Oui, perdre son âme c'est facile en politique.
Le kadjmakan baissa les yeux.On est toujours le petit garçon de quelqu'un.
Péricles avait compris que le malheur des pauvres n'est pas seulement une question d'argent.Dans leur lutte pour la vie,ils se battent chargés de chaînes invisibles et cependant pesantes:l'ignorance,le manque d'entregent des humbles...
Le juif n'avait aucune raison de se fier à lui.Mais un homme traqué ne refléchit pas trop sur la main qui se tend.
On a toujours eu le sang chaud à Salonique, mais la diversité des races et la haine qu'elles se portaient mutuellement en cette époque troublée attisaient ce tempérament belliqueux.