La vie, ce n’est pas d’attendre que l’orage passe, c’est d’apprendre à danser sous la pluie
Je sais comment je commencerais ma liste maintenant. En un, j'écrirais : c'est comme si je tombais dans un vide incommensurable sans rien ni personne à qui me rattraper.
J'ai envie de lui réponde quelque chose mais je n'ai pas de répartie. Enfin si plus tard à deux heures du matin dans mon lit […].
Le drame attire les gens sur un compte Facebook comme les vautours autour d'un cadavre.
Parfois, il vaut mieux ne rien dire qu'essayer à tout prix de ne pas avoir de silence.
Évidemment, si l’action ne joue pas en ma faveur, je décrète sur-le-champ que c’est complètement immature de penser ainsi. Alors que dans le cas contraire, je passe le reste de la journée sur un nuage ! J’ai envie d’écrire sur mon carnet ce que je viens de vivre dans les détails avant que je ne l’oublie. Cet instant était « à part », excepté cette phrase « tu es la prunelle de mes yeux ». Non seulement elle indique un manque flagrant de conversation mais en plus elle fait référence à mon prénom que je déteste. Suis-je trop exigeante ?
Lorsqu’il fait nuit et que ces maisons sont allumées, on peut voir leur intérieur, assouvir notre envie de voyeurisme et eux leur besoin d’exhibition.
Ce n’est pas parce que je pars que je ne serai pas là
Si tu savais comme je m’en fous, tu aurais une idée de l’infini.
Nous, tes étoiles, on est à tes côtés là-haut, qu’on soit sur ta peau ou pas.
Ce n’est pas parce que t’es partie, qu’on n’est pas avec toi.