Citations sur L'Odyssée de Fei Wong, tome 2 : Les Seigneurs de la nuit (7)
Le père qui n'enseigne pas ses devoirs à son fils est autant coupable que ce dernier s'il les néglige.
Les luttes intestines entre les grandes familles vénitiennes, voilà le vrai fléau ! Tous complotent les uns contre les autres et vice versa...
Le monde n'est qu’escroquerie au rêve.
- Je t'ai déjà expliqué que Venise est une République indépendante, un État libre. Ici, le pouvoir est partagé entre tous les nobles. Et plus important encore, à Venise tous les détenteurs du pouvoir sont élus, jusqu'au doge lui-même qui est à la tête de la Sérénissime.
- Ah... et c'est votre religion de chrétiens qui veut ça ?
- Rien à voir, non. C'est même exceptionnel comme situation. Seuls quelques cité comme Florence, Gênes ou Venise sont des Républiques. Les autres États chrétiens sont dirigés par des ducs ou des rois héréditaires, comme en France, en Castille et Aragon, en Angleterre ou au Portugal.
- Mais alors, qu'est-ce qui soude les habitants de Venise entre eux ?
- L'argent bien sûr !
- Tu ne crois pas que tu en fais trop, là ?
- À Venise, on n'est jamais trop prudent...
La mort n'est pas une fin.
- Tu dois apprendre à respecter davantage les croyances des autres !