Autant j'avais beaucoup aimé les deux précédents ouvrages d'
Erik Larson autant celle-ci fut plus en demi-teinte.
Le mélange ainsi que l'avancée des deux histoires est laborieux, les traits grossiers, une bonne partie se consacre aux tâtonnements de Marconi et encore en apportant toujours le même éclairage sur son approche scientifique quand à Miss Crippen, sans mauvais humour, elle met bien bien longtemps à disparaître.
L' écriture est agréable à lire, tout est intéressant mais je l' ai lu plus plus habile à marier ses sujets.