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sur 105 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
Un écrivain en panne d'inspiration retourne dans le village de son enfance. Plongé au milieu des souvenirs de sa grand-mère récemment décédée, il se remémore les contes et légendes qu'elle se plaisait à lui raconter. L'une d'entre elle particulièrement, Vert-de-Lierre, ne cesse de l'intriguer. Persuadé de tenir le début de sa prochaine histoire, il va arpenter le village à la recherche d'indices sur cette légende.

Vert-de-Lierre s'inscrit dans le roman gothique. Une ambiance particulière, un petit village où souffle encore la peur des anciennes légendes, un vieux château prétendument hanté et un jardin dissimulé près d'un manoir où se croisent des Anglaises recluses, composent le décor de ce très court roman.
Le récit est bien construit entre la quête erratique de l'écrivain et la lecture du manuscrit déposé par Rose, la jeune Anglaise. de même qu'il progresse dans ses recherches, de même nous anticipons la chute de l'histoire à travers la prose de Rose.
La plume de Louise le Bars se fait volontiers onirique lorsqu'elle décrit la nature. Elle emprunte au parallèle largement exploité de la condition féminine et de la nature sauvage et dangereuse où se réfugient sorcières et enchanteresses.
Une plume qui m'a d'ailleurs semblé parfois désuète voire inappropriée. J'ai eu du mal à situer l'époque du roman que je croyais très contemporaine mais les échanges entre le jeune écrivain et la belle Anglaise semblent anachroniques. Si les personnages sont plutôt bien décrits compte tenu du court format, le héros apparaît pourtant bien niais à plusieurs endroits ce qui a un peu gâché le plaisir de la lecture. L'histoire se déroule sans véritable suspense mais, et c'est peut-être là le talent de l'auteure, réussit à capturer le lecteur.

Louise le Bars revisite le mythe du vampire et de la femme succube avec une certaine originalité. Suffisamment pour que le lecteur en ressorte troublé. Un belle lecture à laquelle il aura manqué un peu plus de punch pour accrocher réellement au style de l'auteure.
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Un roman gothique où la poétique musicalité des mots mêle la sensualité de la nature à l'érotisme du corps et du désir. Entre conte onirique, roman d'horreur qui fait penser à la littérature anglaise gothique et ode à la nature, ce roman à la chouette couverture nous emmène dans un tourbillon de sens entre les odeurs fortes des fleurs, le toucher suave du lichen, la terre... J'ai adoré tout le champs lexical qui gravite autour de cette abondante et luxuriante nature sauvage.

Pour le récit, j'ai beaucoup pensé d'abord aux contes où une petite fille est maltraitée et se retrouve à affronter de terribles épreuves comme dans un rite initiatique, jusqu'à se transformer, puis au Portrait de Dorian Gray, à Dracula bien qu'ici on parle d'incube...

J'aime beaucoup ce genre d'univers entre fantastique et horreur et ce court roman m'a bien plu.
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Encore une très bonne lecture aux Editions Noir d'Absinthe ! Vert-de-lierre est une histoire de légendes, de mystères, mais c'est aussi un récit de femmes écrit avec une grande délicatesse. J'ai beaucoup aimé qu'il se déroule sur deux périodes à la fois, ce n'est pas quelque chose de particulièrement original, mais j'ai trouvé que ce décalage temporel se prêtait bien au récit.

On suit le narrateur, un écrivain victime de la page blanche, de retour au village de sa grand-mère décédée. Très vite, il s'intéresse au manoir qui se dresse tout près et à ses habitantes, de mystérieuses anglaises qui provoque la méfiance des habitants.

Un château, des visions, des rêves bizarres, une magie ancestrale, un symbolisme végétal, des obsessions charnelles contre lesquelles il ne peut lutter et notre écrivain ne tarde pas à oublier ses polars pour s'intéresser davantage aux légendes locales. En compagnie de Rose, troublante jeune femme sur laquelle plane un certain mystère et qui rédige elle-même un manuscrit qui le transporte dans le passé, il va explorer toute la noirceur de la légende du lierreux et ses ramifications - un personnage folklorique de la région, symbole de déchéance et de tromperie, accusé de jeter son dévolu sur d'innocentes jeunes femmes désespérées. Peu à peu, la raison du narrateur se dégrade, victime de sa passion incontrôlable et de sa fascination pour Rose.

Vert-de-lierre évoque les mystères qui pèse sur les villages isolés. Il parle de mauvais sorts, de sorcellerie, évoque à demi-mots la place de la femme dans la société. Certains passages sont d'un lyrisme sauvage, ils expriment des émotions brutes et c'est frappant de beauté.

Plus complexe qu'il peut sembler au premier abord, c'est un livre qu'il faut prendre le temps de savourer. Passées les premières pages, on se sent vraiment immergé dans l'histoire. Une belle découverte.
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Vert-de-Lierre c'est l'histoire d'un écrivain de polars à succès, Olivier Moreau, en panne d'inspiration. Son éditeur le bouscule un peu pour qu'il sorte son prochain best-seller. Mais Olivier Moreau a d'autres choses en tête. D'abord retourner dans le village de sa grand-mère qui vient de mourir pour vider sa maison. Et puis, une fois là, partir sur les traces d'un vieux conte local que les gens aiment à raconter à leurs enfants pour leur faire peur… L'histoire du Vert-de-Lierre, vieux vampire végétal dont la première victime hanterait le château du coin. Olivier, en remontant le fil du conte, à la manière d'un enquêteur sera amené à rencontrer deux femmes, une vieille anglaise, qui vit en ermite dans une des plus belles demeures du village, et sa nièce en visite.

Contrairement à ce que pourrait laisser penser le choix du héros, c'est une histoire de femmes.

Une VRAIE histoire de femmes, où la nature et le féminin sont très intimement liés. Oui parce que, dans la très vieille (et très largement dépassée par les avancées scientifiques) opposition nature / culture, les hommes (à commencer par les grecs anciens, toujours open pour un peu de misogynie) les hommes, disais-je, se sont souvent placés du côté de la culture en nous laissant la nature.
Et cette spécificité féminine, ce stigmate inconscient, est ici brillamment exploité par Louise le Bars, qui, décrivant son héroïne, décrit chacune d'entre nous dans ce qu'elle a de plus primitif et sauvage. Et loin d'en faire une tare, elle nous offre de vrais moments de beauté où ses héroïnes, livrées à elles-mêmes dans de sombres forêts, s'y sentent mieux que dans le monde, redécouvrant qu'elles n'ont pas peur. Ni des bois, ni des créatures sauvages.

Et puis, c'est une histoire intelligente, complexe. Avec plusieurs grilles de lectures, plusieurs niveaux d'entrée, du récit enchâssé, de la mise en abyme, des univers différents, des contextes changeants. Et tout ça est très bien réussi. Pour la simple raison que l'autrice fait faire à peu près tout ce qu'elle veut à sa plume. Chaque personnage possède un style narratif différent. Les platitudes d'Olivier Moreau se heurtent à de hauts degrés de symbolisme chez Rose. Quand celui-ci nous dit qu'il se sent inférieur, nous le constatons effectivement. Il y a ainsi tout un jeu très fin entre les différentes psychés des personnages sans qu'il soit besoin d'avoir recours à une polyphonie narrative qui n'aurait pas trouvé sa place ici.

C'est de grand talent. Ce n'est pas gratuitement mystico-mystérieux. C'est intelligent et suffisamment “bref”, pour ne pas délayer inutilement la puissance du récit. La fin est un peu prévisible, mais ce n'est pas la fin qui compte à l'arrivée. D'autant que, comme toutes les histoires fortes, il existe ici un effet de blast dont je pense qu'il risque d'être long….

Je ne suis pas connaisseuse du genre fantastique, mais j'ai beaucoup aimé, merci à Dorian Lake de m'avoir incitée à ce pas sur le côté !
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Encore une très bonne lecture réalisée dans le cadre du PLIB2020. Avec Vert-de-Lierre, je m'étais imaginée un conte fascinant empreint de mystère et d'horreur, et je ne m'étais pas trompée puisque c'est exactement ce que m'a offert cette histoire lue d'une traite.

Il faut dire que l'amoureuse des belles plumes en moi n'a pas résisté à la beauté de celle de Louise le Bars, une autrice que je ne connaissais pas, mais qui m'a enchantée par la poésie de ses mots. Un style inimitable, alliance du charme suranné des textes d'antan, de descriptions d'une splendeur à vous couper le souffle et d'une capacité merveilleuse à donner vie à l'extraordinaire, à l'irréel. À la fin de ma lecture, j'ai ainsi eu le sentiment déstabilisant, mais ô combien délicieux, de ne pas avoir découvert une fiction, mais plutôt le récit d'une vie. Et quelle vie !

Alors que le résumé nous donne l'impression que le protagoniste principal est Olivier, un écrivain à succès en manque d'inspiration qui se rend dans le village de sa grand-mère récemment décédée, la réalité est tout autre… Cet homme, en quête de Madame la Muse, va se lancer sur la piste d'une légende locale, le Vert-de-Lierre, sorte de vampire ou succube végétal, avant de faire la connaissance de deux femmes énigmatiques dont la jolie Rose. Pas insensible au charme de cette dernière, il sera ravi qu'elle décide de lui confier son roman et donc qu'elle lui offre, par ce biais, la promesse de nouveaux échanges.

L'amour rend aveugle… On a coutume de le dire et quand l'on voit à quel point Olivier reste insensible aux signes, à ses cauchemars et à son intuition, l'écrivain ayant quelques dons plutôt inhabituels, on est en droit de le penser. Il y a quelque chose de mystérieux et d'insaisissable chez Rose qui inquiète et intrigue, mais Olivier préfère se plonger dans les écrits et la contemplation de sa belle.

À mesure que l'on découvre le roman de Rose qui évoque cette légende du Vert-de-lierre qui fascine Olivier, l'angoisse se fait de plus en plus prenante et pesante. Ce que l'écrivain refuse de voir, le lecteur, quant à lui, s'en fait le spectateur privilégié et hypnotisé, la vie de l'héroïne de Rose étant sombre et dramatique comme l'était la vie des femmes autrefois. Mais loin de s'être laissée enfermer dans un rôle qui ne lui convenait pas, l'héroïne de Rose s'est rebellée quitte à signer un pacte avec le diable… de victime à bourreau, la frontière est parfois mince, voire perméable ! Mais difficile de condamner, ou du moins de ne pas compatir, avec une personne qui ne demandait que le droit de vivre par et pour elle-même, et non selon le bon vouloir d'autrui et des convenances.

Mère qu'on le veuille ou non, sorcière, nonne, hystérique, chose que l'on offre contre des terres et de l'argent… Tout autant de sort peu enviable dont il était bien difficile, si ce n'était impossible de se dépêtrer ! À travers un récit surnaturel et une mise en abyme intéressante, c'est donc bien une réalité historique que l'autrice évoque abordant sans lourdeur et avec justesse le sort des femmes notamment au XIXe siècle. Mais les choses ont-elles tant changé que cela ?

En filigrane, est aussi question du féminin et du rapport à la nature ici omniprésente que ce soit à travers la légende du Vert-de-Lierre, les prénoms, la forêt, les fleurs et le jardin luxuriant de la propriété de la tante de Rose. Une nature source de vie, de splendeurs mais aussi de dangers… Une dualité que l'on retrouve tout au long du roman autant dans les personnages que les événements, ce qui apporte une certaine complexité à un récit que l'on cueille plus qu'on ne le lit.

En conclusion, Vert-de-Lierre est un sublime conte gothique dans lequel se mêle avec brio présent et passé, amour et mort, abandon et espoir et dans lequel bien et mal s'unissent dans une danse sensuelle et intemporelle… Empreint de mystère et sombre à souhait, c'est également le récit d'une vie, celle d'une femme qui a dû lutter pour exister quitte à perdre, en cours de route, une partie de sa moralité et de son âme. Amoureux de la nature, de textes poétiques et immersifs et de personnages fascinants oscillant entre rêve et cauchemar, ce roman est fait pour vous.


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Un petit mot sur la couverture que je trouve à la fois jolie et angoissante, tout à fait en adéquation avec l'univers de ce livre. le fait qu'elle soit majoritairement verte n'y est pas pour rien (bah oui, j'aime le vert et je l'assume complètement ! ^^).

J'ai donc découvert ici le style de Louise le Bars... et quelle découverte ! Sa plume est juste magique, magnifique, fluide et poétique. Un vrai régal pour les yeux et l'esprit. Elle m'a entièrement happée dans son univers à la fois gothique et onirique, dont j'ai eu du mal à m'extraire après lecture.

Nous retrouvons ici Olivier, un écrivain de polar qui subit le très désagréable syndrome de la page blanche. Sa grand-mère venant de décéder, il accepte de se rendre dans le petit village où elle vivait pour trier ses affaires et ainsi, peut-être, retrouver l'inspiration.

Très vite, il va se rappeler une vieille légende locale qu'il a beaucoup entendu lorsqu'il était petit, celle du Vert-de-Lierre, sur laquelle il décide d'enquêter. Ce qui va l'amener à rencontrer une veuve à la réputation plus que décriée et peu aimée au sein de la petite communauté rurale.

Olivier n'est pas un personnage possédant un réel trait de caractère dominant. C'est un homme simple, gentil et curieux. Mais vivre l'aventure par ses yeux n'est pas déplaisant pour autant, heureusement. J'ai aimé son cheminement de pensées, ses recherches, son attraction.

Le moment où le récit se scinde en deux n'a fait que raviver mon intérêt, déjà bien sollicité. J'ai vraiment trouvé cette alternance très intéressante, même si j'ai vite deviné où elle allait m'amener. J'ai aimé le thème abordé, celui de la place de la femme dans la société, la façon dont elle était perçue, utilisée, manipulée... jusqu'à ce qu'elle se révolte et prenne sa vie en main.
Je n'ai donc pas été surprise par la révélation finale, néanmoins, je ne m'attendais pas au final en lui-même, qui termine ce roman en beauté. Je pense qu'une autre fin n'aurait pas mieux convenue.

En résumé, j'ai adoré la plume délicate et poétique de Louise le Bars ainsi que les ambiances gothiques, parfois sombres et teintées de légendes qui jouent avec le lecteur tout au long du livre. L'histoire est plaisante et travaillée, mais la plume la sublime d'avantage et la rend encore plus agréable à savourer.
Un roman que je ne peux que vous recommander.
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Vert-de-lierre m'a évoqué mes lectures de Poe ou d'Eliza Parsons. Hommage au récit gothique classique dont il empreinte indéniablement les codes, la narration et la poésie envoûtante, ce roman offre une originalité dans son récit enchâssé où la légende éclaire des sujets de réflexion féministes puissants. Malheureusement fort prévisible, l'histoire n'est pas parvenue à m'emporter autant que je l'aurais souhaité. Mais sa plume et ses messages résonneront indéniablement longtemps en moi. Et rien que pour ça, la découverte valait la peine!

Critique complète sur yuyine.be!
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Je suis tombée sur ce roman lors de l'Imagina'Livres 2019, j'ai découvert l'auteure et la maison d'édition que je ne connaissais pas, et je me suis laissée séduire part deux de leurs ouvrages.

L'auteure aborde le thème de la métamorphose entouré de légendes, d'un écrivain curieux à la recherche de sa muse et d'une mystérieuse jeune femme qui va très vite l'obséder. La plume de l'auteure nous laisse rêveurs, très poétique mais sans exagération, si bien que la lecture reste agréable et facile. (entendez par là que les tournures de phrases ne sont pas alambiquées). Légèrement noir, le roman intrigue et transporte son lecteur dans un monde fantastique piqueté de féérie.
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J'avoue que le résumé offre l'ambiance gothique et végétale que le livre nous dépeint. Si je suis un peu friand du côté gothique des livres, le côté plus sensuel n'est pas réellement ce qui m'intéresse le plus dans ma lecture. Néanmoins, j'ai quand même aimé ce que lisais. C'est un livre à ambiance, où on nous présente un conte, qui rencontre la réalité, sous les yeux rationnels d'un héros que j'ai trouvé alors très stupide.

Mais il n'est en soit pas stupide, il est… Rationnel. Sa dissonance cognitive fait qu'il ne comprend pas de suite le lien entre tout ce que son esprit lui souffle. Même si, pour nous, lecteurs, ça peut être tout de même assez frustrant.

J'avoue avoir apprécié l'élément qui se dégageait du livre. Peut-être qu'à certains endroits, j'ai trouvé que ça faisait un peu beaucoup de végétal à mon goût, ça m'a plu tout de même. D'autant que j'adore le lierre, et qu'il y avait cette notion noueuse, et empoisonnée, qui se détachait de la beauté des feuilles, dans les mots donnés par l'autrice.

Bien qu'à certains endroits, l'écriture m'a semblé trop simpliste, à d'autres moments, et notamment dans le récit de Rose, on sentait la volonté d'une poésie végétale, et c'était assez sympa à lire.

Ça m'a rappelé l'art nouveau. Et bon, c'est mon mouvement artistique préféré, donc j'avoue, ça m'a un peu touché. Ce côté très organique, féminin. On a l'histoire d'un personnage mystérieux, le “Lierreux” même si le suspens à mon goût n'est pas très élevé et qu'on comprend vite qui est quoi quand comment. Peut-être que c'était un peu trop rapide de se douter de ce qu'il se trame.. Ce qui a rendu encore plus frustrant l'existence du héros et de sa rationalité. Aussi si de mon côté Rose ne m'a pas ensorcelé, j'ai trouvé que son côté envoûtant était assez bien décrit.

Du reste, j'ai aimé l'idée de la créature, c'était mon plus grand mystère. Qu'est ce que c'était exactement. Et au final, c'est juste un Vert-de-Lierre, une sorte de mélange étrange entre plusieurs mythes que je connais bien. A vrai dire, j'ai même pensé à Mélusine, parce que je l'associe souvent aux cheveux roux même si en soit je ne sais pas s'il y a un lien.

Et il y a un côté assez féministe, sur la délivrance de la femme, de ses besoins, sur l'emprise de l'homme qui se pense tout permis et qui ne vois en elle que son corps et rien d'autre. Néanmoins j'aurais aimé… Je ne sais pas, une délivrance peut-être plus marquée, mais ça n'empêchait que le message était bien passé pour moi.

Par contre, ce que j'ai apprécié, c'est qu'à aucun moment le livre ne se voulait vulgaire. Et si encore une fois, je crois que tout ce qui est sensuel, ça ne marche pas trop quand il s'agit du format livre sur moi, c'était bien que ça soit juste sensuel et pas plus.

Ainsi, j'ai bien aimé ma lecture, qui répond à sa promesse narrative, et nous plonge dans une certaine ambiance qui, si elle ne m'a pas conquise jusqu'au bout, m'a été agréable à lire.
Lien : https://koalavolantchronicle..
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Un roman qui tient tout du roman gothique d'antan. Revisitant le mythe du vampire en mode végétal, l'auteur nous entraine, avec un style fluide et léger qui a quelque chose de musical, à travers une histoire plus sombre qu'il n'y paraît. A lire pour tous les amateurs du genre.
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