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Critique de Masa


Masa
15 novembre 2013
Je connaissais trois grands écrivains britanniques, le Maître l'écossais Graham Masterton, l'artiste Clive Barker et, celui que j'aime le moins, James Herbert. Je ne connaissais pas Stephen Laws et j'étais impatient de découvrir son univers. Ça tombe bien puisque j'ai acquis le Veur, du titre original The Wyrm parut en 1987. Bienvenue dans l'horreur, puisque c'est de cela qu'il s'agit.

Un écrivain à succès publie l'un de ses meilleurs romans. Éprouvé par ce succès, il décide tout quitter et trouve une paisible ferme dans un village britannique. Il emménage avec ses deux chiens. Seulement, le ministère de l'environnement décide de construire une voie d'accès rapide à proximité du village. Sur le tracé se trouve un monument historique, le gibet, datant du XVIIème siècle.

En parcourant les pages et les chapitres, je fus étonné et ce, dans le bon sens. Une écriture agréable et une histoire prenante. D'ailleurs, le scénario m'a énormément fait penser au Maître en la matière, Graham Masterton. En effet, il s'agit là d'une divinité démoniaque, enfin quelque chose dans ce sens, puisqu'il n'en parle pas réellement. Au niveau des défauts, j'ai noté, des clichés sur les personnages du village, on donc, le petit branleur, le vieux aigrit,... mais rien de bien méchant. En revanche, il suggère certains passages sans y aller, et cela me frustre. Là où le Maître se serait donné à coeur, Stephen Laws se censure. Pourtant la troisième partie me fait penser à un écrivain britannique dont j'évoquerai le nom juste après. Au final, ce livre est bien divertissant. Un auteur que je connaissais pas, mais une chose est sûr, ma route avec lui ne s'arrêtera pas. On ne peut se faire une idée sur un livre, mais dans celui-ci, j'ai noté un savoureux mélange entre un Graham Masterton et la folie de James Herbert.
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