Sous la porte qui chuchote

L'angoisse est ... une trahison, celle de mon cerveau et de mon corps ligués contre moi.

Il préférait l'acier et les coups de klaxon, les sons d'une ville qui ne dormait jamais. Le bruit signifiait qu'il n'était pas seul, où qu'il se trouve. Ici, le silence semblait dévorant, oppressant.

Wallace eut un curieux élan de tendresse pour lui, une chaleur qui lui était étrangère. C’était… bizarre, ce sentiment. Il ne se rappelait pas la dernière fois où il s’était soucié d’un autre que lui-même. Il ne savait pas quel genre d’individu ça faisait de lui.

Cette vie n’est pas toujours facile. Jour après jour, nous sommes entourés par la mort. Soit vous vous en accommodez, soit ça vous détruit.

Nous empruntons des chemins différents, mais la mort ne fait pas de discrimination.
Elle vient pour tout le monde. C’est ce que vous en faites qui vous distingue.

Il est plus facile de laisser tomber que de se relever. Mais ceux qui réussissent ont la possibilité de faire un pas de plus, de passer à ...

C'est ce que vous faites pour vous en sortir qui compte le plus.

Il y a de la beauté dans la mort. Elle nous échappe, parce que nous ne voulons pas la voir. Et c'est logique. Pourquoi aurions-nous envie de prêter attention à quelque chose qui nous ravira à tout ce que nous connaissons ? Comment pourrions-nous seulement envisager que notre vision du monde est au mieux partielle ?

Il prend la mort plutôt bien, observa Hugo, toisant Wallace de la tête aux pieds. D'habitude, ça crie, ça hurle et ça menace. J'aime bien quand ils lancent des menaces.

"Vous êtes dur à l'extérieur, mais à l'intérieur, vous êtes un chamallow", dit-elle.
Il ne s'était jamais senti aussi insulté de toute sa vie.