Encore que sans doute l’ombre d’un regret.
Pour les merveilleux jours d’un été qui n’est plus
Et pour un paradis de splendeurs disparues
Traverse quelque fois notre rêve secret,
Cette ombre cependant ne viendra pas troubler
Le très simple agrément de ce conte de fées.
Un conte commencé en des jours de bonheur,-
Tandis que de l’été les soleils rayonnaient, -
Une aimable chanson qui servit à rythmer
Le calme mouvement des rames et des heures,
Et dont en moi l’écho encore retentit
Bien que les ans jaloux me conseillent l’oubli.