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Henry Neff est le personnage que l'on aimerait croiser sur son chemin. Il est l'incarnation même du positivisme ! Sympathique, souriant, bordé d'imagination, il n'a pas son pareil pour dénicher les objets que les gens perdent dans les trains. Et si personne ne vient réclamer un objet fort personnel, qu'à cela ne tienne ! Il dénichera son propriétaire. Ce qui lui vaudra des rencontres inattendues, telle que celle de Fédor Lagutin, jeune mathématicien originaire de Bachkirie, invité à participer au congrès de l'université des Sciences et Technologies.

D'une belle écriture fluide, l'auteur ne raconte pas seulement une histoire agréable. C'est beaucoup plus profond que cela. La différence et le racisme, la violence qu'on ne désire pas mais qui devient nécessaire dans certains cas, le carriérisme, la politique de restructuration, la mise à la retraite forcée et le vécu qui s'ensuit, la maladie, la vieillesse et la solitude.

Pourtant, on ne ressent aucune sécheresse, aucune aigreur, grâce à son personnage atypique et tellement généreux.

Il est indiqué que le bureau des objets trouvés est un des romans qui conclue l'oeuvre d'une vie. Sans connaître encore les autres oeuvres de Siegfried Lenz (mais je vais me rattraper), oui, je peux le croire. La Vie y est condensée, de toutes ses couleurs claires ou sombres, dans un pur moment de lecture.
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J'ai été charmé par mes lectures de l'auteur allemand Siegfried Lenz et j'avais de grandes attentes envers le bureau des objets trouvés. Malheureusement, ces attentes n'ont pas été rencontrées. le récit se déroule à l'intérieur du pays, loin des côtes du Nord auxquelles l'auteur nous a habitué. le jeune Henry Neff, vingt-quatre ans, rêveur, errant sans but et se laissant aller au gré des événements – heureusement pour lui, sa famille est riche, s'est trouvé un emploi au bureau des objets trouvés d'une compagnie des chemins de fer. Là, il fait la connaissance des autres employés, dont Albert et Paula, mais surtout de « clients » de toutes sortes, menant à des situations assez cocasses. Lenz s'est essayé à l'humour. C'est assez inattendu, très différent, mais je ne suis pas certain du résultat.

L'un des « clients » est Fedor Lagutin, un mathématicien russe de passage – il participe à une conférence – et le jeune employé modèle lui restitue une mallette contenant des documents importants. Ce sera le début d'une amitié entre les deux, improbable mais apparemment suffisante pour que les rencontres se multiplient et que le voyageur rencontre Barbara, la soeur d'Henry, et que le coup de foudre s'installe. Tous ensemble, ils connaitront quelques péripéties qui m'ont ennuyé longuement et royalement. Je n'y ai pas cru, à cette amitié nouvelle, et encore moins aux personnages eux-mêmes. Lagutin est d'une politesse exaspérante, Henry est tellement dévoué qu'il en devient ridicule. À vouloir être trop gentil, on devient bonasse. Barbara, chiante. Quant aux autres personnages, à la limite de la caricature, je n'en parle même pas.

Certains lecteurs trouvent de belles qualités à ce roman. Ils n'ont sans doute pas tort. En tous cas, pas complètement. On y dépeint de bons sentiments, de valeurs importantes, blablabla… Liberté, marginalité, amitié, tolérance, racisme, haine, violence, etc. Mais je ne lis pas un pamphlet de lutte contre l'intimidation destiné à un public adolescent, plutôt un roman. Je ne vois pas du tout l'intérêt de cette histoire, je pense réllement avoir perdu mon temps en la lisant. Bref, c'est une grande déception, compte tenu de l'immense talent de Lenz.
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Le monde du travail peut-il s'accommoder de salariés heureux? le plaisir est-il suspect? le regard que pose Siegfried Lenz, sur ses concitoyens, nous délivre un message d'humour et de sagesse loin de la société productiviste, comme ses contemporains allemands aiment la porter en exemple, aux yeux de leur propre jeunesse, ou de leurs homologues européens.
Glorifier la réussite comme un manifeste de l'éloge du sacrifice.


Pour ma part j'ai vu dans l'attitude de l'employé atypique Henry Neff et le récit de Siegfried Lenz un pied de nez à tous ceux qui affirment, savoir à la place des salariés, où se trouve le vrai bonheur, s'il existe, des hommes et des femmes au travail.


Ce roman "le Bureau des Objets Trouvés" qui ne dit pas son nom (les objets sont bien perdus), est bien un pamphlet à ciel ouvert sur cette société qui multiplie les recours à des spécialistes en organisation, pour alléger le coût du travail et le nombre des salariés. A la différence de l'immobilier où le nombre de m2 augmente la valeur des biens, dans le monde du travail le nombre de salariés diminue la valeur des sociétés. le fameux coefficient d'exploitation, CA/ Nbre de Salariés, ou chiffre d'affaires par salarié, est le mètre étalon. Quand Henry Neff, voit son collègue Albert licencié, il décide de prendre sa place et réclame son licenciement contre la réembauche d'Albert.


Ironie grinçante, l'auteur met en scène les perdants ! Logique non ! Puisque les vrais perdants ne sont pas les voyageurs mais bien les salariés. Ah, dilemme comment faire des gagnants en business avec des perdants... L'auteur s'amuse et nous aussi à travers des trouvailles insensées, sous l'oeil intrigué du calculateur de performance.
Ainsi, après avoir reçu organisateurs, représentants du DRH, experts en tous genres, l'employé modèle a cette pique page 62, "Aujourd'hui les experts et les contrôleurs ont le vent en poupe, rien ne va plus."


Le problème qui intrigue en particulier son oncle et la direction des Chemins de fer est ce constat, Henry Neff est heureux! Il se confie page 39, "Si j'avais su quel plaisir me procurerait le travail au bureau des objets trouvés, j'aurais demandé la mutation bien plus tôt."
Ce qui intrigue encore plus la direction des Chemins de fer, est qu'il est efficace, et utile, "donc pendant mon absence tu vas me remplacer, et devenir mon remplaçant dira son chef", page 301.
Mais ce qui angoisse le plus la direction des Chemins de fer, est son goût pour la fête, illustrée par cette exclamation de consternation, page 34, "vous avez transformé ce bureau en music-hall!"


Henry Neff a d'autres qualités, il rend service, n'est-ce pas un comble. Henry a cette réponse aussi désarmante pour un DRH que pour un syndicaliste, "Cela fait partie de mon métier. Nous aidons les perdants à retrouver leur bien", dit-il page 68.

Fédor Lagutin, son nouvel ami, russe, est un perdant et un chercheur. Il vient d'être invité comme scientifique par les autorités universitaires, pour trouver de nouvelles lois comme celle de la Gravité.
Le voici devisant avec le professeur Wolfram un anglais qui soutient page 250 "que la loi de la chute des corps diffère de la chute réelle d'une pomme, mais que le calcul de cette chute est en revanche identique à la chute elle-même!" Intéressant non ?


Ainsi chaque objet perdu devient le prétexte pour imaginer une histoire loufoque. Tel perdant doit prouver qu'il est bien un lanceur de couteau, magnanime Henry se fera cobaye et admiratif devant la précision du lancer, avant de rendre beau joueur, la boite aux six couteaux à ce perdant pas comme les autres.

Ou bien c'est l'objet, une poupée par exemple, qui va servir à délirer, le perdant ne viendra pas réclamer sa fortune cachée dans la poupée, n'ayant aucune preuve que cet argent si bien caché est le sien.

Siegfried Lenz s'attache à montrer combien les hasards de la vie constituent pour le romancier des pépites pour s'amuser.
Un livre pas sérieux, ou le contraire, totalement trompeur, car il est habilement bourré de petites fables, chacune délivre un message à notre ravissement.
Attention les meilleurs gags sont parfois sournoisement maquillés.
Toi, tu sais à quoi tu veux arriver dans la vie ?
Quand j'entends le mot "arriver", cela me fait aussitôt penser à "gare d'arrivée". J'entends l'annonce : "Terminus, ici terminus, tout le monde descend. Page 240.

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«Le bureau des objets trouvés» est un livre sur les perdants ceux qui ont perdu des objets (c'est ainsi que les nomme l'auteur) et ceux qui sont considérés comme perdants par notre société parce qu'ils sont trop tendres, trop rêveurs, qu'ils ne veulent pas être décideurs.

Henry Neff aime vivre sans but précis à atteindre, sans objectif au gré de sa fantaisie. Il est pourtant fils d'une famille riche, son oncle occupe un poste élevé dans les chemins de fer et son père est un négociant en porcelaine ancienne. Mais il ne veut pas s'impliquer et préfère vivre seul, à l'écart de sa famille. Il veut rester léger, libre.
Il se présente donc pour être embauché comme simple employé au bureau des objets trouvés de la compagnie des chemins de fer. Et là, il va se trouver dans son élément. Les objets perdus lui permettent de laisser libre cours à son imagination et quand des propriétaires viennent en réclamer, cela donne lieu à des scènes cocasses où Henry fait preuve d'initiative et improvise. Il joue. Il sympathise avec Albert Bussmann l'employé le plus âgé qui va être la première victime de la restructuration de leur service, il est immédiatement attiré par Paula la secrétaire.
Il se recrée ainsi une famille à lui.
Un jour il va rapporter sa sacoche à Fédor Lagutin, un chercheur en mathématiques invité par l'Université, originaire d'une tribu de l'Oural, les bachkirs. C'est un homme plein de charme, d'une grande douceur qui va toucher Barbara la soeur de Henry et aussi sa mère.
Mais Henry et Fédor, devenus amis, vont se trouver confrontés à la violence, violence verbale, blessante envers l'étranger qu'est Fédor, et physique....

Siegfrid Lenz a le don d'aborder des problèmes graves en restant simple, plein de compassion et son ton reste toujours doux. Ses romans n‘en ont que plus de portée et celui-là n'est à aucun moment ennuyeux.
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N°626– Février 2013.
LE BUREAU DES OBJETS TROUVESSiegfried Lenz1 – Robert Laffond
Traduit de l'allemand par Frédéric Weinmann.

Henry Neff, 24 ans, se présente au bureau des objets trouvés d'une gare allemande (« Là où nulle part au monde(on ne rencontre) autant de contrition, d'angoisse et de mea-culpa »).
S'il fait cela, ce n'est pas parce qu'il a égaré un objet comme on pourrait s'y attendre mais il vient y prendre son poste et surtout souhaite faire une longue carrière dans cet emploi subalterne alors qu'un poste plus important s'offre à lui dans le négoce familial. Pourquoi cette voie de garage pour un homme jeune et plein d'avenir ? C'est qu'il est un peu marginal, cet Henry et avoue volontiers une passion pour le hockey et pour les marque-pages ! Pire peut-être, il semble avoir choisi cet emploi aux « objets trouvés » pour satisfaire son imagination débordante, un peu comme si c'était là sa seule motivation. Chaque propriétaire met un point d'honneur à récupérer des objets anodins, irremplaçables pour eux, un peu comme si toute leur vie y était contenue et en dépendait. Lui considère que ces objets improbables venus de nulle part qui se retrouvent ici à titre temporaire sont certes autant de tranches de vie appartenant à des inconnus mais aussi autant d'invitations à une mise en situation qui satisfait son imaginaire. Il devient le metteur en scène de saynètes parfois un peu surréalistes.
Au travail, il cohabite avec des collègues aussi différents que Paula, une femme encore jeune qui souffre que son mari la délaisse et qu'il cherche à consoler, ou qu' Albert, un vieux garçon tout entier dévoué à son vieux père.

Son travail l'amène à rencontrer Fédor Lagutin, un mathématicien universitaire russe avec qui il devient ami. Ce dernier ne laisse indifférentes ni Barbara, la soeur d'Henry qui travaille dans la florissante entreprise familiale ni même sa mère. Les deux femmes apprécient autant la discrétion de l'homme que sa manière de parler la langue allemande dont il maîtrise parfaitement les nuances. Cette manière d'être est, en plus des mathématiques, son oasis à lui.

Henry et d'ailleurs son ami Fédor, un peu perdus dans leur monde respectif, semblent apprécier la tranquillité, pourtant la bulle dans laquelle s'était volontairement enfermé Henry se fissure sous les coups du quotidien: A l'extérieur, il est agressé par une bande de motards, il voudrait bien, en séduisant Paula, sortir de sa routine ou s'enfermer dans un autre univers, mais cette femme qui l'aime bien et l'apprécie comme collègue ne veut pas en faire son amant parce qu'elle sait qu'une passade ne débouche sur rien et lui préfère la vie rassurante de femme mariée, moins délétère à ses yeux que celle de femme adultère. Au travail, Albert, trop vieux, est mis au chômage malgré les initiatives généreuses d'Henry. Fédor, quant à lui, quitte l'Allemagne devant les scènes de racisme ordinaire et Barbara est désespérée par la fuite de Fédor.

Dans une société qui apprécie les êtres à l'aune de leur rentabilité, leur richesse, leur potentialité, ce livre est consacré aux « perdants », non pas tant à ceux qui ont perdus un objet, mais surtout à ceux, comme Henry, qui refusent cette logique de la société, ceux qui préfèrent être des rêveurs et surtout pas des décideurs, ceux qui refusent la promotion parce que cette finalité ne leur convient pas, qui préfèrent rester à l'écart de tout cela pour être tout simplement seuls et libres, c'est à dire en marge des exigences sociales. Ce roman consacre cette impossibilité en mettant en évidence la réalité quotidienne faite d'intolérance, d'incompréhension, de haine, d'hostilités, de logique financière, une manière de rappeler que si une forme de vie marginale est possible, elle se heurte à tous ceux qui ne la comprennent pas ou simplement ne l'admettent pas.
Il est aussi question de ceux qui agressent les autres, les plus faibles, ceux-là même qui ont choisi une forme marginale de vie. Ces provocateurs portent la méchanceté en eux, la matérialise avec violence et lâcheté sous la forme d'un racisme ordinaire ou de l'ostracisme, pour se prouver qu'ils sont les plus forts ou simplement qu'ils existent.

Le romancier nous raconte une histoire, lui aussi se réfugie dans sa bulle et recrée un monde qu'il offre au lecteur, libre à lui de le recevoir ou pas. Ce roman peut être considéré comme une simple fiction, mais en réalité tout cela est bien banal, c'est un simple miroir de notre quotidien. Combien sommes-nous à avoir voulu vivre dans de belles certitudes, à avoir voulu nous draper dans l'assurance que les choses ne changeront jamais, qu'elles sont le gage d'une vie selon notre coeur... Puis un jour tout s'effondre brusquement à l'occasion d'un rien, mais ce rien est révélateur d'un changement définitif. Combien sommes-nous à refuser l'autre parce que simplement il est différent ?

©Hervé GAUTIER – Février 2013.http://hervegautier.e-monsite.com



Lien : http://hervegautier.e-monsit..
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Il est bien sympathique, ce roman tardif de l'auteur allemand Siegfried Lenz. le personnage est un jeune homme un peu farfelu, Henry Neff, qui se trouve employé dans ce Bureau des objets trouvé dans une grande gare.
Aux voyageurs à la recherche de leur objet perdu il demande des preuves impossibles pour prouver qu'ils en sont le propriétaire légitime. Il tombe amoureux d'une collègue plus âgée et mariée, tout en s'amusant avec les objets qu'il est censé garder. Et il a des soucis avec sa soeur, un étranger, et une bande de motards. le monde est parfois menaçant, mais Henry refuse de se fixer un but pour échapper aux dangers qui rôdent quand on a un comportement déviant.
Siegfried Lenz, que je ne connaissais pas avant, je l'avoue honteusement, a un style simple, clair , pas très innovant, mais son récit contient des agréables pointes d'ironie. Après une scène clé , dans laquelle Henry et sa collègue regardent un film, Henry s'offusque que le film soit bourré de symboles. Suit une scène dans le chapitre ... bourrée de symboles. C'est marrant, mais vers la fin une légère amertume s'installe. On laisse Henry dans son Fundbüro, avec un avenir incertain. Les vrais objets trouvés dans ce roman, ce ne sont pas les choses qui attendent d'être retrouvées, ce sont les humains pour qui ce n'est pas sûr qu'il y ait des retrouvailles.
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ces pages entraînent le lecteur dans le quotidien plaisant des employés du bureau des objets trouvés dans les trains.
Henri, jeune homme fantasque et sympathique participe à ce travail d' équipe.
Au fil des pages et des rencontres, ce héros se révélera altruiste, courageux et amoureux.
Grâce au talent de l' écrivain et à la maîtrise de son écriture, ce roman autour d' une boutique de chiffons abandonnés ou autres pacotilles, est passionnant.
Comme dans la plupart de ses oeuvres, l' auteur souligne, avec discrétion, les zones sombres de la société allemande actuelle.
Tous les livres de Siefried Lenz , disparu en 2014, sont magnifiques.
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J'ai souvent trouvé la littérature allemande contemporaine très grave et profonde, pas forcément reposante. Siegfried Lenz m'avait séduite avec « la leçon d'allemand » et j'ai acheté ce livre au titre curieux . Ce Roman assez court a été un pur bonheur. Très bien traduit, ce qui n'est pas toujours le cas pour les romans allemands, il fait rêver le lecteur. le héros positif et doux nous transporte dans son univers au milieu des objets délaissés dans ce bureau douillet. Tout est poétique, je suis sortie de cette lecture heureuse et souriante. Un elixir de joie, fort utile en ces temps moroses.


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Henry Neff demande sa mutation au bureau des objets trouvés de la compagnie des chemins de fer. Considéré comme l'un des plus grands écrivains allemands j'ai été ravie d'avoir pu découvrir son roman. Ce roman très bien écrit aborde plusieurs thèmes dont l'amitié, la tolérance, la haine mais aussi le monde du travail. Une société où il va falloir licencier.
Le personnage d'Henry m'a été très sympathique, joviale et optimisme. Il prend plaisir à faire son travail, qu'il trouve rempli d'imagination. Chaque objet perdu raconte une histoire mais laquelle? Selon lui, les objets trouvés sont une rencontre, un croisement de destin avec ses propriétaires d'où la recontre avec le personnage de Féodor.
Beaucoup de situations cocasses avec les clients qui doivent pouver qu'ils en sont bien les propriétaires, je repense au lanceur de couteux ...
Un livre à lire pour en découvrir son auteur.
Toutefois le roman n'étant pas structuré en chapitres mais en paragraphes la lecture a été parfois difficile.
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Très moyen. On ne sait pas où l'histoire veut nous conduire.
Un peu désuet avec ses anecdotes de rien longuement explicitées
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