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sur 4950 notes
Susan et Philip sont amis depuis l'enfance. Philip est toujours présent à chaque fois que Susan a besoin de lui, au décès de ses parents, quant elle décide de partir pour le Honduras pour faire de l'aide humanitaire et bien sur quant il voit un beau matin arriver la fille de Susan et qu'il va devoir prendre soin d'elle. Marc Levy reste un auteur qui sait nous raconter de belles histoires mais celle-ci ne sera pas dans mes préférées.
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Cela faisait un certain temps que je n'avais pas lu un ouvrage de Marc Levy, et à vrai dire, en lire un de temps en temps, ça ne fait vraiment pas de mal, bien au contraire.

Si l'on reprend le synopsis du roman , on a deux jeunes adultes qui "ont grandi ensemble [et] sont tout l'un pour l'autre. Adolescents, ils se sont promis de s'aimer, pour toujours. Mais leurs vies ont pris des cours différents. Susan s'est investie dans l'humanitaire, là-bas au Honduras. Philip, lui, poursuit sa carrière de publicitaire à Manhattan. Séparés par des milliers de kilomètres, ils vivent dans des mondes que tout oppose. Les vents contraires emporteront-ils le souvenir de leur promesse?"

Au début du roman, on a ces deux personnages, Susan et Philip, qui ont une vingtaine d'années. Ils ont grandi ensemble, à Montclair, dans la banlieue de New-York. Ils s'aiment et se sont fait une promesse. Mais au moment de choisir leur voie professionnelle, leurs chemins se séparent. Elle, décide de s'engager dans les Peace Corps au Honduras. Lui, entame des études pour travailler dans la publicité.

On apprend que Susan a perdu ses parents quand elle était adolescente. Et d'une certaine manière, cela explique les choix qu'elle fait. Elle culpabilise de leur mort, elle culpabilise d'exister. Et, elle va chercher à "réparer" cela, en se dévouant aux autres. Elle est également en quête de liberté. Elle va tout faire pour être libre, quitte à perdre son amour de jeunesse. Philip, lui, a toujours l'espoir que Susan reste aux Etats-Unis, qu'elle ne reparte pas sans arrêt au Honduras. le personnage de Susan peut nous paraître égoïste vis-à-vis de Philip, il l'est sans doute d'une certaine manière. Mais, elle a ses raisons pour agir ainsi; raisons qui sont tout à fait justifiables. On est face à deux personnages qui jouent un peu au jeu du chat et de la souris, ou plutôt à "je t'aime, moi non plus". Pendant ces premières années de leur vie de jeunes adultes, ils ne se revoient qu'une fois par an, pendant deux heures, à l'aéroport. Il a toujours l'espoir qu'elle reste. Elle n'a qu'une hâte, repartir, sa vie n'est plus ici. On a donc deux êtres qui s'aiment, mais qui sont conscients qu'ils ne pourront jamais vivre ensemble. Malgré les années qui passent et la séparation, un évènement va les rapprocher...

J'ai beaucoup aimé ce roman, qui m'a touché, profondément ému. J'ai aimé cette histoire d'amour, car au fond c'en est une, avec ses hauts et ses bas. C'est une histoire d'amour impossible, car les héros la rendent ainsi. Tous les personnages ont leur faille. Je me suis facilement identifié à eux. Ils font des choix qui peuvent nous interpeller, mais qui sont compréhensibles. J'ai aimé aussi la partie épistolaire du roman, qui permet au récit d'avancer. A travers ces lettres, on voit les personnages s'éloigner peu à peu l'un de l'autre . L'adage "loin des yeux, loin du coeur" prend ici tout son sens. Et pourtant, Susan et Philip continuent à s'aimer. On vit les péripéties des personnages, il y a du suspens, des évènements auxquels on ne s'attend pas. Tout cela, au grès des ouragans et autres tempêtes tropicales qui ont frappés l'Amérique centrale entres les années 1970 et 1990. Une fois de plus, Marc Levy nous embarque facilement dans l'univers qu'il créé. Ce n'est pas pour rien, s'il est l'un des auteurs français les plus lus et les plus vendus dans le monde.
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Un de ces livres que j'aime lire comme ça, sur un coup de tête, pour voir des personnages différents de moi, voir une vie différente de la mienne. Et comme à chaque Marc Levy que je lis, il prend tout son sens à la fin. Après avoir été surprise, déçue, émue, je me retrouve avec une histoire en tête, peut-être pas parfaite, mais où il y a de l'espoir au bout du tunnel ! Et c'est ça que j'aime !
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Pour une fois, je n'ai pas réussi à m'attacher aux personnages, à rêver avec eux. L'intrigue est touchante, comme toujours mais j'en suis restée extérieur, me contentant de suivre les évènements d'un oeil lointain.



Si je n'ai pas pu entrer pleinement dans ce roman c'est particulièrement à cause de la relation qu'entretiennent Susan et Philip. Néfaste et destructrice, je n'ai pas compris l'insistance des personnages à essayer de faire perdurer cette relation. Leurs échangent épistolaires sont agréables mais leur rencontre à l'aéroport finit toujours en cauchemar. Ils n'ont pas les même envies, désirs et cela les freinent dans leurs vies respectives.



Susan m'a beaucoup agacée, c'est un personnage généreux mais égoïste à la fois, vaniteuse, impétueuse et rebelle. Elle aime semer la zizanie et se fou de faire souffrir les gens. Ces envies de voyage sont compréhensible mais les mots avec lesquels elle les justifient sont blessants et fourbes.



Philip est bien trop naïf à mon goût, il espère toujours après Susan et délaisse sa vie. J'avais bien envie de lui secouer les puces pour le faire réagir.



Mary m'a plu, elle m'a fait sourire et m'a touchée par sa position délicate dans cette relation. J'ai eu de la compassion pour elle même si certaines de ces réactions sont parfois excessives et certains de ses dialogues trop pompeux. Elle reste attachante et aimante, blessée dans sa fierté, elle sait faire face et donner le meilleur d'elle même.



Lisa est le personnage qui m'a le plus touché, elle est fragile, a du grandir trop vite et cela l'a marquée. Sa peur, ses angoisses m'ont interpellées et je ne peux que compatir avec elle. Ses remarques rares mais cinglantes m'ont surprise, parfois en bien parfois non mais toujours avec une justesse étonnante.

J'ai aimé retrouvé la plume de l'auteur, voyager au gré du Honduras et apprendre à aimer un peuple que je ne connais guerre. L'intrigue de fond est bien pensée même si elle reste prévisible. Toutefois, les personnages m'ont peu plu et mon coeur est resté lointain à tout cela.

Lien : http://preskilia.blogspot.co..
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Une histoire pleine d'émotions, d'un amour impossible, une histoire de promesse… très joli roman qui m'a beaucoup touchée. Juste au moment où je commençais à me dire que le roman était plat, où il n'y avait pas grand-chose d'exceptionnelle, le rebondissement arrive… Il est vrai qu'à la fin, on est partagé entre la colère, parce qu'une femme « abandonne » son enfant dans un village où la sécurité n'est pas au rendez-vous, et la tristesse d'une famille plus où moins déchirée par les évènements qui leur arrive. C'est un livre assez sympathique à lire si vous aimez Marc Lévy.
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Livre lu très rapidement. J'ai attendu en vain qu'il se passe quelque chose. Les personnages sont décrits beaucoup trop superficiellement, donc il est très difficile voire impossible de s'attacher à eux. Et un roman où on ne s'attache pas aux personnages, non vraiment, je ne vois pas l'intérêt. Je pense que je ne vais pas garder ce livre dans ma bibliothèque. Vous êtes prévenu. ;-)
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Le meilleur roman de Marc Levy à mon sens. La classique histoire d'amour entre deux jeunes amis et amants va se muer en une histoire d'adoption dans laquelle l'héroïne disparue en Amérique Latine va confier la garde de sa fille à son ancien ami qu'elle n'a pas revu depuis des années. L'intrigue va vite se désintéresser un peu du couple de héros pour s'orienter sur l'acceptation et la reconnaissance mutuelle entre cette enfant et sa belle-mère
Un très beau livre.
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J'ai très peu aimer. Quelle déception ! Autan j'ai adoré ces précédents livres : Et si c'était vrai ? et Vous revoir.
Mais dans celui là, malgré une histoire général assez jolis et humaine, je me suis gravement ennuyer. J'ai eu l'impression de Marc Levy avait complètement baclé ce roman. Pas d'attachement aux personnages, même pas pour la petite fille. Même quand l'héroïne féminine de la première partie risque sa vie dans son combat humanitaire, je m'ennuyais vraiment. A côté de l'attachement que j'ai eu pour Arthur dans les autres livres cité ci-dessus, là c'est une abîme sans fond. J'ai eu l'impression que l'auteur était complètement détaché. Il décrit une situation comme si il n'en n'avait rien à faire. Un peu comme un scientifique à la logique implacable qui expérimente toute sorte de choses dans son laboratoire.

A la limite je suis sur que l'adaptation en film français est surrement mieux avec Elsa Lunghini.
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Voici un livre qui était dans ma PAL depuis quelques années...

Je ne lis pas beaucoup Marc Lévy mais je suis assez contente d'avoir découvert cette histoire.

Deux êtres emporter par leur choix de vie respectif, qui malgré les années, resteront tout l'un pour l'autre. Une promesse comme un dilemme qui un beau matin fera tout basculer.

Du Honduras aux États-Unis ce livre nous offre l'occasion d'en apprendre un peu plus sur les missions humanitaires, la vie d'un pays soumi aux intempéries, ainsi que sur les ouragans.

Malgré quelques longueurs j'ai plutôt apprécié cette histoire. de l'inconnu, de la reconstruction, de l'acceptation et de l'amour pour un cocktail d'émotions malmenées.

Le personnage de Lisa ma touchée, quant à Mary après m'avoir agacé je lui tire mon chapeau.

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Définitivement le roman le moins bon de Levy que j'ai lu jusqu'à maintenant. C'était extraordinairement long. J'aime pourtant les histoires où il n'y a pas beaucoup d'actions, mais ici il ne se passait rien du tout. Pas d'émotion, pas d'intrigue, pas de fil rouge à suivre.

Je ne comprends vraiment pas pourquoi Levy a écrit cette histoire. J'avais déjà deviné le "punch" de la fin, qui est malheureusement sans intérêt. Les personnages étaient assez simples, sans grande personnalité. Je me demande vraiment pourquoi je l'ai terminé!
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Par quel moyen Susan et Philip restent-ils en contact durant des années alors même qu'ils ne vivent pas dans le même pays ?

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