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Critique de JLBlecteur


Par imienne pastiche torchonerie, je m'en va explicaillé why j'ai lu icelle parcheminerie un peu jobarde voire faisandée de la ciboulerie.

Voilà, piqué au vif par les critiques dites ‘tyran-biques' vues ici et là (HordeDuContrevent, Kirzy…), je brûlais de trépidance d'openner cette historic-story quitte à m'y cramer les wings si le plumage et le parlage qui s'y dispensent ne me conviendrayent pas. Peut-être me faudra bucher mon vieux françois (Mitrand,  Fion, qu'importe) pour mener jusqu'à la finistration cette readure tourneboulée comme l'aurait pu celle de Domrémi si elle had su lire (les versions audio n'existaient pas encore, dommage pour la Jehanne qu'était plutôt auto-centrée sur ses esgourdes)

Vautré sur mien sun-bath (kaseberga de chez Ikéa), le corps dardé et marqué par les écarts latte après latte (il faisait en corbeau quand j'ai pris cette plume), ne craignant pas les escarres, billes en tête, j'échaffaudayai un plan incrottable pour griller cette angoisse tonitruante qui me consumait les tripouilles : mien avis être de mèche avec ces criticouillages qui m'avaient cornedebiquement enflammé la meningette ?

‘Pas de fumée sans feu, me dis-je, (sérieux pour une fois), cette prose incandescente de lit (du verbe lire) à allumé ta curiosity, soye shurely qu'il n'y a pas là que ‘powder to eyes'.

J'étais donc en accord avec icelui-même, me disant qu'en cas contraire,
j'adore aller sans mon accord !

Alors je m'y lance, prompt comme une flèche vers sa cible  !!

Tout feu tout flamme, me voilà donc, cramoisi (Biafine à portée de mains) tournant mes pages de book comme le barbecue ses broches au dessus des braises, les joues fichtrement ardentes et rubicondes par tant de plaisir, ébaubi (lapointe), brûlant de la fièvre affectueuse du lecteur repu et rompu (comme le bon pain) qui n'en peut plus.

Voilà là itou un ouvrage qui ne fera pas long feu, pensai-je!!

A veritably feu d'arti, fils (dis-je au mien) ! J'ajouterais même mieux, un feu d'arti père et fils tant ça pétarade à tout va et en tous sens!!

La french history review and corriged by a naturaly child of Georges Brassens, Michel Audiard, Frédéric Dard and Bobby Lapointe.

Mais que de jobarderie !!

J'imagine fastochly la Jehanne découvrassant présent escribouillage : elle se return surement dans sa…non, plutôt elle s'extripatouille de son vase funéraire, fait un urne-out et dispendouille ses cendres aux vents mauvais (comme dit si bien Verlaine ) devant une so iconoclastique biogrephaï qui nous rejette dans la so noisy guerre de s'entend.
Estomaquée par tant de crimes de baise-majesté, la louche escuillère dessert ses guiboles qui la lâchent (crac) et privent tout de go la Jehanne d'arquer. Elle fall down. Boum. Evanouillie !

Because ? Esgourdez bien l'argutie dudit escribouillage: Yolande d'Aragon (dite Yo (et qui yoyotte a lot de la touffe)) est enjouée d'avoir épousaillé un Louis, pas Aragon (Elsa (qui trie au lait) ne voulait pas) mais d'Anjou, comme le cabernet (hic). Elle en est toute rosée de son petit bouchon de Loulou et d'en jouer les instigatrices en créant ‘l'école des jeannes' ! Mais, contrairement à la tradition lancée par maître Jacquouille Martinouille, tout le monde ne tirera pas la queue du niqué puisque le but est de n'en faire éclosoire qu'une only guérillère qui saura (qui saura, qui saura…) sauvegarder le french royaume des perfides englishes.

Pour garnir les bancs (de devant et les arrière-bancs) de son so chic establishement, quinze children sont recrutées (heu, achetées) et soumises à moultes espreuves qui permettront de hit-parader, non pas une potiche à l'oeil de biche qui tortille des miches, mais icelle qui sera la plus fortiche pour bouter les famous englishes, l'ÉLUE, so !
Un peu comme la Star-Ac avant l'heure mais avec la Yo en mestresse cérémonieuse en dieu et place de Nikos Ha-il-Agace. Pour voter pour Jehanne 1, tapez 1, pour Jehanne 2, tapez 2 etc…

Elle en est fort shure, la Yo, elle va la dénicher sa grosse et sainte huile, foi de morue (féministe, la Yo!)

Mais Damned ! Tout lui porte poisse. Elle a eu beau avoir bourses déliées, elle se retrouve l'escus bordés de nouilles tant potatoes sont les niguedouilles candidates de sa Jehanne-Ac quand elle ne clamsent pas de vermineuses maladies ! shit, bitch et Mortecouilles !

Bon, y a quand même la number douze qui puire un peu moins la loose que ses connesoeurs mais qui, jobinardement, semble foutrement atteinte d'une dinguerie hardos de la bulberie!

La twelve: tout elle veut, tout elle peut !

« But what a trogne, a cochonou's publicity la prépubère ! Sky, my hus bande! » s'auto-grogne la Yo Dans son ford intérieur cuir (pub) !!

Bon allez, trêve de blablabla, Yo se retrousse les chausses et secoue les nouilles stayées alive (hou, hou, hou, hou, stayées alive, stayées alive).
Alive, certes, but not au pays des merveilles because pendant une sienne tournée berruyère, les sillons de la Jehanne-Ac ont été abreuvés de sang impur, trucidant de facto nunuches pestilentes postulantes, n'alivant plus qu'un quartet dépenaillée diffical to accorded, d'autant plus que c'est la douze qui est escoupable du dit sanguinolent carnage mais aussi la plus prompte à occire (d'abeille) à la chaîne hight fidélity pour défendre les siens arrières comme les siens devants !

Alors, et si c'était elle, la douzième, la  vainqueresse de la Jehanne-Ac année 0?!

Seulement, Yo ignore que la douze en pince en douce pour icelle et qu'en sienne absence, elle a goûgoûté aux orgasmiques léchouillages de l'entregigots qui rendent maboule du fondement comme du ciboulot !

But good, la voilà désignée star de la Jehanne-Ac et elysabethée « Jehanne D'Arc, pucelle de Domrémi ».

Les others survivantes reprennent leur blase d'origine jouissant cependant (Oh yess, again, again!!!) de divers postes de consolation comme apple-dauphines auprès de la pseudo envoyée spéciale de la divinosphère ou biographe officielle (pseudo : Mary Patch).

Peut alors commencer véritablement l'épique épopée de notre héroïne nationale dont je vous ferai grâce en longueur, disant simplement que le reste du roman est du même acabit que cette première partie sur laquelle je me suis lourdement appesanti.

Iconoclaste et jubilatoire, le récit d'une inventivité incroyable s'amuse avec la légende historique (Charles VI au bal des ardents, Chinon et Charles VII démasqué, la libération d'Orléans, les voix, le sacre de Charles (ou la populace se Reims l'oeil quand il exhibe son vert missel) jusqu'au rouennais bûché), réunissant en un symbolique et dantesque combat allégorique et amazonien l'ensemble de ceux menés par la Jeanne bouteuse d'english, tout en nous lançant régulièrement des clins d'oeil complices à propos de sujets actuels.
Il nous précipite avec délectation dans cette chevaleresque digression à la condition, of course, d'adhérer à ce style hors du commun ou argot, vieux français, termes anglais revisités et néologismes inspirés se côtoient pour créer un langage à nul autre pareil!

Une régalade (moins l'épisode ‘heroic-fantaisy/monde parallèle' qui n'est pas genre à me plaire, not my cup of gnôle, d'où la demie étoile en moins)

Pour tout résumer en un seul mot :
c'est CRUTULENT !!

PS : Mention spéciale pour l'allusion à la petite Marie du ménestrel Cabrel en page 10 ou aux éructations Goldman/Dion en fin d'ouvrage!
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