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Je suis bien embêté pour parler de "Bleach", car si globalement j’ai trouvé cela très sympa pour un début de manga, force a été pour moi de constater que les bonnes qualités côtoient pas mal de défauts/limitations… Faute d’intrigue principale clairement identifiée, va-t-on vers un bon shonen nekkestu des familles ou un shonen maintream à rallonge où à chaque arc on recommence exactement la même chose que dans l’arc précédent ?


Après un tome 3 grave où resurgissait le tragique passé de la famille Kurosaki, Tite Kubo nous offre un tome très léger qui fait la part belle à l’humour… ^^
Tout commence avec une pantalonnade truffée de clichés sexistes où Kon le Mod Soul échappe à Rukia et Ichigo pour se trouver une nouvelle maîtresse (si possible dotée d’une grosse poitrine).
Ensuite nous retrouvons la plaine du Kantô sous le charme d’un medium télévisuel cartonnant à l’audimat : Don Kan’Onji (le Satan de "Bleach" ? ^^). Il est horripilant avec ses gimmicks et ses anglicismes, bref cabotineur à souhait et comme il m’a horripilé autant qu’il a horripilé Ichigo je ne saurais dire s’il est raté ou réussi avec tous ses groupies en délire mimant ses poses et baragouinant ses phrases rituelles auxquelles notre héros ne comprend rien du tout… ^^ (et Rukia aussi, persuadée qu’il s’agit d’un acteur de théâtre kabuki)
La nouvelle égérie télévisuelle vient exorciser un hôpital en ruine dans le quartier d’Ichigo, mais aggrave les choses en transformant un jikaburei en hollow… (Cela aurait été quand même mieux d’être au clair sur le sujet dès le tome 1 plutôt que de flirter aussi longtemps avec les incohérences) Car oui Don Kan’Onji aussi maladroit et horripilant soit-il est un véritable médium ! Il s’ensuit plein de quiproquos en direct live où Ichigo et Don Kan’Onji font équipe pour vaincre le nouvel hollow bien que le deuxième soit plus un boulet qu’autre chose pour le premier… Mais le mangaka le traite avec bienveillance, en faisant le dépositaire de toutes les valeurs positives des shonens nekkestsu sinon des séries tokusatsu.

Le dernier chapitre nous présente un nouveau personnage appelé à un grand avenir : le quincy Uryû Ishida !
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Un médium farfelu squatte le petit écran avec son émission où il chasse les fantômes. Mais plutôt que de les libérer, il les transforme en Hollow.

Le personnage de Don Kan'onji se fera un plaisir de vous irriter tant il est ridicule et inintéressant. On n'est pas sur de vouloir le voir dans les prochains chapitres… Par contre, la petite histoire du début avec Kon est hilarante, seul intérêt de ce tome...
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Kon est toujours maltraité, surtout au début du tome. Ensuite les hollows sont de plus en plus présent, et Ichigo s'en sort pas mal du tout. Mais voilà, de plus en plus de personnes peuvent voir ces esprits, ce qui est de plus en plus dangereux pour le travail de shinigami qu'effectue notre héros qui ne veux pas être découvert par sa famille.
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On découvre 2 personnages radicalement opposés : Kanoji et le Quincy. L'un est loufoque, et l'autre sérieux.
Le dernier sera un allié précieux d'Ichigo Kurosaki. J'ai une préférence pour l'anime car Kanoji prend trop de place sur le papier au détriment des personnages importants.
Cela démarre mais doucement.
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Bingo ! Un tome drôle !
Fini l'histoire tristounette du décès de la maman d'Ichigo et place à ... la superficialité !
On commence avec un chapitre sur la peluche Kon, complètement inutile pour l'histoire mais fantastique pour nos zygomatiques.
On enchaîne par un cadeau qui me ravit : on gagne un personnage ultra caricatural : le plus charismatique des médiums, Don Kan'Onji. La preuve, il a son propre show à la télé..
Et on finit par contre sur une note plus sérieuse mais surtout une note qui introduit le suspense : on découvre Uryû Ishida Quincy, maître de la destruction (tiens, je me rends compte qu'il suffisait de lire la couv...).

PS : mention du dessin le plus marrant p.168
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On commence le tome 4 avec un petit chapitre hors série basé sur Kon, le pauvre choupi qui se fait maltraiter. On continue avec l'apparition du célèbre Don Kanonji! Un medium qui peut voir les fantômes mais qui, en fait, n'y connait rien puisque, en voulant "libérer" les fantômes, il les transforme en hollow. Au même instant, on se rend compte que plus en plus de personne dans l'entourage d'Ichigo deviennent sensibles aux esprits. Ça va être dur de garder sa double vie secrète plus longtemps. Et à la toute fin de ce volume apparaît Uryuu Ishida, Quincy. Ami ou ennemi?
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Aller hop. Encore un nouveau personnage, encore avec des pouvoirs, encore au courant de la force d'Ichigo...
Encore un tome avec une intrigue propre... Chaque fois on a droit à un tome = une mini quête sans cohérence franche avec la suite...
Bon à force va-t-on aboutir à quelque chose? Si ces tomes sont introductifs à plus large cool, mais si on arrive au tome 73 avec ce rythme ça va vite devenir (très!) lassant!
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Grand écart avec l'excellent précédent volume, c'est sans doute le pire tome de toute la saga. L'auteur a voulu se tourner vers un style plus comique, mais trop c'est trop (la lourdeur et l'absurde, c'est bon par touches), et le pire personnage du manga, Don Kanonji, absolument insupportable. Outre les dessins, le seul intérêt est le processus de transformation en hollow enfin montré.
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Ishida c'est le Quincy intello typique
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je trouve le mec avec son bracelet trop classe quand il a son arc mes je me d emmende comment avec des lunettes on voie aussi bien ?
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