La Tour, tome 1

Nous sommes à Bruxelles en 2072. Les habitants ayant survécu à une bactérie tueuse doivent vivre dans cette tour et ne surtout pas aller respirer l'air extérieur sans équipement. On sent une tension entre les "Anciens" et ceux qui sont nés dans la Tour. Les thèmes sont très actuels. Confinement, épidémie, peur du dehors et de l'autre...

L'atmosphère est étouffante, très réaliste. Les dessins de la faune et de la Flore, ayant repris leurs droits sont tout simplement sublimes. Il s'agit du premier tome donc j'attends de me procurer le 2ème pour en apprendre un peu plus sur cette histoire.
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J'aime bien les récits dystopiques qui s'éloignent du futur lumineux que nous fabriquent les ploutocrates à qui nous laissons les destinées de notre petit monde bleu.
Là, contrairement à nous, cela semble s'être plus mal passé que dans la réalité contemporaine : le petit lot de survivants est confiné dans une très jolie tour.
Dehors sévit un poison qui semble affecter uniquement les êtres humains, puisqu'ils peuvent, à condition de revêtir une combinaison adéquate, continuer à s'adonner à une pratique ancestrale consistant en un combat singulier, d'égal à égal, entre une biche ou un autre mamifère et un fusil à lunettes. Il faut bien manger ma bonne dame !
Cette bande dessinée plante un beau décor, attendons la suite...

Cette bd part d'un postulat plutôt effrayant mais qui pourrait être crédible à savoir qu'une bactérie décime l'humanité entière mis à part les habitants d'une tour pas comme les autres.

Il y a un combat entre les anciens qui ont connu le monde tel qu'il était et les jeunes qui ont dû vivre enfermé dans cette tour mais qui ne semblent pas comprendre que l'air est véritablement mortel à l'extérieur.

J'ai l'impression d'avoir lu un tome introductif qui pose le cadre et les enjeux car il ne se passera pas grand chose mis à part une explosion finale qui relance un peu l'intérêt.

L'originalité ne sera pas vraiment de mise car il y a des emprunts manifeste à différentes oeuvres à commencer par Walking Dead. Je ne suis pas non plus trop fan de ce dessin parfois imprécis mais qui reste correct malgré tout.

Il faut lire la suite pour voir comment tout cela va évoluer. Au final, un récit d'anticipation qui fait peur sur le devenir de l'humanité.

Brussel - 2072. Une tour autonome vieillissante. Une population d'environ 2500 survivants y vivent depuis trente ans pilotés par une IA. Et dehors un virus mortel foudroyant pour l'espèce humaine. C'est un peu comme Silo mais à l'extérieur avec vue sur le monde. le concepts n'est pas nouveau, mais l'intrigue nous pousse à tourner les pages.

Un dystopie intéressante, l'air qui est irrespirable sinon c'est la mort. Les personnes enfermées et obligées de vivre dans cette tour "intelligente".

Cela fait flipper un peu...et cela a aussi un petit quelque chose de déjà vu. Cette bande dessinée m'a fait penser à The Walking Dead, l'air mortel en plus, et pas que.

Ce tome premier se concentre aussi a nous faire découvrir les personnages, ceux qui, comme nous, ont connus la vie "d'avant", et les nouveaux, ceux qui sont nés dans la tour et qui sont en colère ne pouvoir jamais connaître la vie que les autres ont vécus.

J'ai passé un bon moment de lecture, je vais assurément lire la suite, étant donné que la fin du tome 1 est dynamitante !

L'ensemble m'a rendu complétement accroc. Même avec son manque d'originalité, c'est un tome 1 extrêmement riche en contenus et en promesses et l'intrigue de la série est d'ores-et-déjà captivante. C'est très agréable graphiquement (et puis ça se passe à Bruxelles !), les différents éléments de l'univers sont vraiment intéressants et l'intrigue sociale mêlée à celle, toute personnelle, du personnage principal, nous donnent l'envie irrépressible de lire la suite le plus vite possible.

Critique complète sur yuyine.be!
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Un récit dystopique intéressant qui se passe à Bruxelles. La ville n'est qu'évoquée, l'essentiel de l'histoire se déroulant (pour l'instant) en huis-clos, dans la fameuse « tour ».
On rentre vite dans l'histoire. le dessin rappelle les BD punk-SF des années 80/90, ce qui plaira sans doute aux nostalgiques des metal-hurlants, fluide glacial et consort (toute proportion gardée)

J'ai trouvé certains éléments SF un chouia cliché mais je pense que les lecteurs qui aiment à voir la charte du genre respectée seront satisfait. Une des marotte de la SF n'échappe d'ailleurs pas au récit : un super-ordinateur, lointain cousin de Hal 9000 et d'Alpha 60, pas moins ambivalent et intriguant, régit la mystérieuse tour.

Les protagonistes sont nombreux et ont déjà des relations bien établies dès le début de l'histoire. On espère donc que les prochains tomes nous en apprendrons d'avantage sur eux et leur passé. Je regrette un peu du coup que l'album n'ai pas plus de pages. La fin est en tout cas un bon « cliffhanger ».

Un premier tome qui nous plonge dans l'histoire in medias res : cela commence avec les chasseurs vêtus de combinaisons isolantes, en pleine action dans les rues de la ville déserte et envahie de végétation (j'ai beaucoup pensé au tout début du film "Je suis une légende" avec Will Smith).

Le déroulé du récit et son découpage sont très cinématographiques puisqu'on nous amène à la présentation de la Tour via le retour de ces derniers, où un "montage parallèle" nous montre les animaux tués immédiatement dépecés tandis que les chasseurs se débarrassent de leurs combinaisons et passent par des douches de désinfection.
La préparation des repas à partir de la viande permet au scénariste d'enchaîner sur les livreurs de nourriture qui font du porte-à-porte dans les différents étages de la Tour et un focus sur l'IA qui gère cette immense construction, puis la présentation d'un échantillon d'habitants et les dissensions entre natifs de la Tour et ceux qui ont connu le monde avant l'épidémie.

Ce tome 1 se termine abruptement, sur un cliffhanger et sur le mode "à suivre...", ce qui s'avère frustrant lorsqu'on ne dispose pas tout de suite du second volume.

Pour les fans de récits post-apo', rien de fondamentalement nouveau, un mix de choses déjà vues ici ou là, mais on a connu bien pire dans le genre et ce premier tome s'avère riche en promesses car les différentes pistes narratives ouvertes ici titillent la curiosité du lecteur qui ne pourra s'empêcher de chercher à lire les tomes suivants.

Depuis 30 ans, 2746 survivants d'une pandémie mondiale survivent dans une tour à Bruxelles. La Tour tient tant bien que mal, gérée par une IA. Mais la révolte gronde chez les « Intras », ceux nés dans la Tour, qui sont en colère contre les « anciens » et qui veulent reprendre leur destin en mains…
J'ai bien aimé le synopsis de cette nouvelle série qui exploite une thématique certes beaucoup vue mais qui reste originale par son traitement. Ici, pas d'horrifique, pas d'ambiance glauque, on est plutôt dans le cadre d'une société en déliquescence, qui survie tant bien que mal et qui n'a aucun projet, aucun un avenir… et c'est bien ça qui irrite la jeunesse de la Tour qui elle, ne veut plus entendre parler de l'ancien monde et veut prendre en main leur avenir.
Ce premier tome est plutôt prometteur, misant sur une histoire plutôt réaliste, sans technologies futuristes (à par l'IA Newton) où la plupart des personnages sont des anti-heros potentiels. Je trouve le dessin un peu vieillot (alors que la BD date de 2021), c'est la colorisation et le style graphique qui doit renforcer cette impression mais cela ne diminue en rien la qualité de l'ouvrage. Cela manque tout de même d'un peu d'action mais ce premier album est là pour mettre les pièces en place. On peut espérer une suite avec plus d'intrigues et de suspense. du moins, c'est ce que la conclusion de cet album nous laisse deviner…

Dans un futur post apocalyptique où une bactérie à décimée l'humanité, les survivants, au nombre de 2746, vivent depuis 30 ans dans une tour les protégeant de l'air extérieur devenu irrespirable.

Dans cette tour, où certains sont bien lotis et vivent confortablement, d'autres vivent sans eau ni électricité.

Des tensions sont palpables entre les "anciens" (ceux qui ont connu la vie à l'extérieur), et les "intras" (les jeunes qui sont né dans la tour et n'ont connu que la vie en quarantaine).

Un premier tome sympa qui donne envie de connaitre la suite, mais qui ne nous en offre pour le moment pas assez et nous donne un sentiment de rester sur notre faim.