Monsieur le Procureur de la République,
Je ne peux plus passer un dimanche tranquille. Il y a des énergumènes sans nom qui viennent m'agresser chaque dimanche. Je vis seule et je suis très âgée. Je ne peux pas me défendre contre ces gens que je ne connais pas. Je n'ai plus d'intimité, ils troublent le repos que, vu mon grand âge, je dois prendre chaque dimanche. Ils m'insultent et profitent de ma sénilité pour m'abuser. J'ai donc l’honneur et l'avantage de porter plainte contre ces individus afin que vous les arrêtiez. Signé, Carmen Cru.