tome 9 bat un peu de l'aile. Abraham et Rick en profitent pour se révéler leur zone d'ombre mutuelle.

Dale commence à refuser l'autorité de Rick et refuse que l'humanité s'envole peu à peu. Il a peur de ce que devient Rick. De son côté, il retrouve Morgan, rencontré lors du premier tome. Son fils est devenu un rôdeur. Plutôt que de l'abattre, il le libère mais ne l'avoue à personne. En rentrant, ils croisent une meute qui les poursuit jusqu'au campement nouvellement installé.

Nouveau motif de rancoeur de Dale à l'encontre de Rick... Clairement Dale a raison, et Rick est certainement le personnage qui, en 2 tomes, a le plus perdu de son humanité et de son sens commun. Il régresse sous prétexte de défendre Carl, sa dernière famille.

Côté illus, on est face à un dessin de plus en plus efficace. Les doubles pages sont vraiment impressionnantes. Les plans rapprochés très convaincants. Cela dit, parfois le mouvement n'est pas super rendu. Par exemple, les chevaux sont assez statiques.

Un peu déçue par ce 10ème tome, qui ne raconte pas grand chose : on est toujours dans l'après-prison, nos survivants font route vers Washington, il leur arrive plein de petits évènements plus dramatiques qu'heureux, mais rien qui fasse évoluer le chmilblick. Site au prochain numéro...

Des tensions naissent entre Abraham et Rick, comme Maggie décide de faire le grand saut mais in extremis ne va pas vers la lumière. A l'occasion d'une excursion pour récupérer du matériel dans l'ancienne ville de Rick, les fortes têtes se rendent compte qu'elles sont plus semblables que de prime abord, leur côté sombre sert de nobles intentions. Ils font une rencontre inoppinée d'une vieille connaissance qui a un peu perdu la tête. En rentrant, une horde de copains affamés les suivent ce qui force le groupe à migrer en vitesse une fois encore. Mais vers quel avenir ?

Un tome assez rythmé où les tensions s'exacerbent, les fortes personnalités portent les âmes et permettent d'avancer. Même les plus jeunes se laissent aller à ce caractère mortifère ambiant. Certaines personnes commencent à en avoir assez, une mutinerie en perspective ? L'apparition d'une nouvelle sorte de zombies (la horde) laisse augurer des lendemains bien sombres.

Rick est maintenant en route pour Washington avec d'autres survivants. L'espoir bien mince de trouver de l'aide là-bas le pousse à voyager vers la capitale. le groupe formé de vieilles connaissances et de plusieurs nouvelles têtes a un peu de mal à cohabiter. La tension monte d'autant plus que vivre en nomade dans ce monde dangereux n'est pas de tout repos. Chacun doit faire face au stress constant et la santé mentale des rescapés est mise à rude épreuve. Comment trouver la force de continuer ? À quel point faut-il abandonner son humanité pour survivre dans cet enfer ? Voilà le véritable enjeu de cet épisode.

Je pensais que l'arrivée du trio atypique et leur départ pour Washington allaient insuffler du renouveau, mais pour l'instant, il n'en est rien tant les personnages s'empêtrent dans leurs introspections. Je sais que cette réserve est étrange venant de ma part, vu que depuis le début, c'est justement cet aspect psychologique très poussé qui m'intéresse le plus, mais là, j'ai l'impression que l'on tourne un peu en rond avec une nouvelle tentative de suicide, les hallucinations récurrentes de Rick, la relation explosive entre les deux mâles dominants du groupe, la contestation -encore ! - du leadership de Rick ...!

Certains survivants, blasés ou cruellement lucides, ont fini par accepter la résurgence de leur animalité ainsi que la disparition de toute barrière morale dans le but de survivre et de protéger les leurs face à des concitoyens encore plus inhumains qu'eux.

Or, cette perte de repères a également frappé les enfants qui ont définitivement perdu leur innocence.
D'ailleurs, à la fin de ce tome, l'un des jumeaux a un comportement inquiétant, qui nous fait redouter ses futures réactions.

Concernant les zombies, nous rencontrons pour la 1ère fois le phénomène de la horde, décrit par Abe dans le tome précédent. de plus, nous apprenons que la faim peut les affaiblir (à moins que ce ne soit une sorte de maladie ?!?^^)...

Point positif de cet album : on retrouve un personnage du 1er tome, qui rejoint le groupe, même s'il paraît mentalement salement ébranlé (comprenez aussi taré que Rick !^^)

Concernant les dessins, cela fait un moment que je n'en ai plus parlés, mais c'est parce que je me suis faite une raison et que la prochaine fois que j'y ferai allusion, ce sera pour souligner une amélioration notable(on y croit !^^) !

Pour conclure, je dois avouer que j'ai à nouveau éprouvé un coup de mou à la lecture de ce tome comme pour Vengeance. Pourtant, les scènes choc s'enchaînent sans ennui, et certaines sont vraiment poignantes tout en nous faisant ressentir à quel point les personnages ont atteint un point de non retour dans ce monde sans espoir ! Et l'humour, salvateur, est toujours présent... Mais ce sont surtout les répétitions, inéluctables à ce genre de série, qui m'ont sauté aux yeux... Peut-être devrais-je enchaîner moins rapidement les tomes (bon, c'est raté pour cette fois car j'ai emprunté le tome 11 en même temps que celui-là)...? En même temps, vu que la saison 5 a commencé, je sens que je ne vais pas avoir la patience d'attendre sa sortie sur nos écrans...
Lien : http://parthenia01.eklablog...

Dans un monde en pleine décomposition, comment les gens réagissent ?
Dans ce tome, les auteurs s'interrogent sur la sauvagerie qui ne manque pas de s'exprimer lorsque les tabous de la société disparaissent. Rick Grimes est amené à défendre Carl, mais il fait preuve d'une telle violence qu'il en est traumatisé. Abraham en profite pour lui raconter soin histoire, qui fait comprendre à Rick que dans ce monde, les mêmes normes ne peuvent plus s'appliquer.
Le "morale" défendue par les auteurs est discutable, mais la narration est efficace. Cela permet de passerr malgré tout un bon moment.