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Critiques filtrées sur 4 étoiles  
On est bien loin de l'Alabama paisible de Forrest Gump dans Un fruit amer, de Nicolas Koch, mais plutôt dans une totale immersion dans le sud profond et ségrégationniste des années 60. Là où les noirs baissent encore le regard et la tête devant les blancs en marchant dans la rue ; là où la loi fédérale ne s'impose pas par rapport aux principes et usages locaux ; là où le Klan bien qu'interdit, poursuit sans relâche sa croisade raciale misérable.

Ces particularismes sudistes locaux, Dwayne Olsen jeune agent du FBI va rapidement les découvrir lorsqu'il débarque dans le comté de Woodbridge au début de l'été 1963 pour enquêter sur le meurtre de Meredith Clarence, jeune femme sauvagement violée puis assassinée. Shérif local corrompu, seconds couteaux pourvus de davantage de muscles que de cerveaux, journaliste local à l'appui opportun, jeune et jolie avocate… Nicolas Koch convoque tous les classiques de base du thriller américain, mais ça fonctionne plutôt bien !

Car il réussit habilement à faire cohabiter son intrigue dans le contexte historique de l'époque, sans la noyer -comme malheureusement tant d'autres- dans une abondance de détails inutiles. 1963, l'année des grandes marches des luttes raciales, de la montée en puissance du pasteur Luther King, de la toute puissance de Hoover, des derniers mois de JFK…

Pour un premier roman, Un fruit amer est bien maîtrisé -donc réussi- et, malgré quelques répétitions, constitue une découverte prometteuse.
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Le ton est donné: ségrégation raciale à l'époque du Ku Klux Klan dans les années 60, racisme, différence de classe sociale, xénophobie... Il y a ceux qui exècrent les noirs et d'autres qui se battent pour leur cause. Un flic et un journaliste ont bien décidé de mettre un pied dans la fourmilière en enquêtant sur le meurtre de cette jeune femme blanche mais cette enquête à haut risque risque bien de mettre le feu au poudre. Car l'on est bien dans une période sombre de l'Histoire américaine où l'esclavage et le KKK sont sensés ne plus exister. Hélas, certaines mentalités n'ont pas changé même si Martin Luther King oeuvre. C'est un livre assez dense mais qui se lit rapidement tellement il est captivant. Comment agir alors que même les policiers sont du côté obscur? Mais la vérité n'est pas forcément blanche ou noire. Horreurs, violences des mots et des actes... Rien n'est épargné au lecteur. Bref, c'est un thriller sous haute tension. (...)

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Wesley un journaliste d'un canard minable, sorte d'insecte nécrophage attiré par la merde, reçoit une lettre signée Meredith avec ces mots « je crois que je suis en danger. »

La jeune femme est retrouvée tabassée, violée et abandonnée morte comme un pantin désarticulée. Ce qu'elle avait subi dépassait l'entendement, on s'était acharné sur elle, qu'avait-elle fait pour mériter tout cela ? Même si elle était loin de partager les valeurs de son père à la tête de la plus grosse entreprise du comté. Nous sommes en Alabama en 1963, là où naître trop noir sur une terre trop blanche est déjà un crime.
Un roman réaliste qui évoque le racisme et la ségrégation raciale dans les états du sud de l'Amérique des années 60. le Klan s'est reformé, le ver s'est réintroduit dans la pomme pour la faire pourrir de l'intérieur. Mais le jeu des groupes suprémacistes est plus subtil, refusant la violence directe, mais menant dans l'ombre des actions pour empêcher les noirs d'avoir un bon boulot, un prêt dans une banque ou accéder à une grande école.

« C'était dans l'ordre des choses. Les Noirs bossent pour les Blancs. Pourquoi remettre en cause la volonté divine ? C'était écrit dans la Bible, à ce qu'on avait raconté à Michaël. »

Nicolas Koch introduit habilement l'évènement, qui comme une étincelle va engendrer un incendie incontrôlable. Les loups vont ressortir du bois, la partie de chasse est ouverte.

« Aujourd'hui, le KKK n'était plus qu'une somme de groupuscules épars. Un serpent coupé, mais peut-être plus dangereux encore, chaque morceau était venimeux. »

J'ai beaucoup aimé le style de l'auteur, les dialogues percutants sonnent juste, les scènes sont parfois dures, mais collent au climat ambiant. le rythme est toujours le même, aucune longueur, l'écriture est presque visuelle, j'ai eu l'impression de regarder un film.

Nicolas Koch nous fait pénétrer à l'intérieur de cette organisation secrète, il décrit parfaitement le rôle de chacun, les notables, la police, les Américains moyens qui vivotent, certains mènent le combat, d'autres ne sont que des petites frappes, d'autres ferment les yeux pour protéger leurs intérêts. C'est aussi un ouvrage très documenté à la fois sur le Ku Klux Klan et sur les mouvements noirs portés par Martin Luther King.
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Malgré la moiteur étouffante du climat de l'Alabama où se situe l'histoire de ce merveilleux polar, vous aurez la chair de poule à la lecture de ce roman qui vous glacera les os ! Nicolas Koch manie une plume fuide et efficace pour nous plonger dans l'enfer du quotidien de la communauté noire pendant ces années horribles de l'histoire des Etats-Unis. Dans ce thriller haletant, pas de demi-mesure, les personnages nous sont soit sympathiques, soit carrément antipathiques (flippants même !)…

On « participe » au déroulé de l'enquête grâce à un jeu de miroir extrêmement habile, conduit de main de maître par Nicolas Koch. La fin est plus que déroutante et participe au plaisir général de la lecture de ce thriller envoûtant, très bien ficelé et génialissime.

J'ai adoré les indications historiques qui composent le noyau dur de cet ouvrage qui nous permet de nous instruire et de nous divertir en même temps.
Un fruit amer de Nicolas Koch aux éditions de Saxus est un livre savament construit, addictif et passionnant de bout en bout, bravo Nicolas pour votre brio !
Lien : https://www.francenetinfos.c..
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Une enquête qui t'emmènera dans cette Amérique profonde des années soixante, celles que l'on croit oubliées et qui, pourtant, sont toujours d'actualité.
Un peu à la manière du fabuleux film "Mississipi Burning" de Alan Parker, Nicolas Koch nous emporte dans cette ségrégation raciale, cette grande époque des hommes à chapeaux blancs pointus, déguisés, cachés pour ne pas assumer leur conviction à visage découvert (mais ça, c'est un autre sujet…)
Quand un crime survient dans cette charmante contrée, il est bien évident que seul un noir puisse en être responsable. La chasse aux sorcières est alors ouverte !
Dans cet enchaînement de violence, de brutalité, dans cette atmosphère noire comme l'encre, un agent du FBI, associé à un journaliste, aura bien du mal à pêcher le vrai du faux.
Nicolas nous offre un roman puissant et habilement monté avec une plume vive, acérée et très cinématographique. le problème est peut-être bien là, d'ailleurs, puisque ces images colleront à tes rétines pour un long moment.
Une fin surprenante, une intrigue bien ficelée, tout y est pour en faire un excellent thriller que je te recommande si tu as envie de replonger tête la première dans cette affreuse période qui n'est que la piètre image d'une actualité...
Lien : https://sangpages.com/2019/0..
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J'ai longtemps hésité avant d'acquérir ce roman, non pas que j'avais des doutes sur le fait qu'il me plairait ou non, mais surtout parce que ma pile de livres à lire déborde et que je manque cruellement de place pour les stocker. Mais j'ai lu pas mal de critiques élogieuses, notamment de personnes avec lesquelles je partage des goûts similaires et j'ai fini par franchir le pas.

Avec ce roman, l'auteur plonge dans le sud des USA des années 60, au moment où les Noirs se battent plus que jamais pour faire cesser la ségrégation (il est régulièrement fait mention de Birmingham, de Martin Luther King et de diverses associations oeuvrant pour les droits des Noirs). Ce sud où le Ku Klux Klan continue de sévir en toute impunité, où la justice dépend de votre couleur de peau.

Un jeune agent du FBI débarque dans une petite ville pour enquêter sur un courrier que le bureau a reçu. Une fois sur place, il découvre que son auteur, une jeune femme, a été tuée. Il va tenter d'en savoir plus et se heurter, entre autres, au Shérif local, flic corrompu qui ne rechigne pas à dissimuler des preuves.

La plume de l'auteur est fluide, les chapitres s'enchainent sans que l'on s'en aperçoive et la tension monte au fur et à mesure que l'on avance dans le roman. A certain moment, Nicolas Koch prend son temps mais c'est pour poser les bases de l'histoire et nous permettre de faire connaissance avec les différents personnages, les lieux, le climat. La chaleur est étouffante, nous sommes dans le sud, et cette chaleur joue sur les comportements.

La violence est présente mais elle est nécessaire et rend crédible l'histoire. le KKK n'est pas réputé pour être tendre et édulcorer le récit aurait fortement au récit.

Ce livre est une fiction mais je suis sûre que certaines choses ont dû se passer de la façon dont elles sont décrites et cela fait froid dans le dos. On sent le travail de recherche et de documentation de l'auteur derrière les mots posés sur les pages. Certains passages sont glaçants.

Un excellent roman et un auteur à découvrir.
Lien : http://www.unevietoutesimple..
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Dans une Alabama des années 60, ségrégationniste au possible, Meredith Clarence est une jeune fille qui détonne, et pour cause. Rares sont les Blancs qui militent aux côtés des Noirs pour mettre fin à la ségrégation raciale, sous peine de représailles de la part des suprémacistes du Ku Klux Klan. Alors forcément, dans un endroit aussi petit que le comté de Woodbridge où tout le monde connait tout le monde, et où certains ont une morale plus que douteuse, c'est loin d'être perçu d'un très bon oeil…

En cliquant sur le lien, vous aurez accès à la chronique complète ;)
Lien : https://songedunenuitdete.co..
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Je remercie les éditions de Saxus de m'avoir permis de lire ce thriller qui a été une très belle découverte.
Nicolas Koch nous plonge directement dans le feu de l'action. Nous sommes en Alabama dans le comté de Woodbridge en 1963 ou règne encore le KKK dirigé par les élites du coin. Une jeune femme blanche est retrouvée assassinée. Qui a bien pu s'en prendre à cette jeune fille? Pour la police totalement corrompue c'est un noir. Mais ce n'était sans compter sur l'agent du FBI Olsen… Nicolas Koch va nous faire plonger dans la folie des hommes, le racisme pur et dur , une méchanceté haineuse sans nom…L'horreur absolue… On ne ressort pas indemne après avoir lu un tel livre! Il est dense , puissant, anxiogène et surtout excellement bien écrit. L'auteur a su parfaitement trouver le bon équilibre entre faits/personnes historiques et fiction . J'ai trouvé que ce livre a un coté très visuel et cela m'a particulièrement plu .;)
Comme tout le monde , j'avais entendu parler de ce pan de l'histoire américaine, mais je n'avais jamais lu de livre aussi réaliste que celui -ci. On sent la recherche historique de l'auteur qui du être colossale. J'ai vraiment adoré la plume et le style percutant et juste de l'auteur qui retrace cette partie d'histoire en y mêlant ses personnages fictifs mais tellement vrais et crédibles. Ils ont tous cette profondeur que j'aime voir dans ce genre de roman. J'ai adoré cet agent du FBI qui se retrouve pour sa première mission seul dans ce coin paumé à la merci du klan mais qui se bat jusqu'au bout mettre la vérité à jour quitte à y laisser la vie. Il se bat pour ce qui est vrai , il défend la justice, la vraie c'est vraiment l'archétype du héros comme je le conçois. :)
L'auteur a choisit de découper son roman en trois actes ce qui je trouve est judicieux dans ce livre.
Dans l'acte 1 , l'auteur a pris le temps de d'installer l'ambiance, l'atmosphère qui est très important pour l'histoire. Personnellement j'ai trouvé ce moment très long, il me semblait être dans un roman noir entre l'ambiance explosive de ce comté et la présentations de tous les protagonistes. le roman noir n'est pas trop mon truc :lol: Après mure réflexion , je dois dire que c'était un bon choix :D
A partir de l'acte 2 je dois vous dire que j'ai été littéralement absorbée par cette intrigue bien amenée jusqu'à son dénouement, attention par d'explosion mais un truc hyper bien calculé, bien ficelé de la par de l'auteur et cela fait du bien de temps en temps d'avoir une fin comme celle-ci.
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Vous avez vu le film "Mississippi Burning" d'Alan Parker ? Personnellement, j'avais 15 ans quand j'ai découvert ce petit chef-d'oeuvre cinématographique et j'en ai encore des frissons. Eh bien, en lisant le nouveau roman de Nicolas Koch, j'ai cru revenir 30 ans en arrière tant j'ai ressenti cette même sensation d'angoisse et de gêne qui m'avait dérangé à l'époque devant la mise en image de cette facette de l'histoire des Etats-Unis, pays qui se targue pourtant de donner des leçons d'humanité au monde entier.

D'humanité ici, il n'est plus vraiment question car, dans cette bourgade du fin fond de l'Alabama, n'est humain que ce qui est blanc. Et encore, même parmi les blancs, il y a ceux qui comptent et ceux que l'on peut sacrifier au nom de la cause. Nicolas Koch nous le montre bien ici en démontrant à quel point les têtes pensantes locales de l'organisation du Ku Klux Klan sont prêtes à tout pour sauver leur organisation. Pour cela, elles se protègent et utilisent, tels des pantins, pour la basse besogne, les paumés, les surexcités du bocal à qui elles donnent l'occasion de penser qu'ils ne sont pas aussi ratés que la société a eu tendance à leur faire croire. Libres à elles, cependant, de sacrifier ces moutons décérébrés dès que cela commence à sentir le soufre et ce, afin de protéger leurs idéaux dépassés et pénalement indéfendables.

On découvre également, tout au long de la lecture, à quel point les mouvements de contestation et de révolte initiés par Martin Luther King ont été particulièrement réprimés et combien cette lutte fut loin d'être une partie de plaisir, ce qui rend encore plus remarquable le courage de ceux qui, noirs ou blancs, ont combattu pour changer cette société inégalitaire. Quand le shérif, Conrad Miller, se réjouit de l'efficacité de ses canons à eau lors des manifestations et du fait qu'il fait le plein de ses "geôles" après celles-ci, on comprend à quel point on est parti de loin. Et pourtant, le shérif n'est pas le plus salaud de tous dans l'histoire car son opposition au changement social est plus dictée par l'angoisse de voir la société évoluer que par une haine féroce des noirs. La violence, dans le roman, va au-delà de cela puisque l'on assiste aux tabassages en règle voire aux expéditions punitives qui étaient, dans les années 60, le quotidien pour ceux qui osaient s'opposer dans les Etats du Sud à l'hégémonie de la race blanche.    

La réussite de Nicolas Koch réside dans le fait de recourir à un binôme aux ambitions opposées afin de mener l'enquête au coeur de ce Birmingham hostile. D'un côté, on a Paul Wesley, journaliste qui voit dans l'affaire du meurtre de Meredith Clarence, jeune fille blanche proche des mouvements pour la liberté noire, un moyen de décrocher, enfin, un scoop pour briller dans une rédaction où il se révèle être un peu le canard boiteux. de l'autre, l'agent spécial, Dwayne Olsen, débarqué à Birmingham pour rechercher Meredith et qui va se retrouver face à une situation qu'il n'aurait jamais pu imaginer. Il va devoir gérer cet imprévu avec tact, malgré son inexpérience, afin d'éviter que l'influence des politiques, et surtout celle de Hoover, son patron, ne le mène à un nouveau Cold Case. de ce duo si antithétique, Nicolas Koch va, petit à petit, créer un binôme soudé dont les objectifs vont devenir communs, et ce malgré les embûches et les tentatives d'intimidation. 

Enfin, il est important de souligner que le but du roman n'est pas forcément de découvrir les noms des meurtriers car ils nous sont dévoilés rapidement au fil de l'histoire. La réussite là encore de Nicolas Koch réside dans le fait de laisser espérer au lecteur que ces criminels seront bien condamnés même si cet espoir est fortement malmené jusqu'aux dernières pages, je peux vous le confirmer.

Concernant le style de l'auteur, eh bien, cela se lit tout seul. C'est un véritable plaisir. J'aime quand on me raconte une histoire sans partir dans des digressions stylistiques à n'en plus finir. Ici, c'est clair, net et précis à l'image d'une enquête qui se veut dure et efficace. En cela, Nicolas Koch a rempli parfaitement le contrat et signe ici un roman qui mérite d'être découvert par le plus grand nombre.


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Nicolas Koch nous emmène dans un thriller à l'atmosphère très lourde et pesante sur fond de ségrégation raciale. Je n'avais encore jamais lu de roman sur cette période de l'histoire et sur le Ku Klux Klan et j'ai donc beaucoup aimé cet aspect qui est pour moi le point central du récit. Il s'agit d'un sujet difficile et qui m'a semblé assez bien traité, même si mes connaissances sur cette période historique sont assez limitées donc je peux me tromper.

Tout d'abord, il ne faut pas s'attendre à un gros thriller à suspens, mais plus à un roman à ambiance. Même si le point de départ repose sur la découverte du cadavre d'une jeune fille, l'identité du/des coupable(s) ne reste pas très longtemps un secret et c'est plus la manière dont l'enquête est menée qui va être le fil conducteur de l'histoire. Car, il faut le dire, la corruption est le maître mot du comté de Woodbridge où se déroule l'intrigue et la lutte entre blancs et noirs est impitoyable. Difficile donc pour l'enquêteur du FBI de déceler le vrai du faux quand tout le monde se protège les uns les autres et que le Ku Klux Klan fait le ménage sur les choses qui le dérange. Et c'est cet aspect de l'histoire qui est vraiment intéressant. On se demande si et comment les coupables vont finir par payer et si l'agent du FBI va réussir à ramener un peu d'humanité dans le comté. de cette manière, Nicolas Koch réussi à nous immerger dans son roman sans qu'on voie vraiment les 500 pages défiler ce qui est une belle réussite, même si j'aurais aimé un peu plus de suspens et c'est pour moi le seul point que je pourrais vraiment reprocher au récit.

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