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3,66

sur 1839 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Me voilà partie à la découverte de Narnia, un monde parallèle au nôtre où tout est à découvrir mais surtout à construire, puisque ce premier opus, "Le neveu du magicien", est en fait une sorte de préquel dans lequel nous assistons à la "naissance" de Narnia.

Pour ce faire, nous suivons les aventures de Digory et de sa voisine Polly. Digory vit actuellement chez un vieil oncle bizarre et une vieille tante à Londres, sa mère étant alitée et son père parti pour les Indes. Il fait la connaissance de Polly, sa voisine du même âge, avec qui il aime partir en "exploration" dans les greniers. Et c'est ainsi qu'un jour de pluie, ils se retrouvent dans la pièce de l'oncle Andrew, qui leur est interdite. Mais l'oncle, qui se dit magicien, trop heureux d'avoir en face de lui les cobayes tant espérés, les manipulera de telle sorte qu'ils cèderont à son chantage : par le biais de bagues magiques, les enfants sont transportés dans un monde inconnu. Revenus de leur première expédition avec la terrible sorcière Jadis en quête d'un nouveau monde à assouvir, il faut absolument se débarrasser d'elle avant qu'il ne soit trop tard. Grâce aux bagues, ils réussissent à la transporter ailleurs : à Narnia, tout nouveau monde, né de quelques heures, où faune et flore sont à peine sortis des entrailles de la terre.

Dans ce premier tome qui ne manque pas d'aventures, nous assistons donc à la création de Narnia. Nous sont relatés son agencement, son environnement, les différentes vies qui le peuplera, implantant le cadre et les différents décors dans lesquels se dérouleront les tomes suivants. Les parallèles avec la création de notre monde (selon la Bible) sont frappants : l'arbre de vie, la pomme qu'on ne doit pas croquer, le jardin paradisiaque, la sorcière (alias Lilith), etc. Mais il n'y a rien de vraiment religieux dans l'intrigue même, ce que j'appréhendais avant lecture. On est juste en face de messages "subliminaux" disséminés ici et là dans les actions et les dialogues (tu dois résister à la tentation, tu ne dois pas voler, mentir, etc), des valeurs qui ne sont pas forcément propres à la religion.

Côté intrigue, littérature jeunesse oblige (bien que pas forcément), on rentre directement dans le vif du sujet après une brève présentation des personnages et de leurs caractéristiques "dominantes", ce qui les rend quelque peu "surjoués", caricaturaux. Et malgré l'intrigue qui ne manque pas d'action, la première moitié du livre est quand même assez fade. Il faut en fait attendre d'être à Narnia pour qu'elle devienne bien plus attrayante.

Au final, bien que pas tout à fait convaincue, "Le neveu du magicien" se lit facilement. La lecture est dynamique : les aventures sont nombreuses, semées d'embûches mais aussi de beaucoup d'humour, de magie et de courage. Je souligne certains passages sacrément cocasses, notamment en ce qui concerne l'oncle Andrew (qui récolte ce qu'il a semé). L'ensemble est peut-être un peu trop moralisateur, mais on aime à découvrir ce nouveau monde en création, les animaux parlants et autres créatures menés à jouer un rôle plus ou moins importants dans l'avenir.
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Ma première expérience avec les Chroniques de Narnia a été un échec. Ayant acheté l'intégrale après la sortie du film, j'ai enchaîné les tomes sans faire de pause et ça a été l'overdose. J'ai abandonné deux tomes avant la fin. L'échec total. du coup, après plusieurs années, je me suis dit qu'il était peut-être temps de redonner sa chance à la saga (avec une lecture en mode parcimonie).

J'avais gardé un bon souvenir de ce premier tome, même si je m'attendais, bien entendu, à découvrir l'histoire des enfants Pevensie dès le début des chroniques (Je vous rappelle que j'ai vu le film en premier ;) ). Avec le recul et cette seconde lecture, je trouve d'ailleurs plutôt sympathique d'avoir vu le film avant d'attaquer la saga littéraire. Je sais que chronologiquement parlant, c'était comme lire le tome deux avant le tome un, mais je n'y ai rien perdu. J'étais même contente de retrouver des personnages que je connaissais et de comprendre en fin de compte comment Narnia avait été créée et de retrouver plein de petits détails du tome deux. Cela ne gâche en rien la lecture du premier volume à mon sens.

Mais revenons un peu à notre fameux Neveu du magicien. L'histoire commence de façon assez classique avec deux enfants qui deviennent amis et qui finissent par se retrouver dans une histoire pleine d'aventures et de rencontres surprenantes. Les deux enfants sont attachants avec leurs défauts et leur petit caractère, intrépides, parfois censés, d'autres fois non. Mais l'important est de voir leur évolution et surtout la façon dont ils gèrent leurs erreurs. Digory est d'ailleurs celui qui cause le plus de soucis. Un héros malgré lui qui fait des bêtises certes, mais qui aussi la plupart du temps se comporte beaucoup mieux que les adultes qui l'entourent. Il faut dire qu'avec un oncle comme Andrew en face de lui, ce n'est pas non plus très difficile. Un vieux célibataire égocentrique, lâche, imbu de lui-même, sans morale… le bonhomme antipathique dans toute sa splendeur. Mais sans lui, pas d'histoire, donc on prend son mal en patience, et on suit les aventures de Digory et Polly à travers différents mondes. Polly, elle, est en un sens moins mise en avant. Elle a un rôle de Jiminy Criquet, je trouve. Et si au début du tome, elle est très présente, elle s'efface de plus en plus. C'est bien dommage car la dynamique entre deux jeunes enfants du sexe opposé aurait été très sympathique à exploiter.

Il y a bien sûr ce côté magique et fantaisie tout au long du roman. Mais avant tout, pour moi, ce tome est un conte car la morale est extrêmement présente. Parfois même trop, mais c'est ce qui est souvent reproché à l'auteur. C'est un peu étouffant dans le sens où il y a un côté étriqué qui ressort. Beaucoup de bonne volonté, et bien entendu de très bonne chose sont mises en avant, mais j'ai tendance à croire que plus on insiste sur certaines choses, moins les personnes ont envie de suivre l'exemple. Si vous voyez ce que je veux dire. Si l'on met de côté cela, il y a vraiment une part de magie qui prend vie, qui nous entraîne et on a envie d'en savoir plus, tout comme les enfants. Les règles de tous ces mondes, les règles de la magie même d'ailleurs. La naissance de Narnia a quelque chose de biblique, de pure, d'utopique aussi. La notion de mal n'est pas oubliée, bien entendu, mais il n'en reste pas moins que l'on est dans une sorte d'émerveillement constant à certains moments. le tout avec pas mal d'action, des péripéties et de l'humour. L'auteur nous parle quelques fois, ajoutant une pointe d'ironie, de drôlerie, de bon sens. A petite dose, comme c'est le cas ici, je trouve cela intéressant et cela donne une dynamique qui permet aux lecteurs de voir le récit différemment, comme si, en un sens, cela s'était vraiment produit.

Un premier tome donc réussi, avec ses petits défauts, mais sans que cela ne gâche trop la lecture. Une introduction originale à une épopée future.
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"Narnia, Narnia, Narnia, réveille-toi. Aime. Pense. Parle. Que les arbres marchent. Que les bêtes parlent. Que les eaux divines soient."

Avec ce premier tome des "Chroniques de Narnia" c'est tout un univers qui se crée et qui naît à la vie : celui de Narnia.
Pourtant, il faut attendre la moitié du roman pour enfin découvrir ce monde qui se crée sous les yeux ébahis du lecteur, tout comme sous ceux de Polly, Digory, l'oncle de ce dernier, une sorcière venant d'un autre monde et un cocher malencontreusement parti avec eux.
Avant d'échouer à Narnia, Polly et Digory sont allés dans le monde de Charn où ils sont revenus avec une reine qui se révèle très vite être en réalité une redoutable sorcière qui va manipuler Digory et son oncle pour parvenir à ses fins : "J'imagine que la majorité des sorcières se comporte ainsi, elles ont l'esprit épouvantablement pragmatique. Elles ne s'intéressent aux personnes et aux objets que s'ils peuvent les servir.".
De manipulations, il en est beaucoup question, car c'est l'oncle de Digory qui va lui forcer la main pour le faire voyager dans un autre monde grâce à une de ses bagues après y avoir envoyé Polly volontairement : "Car il savait - et il ne revint jamais là-dessus - qu'il ne pouvait décemment pas faire autrement."; mais Digory va lui aussi se laisser manipuler par la sorcière, dans le sens où sa curiosité l'emportera sur la raison et c'est lui qui la ramènera à la vie, contre l'avis de Polly.
J'ai trouvé de fortes connotations religieuses - au catholicisme - dans cet ouvrage, la tentation d'Eve avec la pomme n'est jamais bien loin.
Elle prend plusieurs formes : Digory se laissant emporter par sa curiosité et faisant sonner une cloche réveillant ainsi la sorcière, l'oncle de Digory fortement tenté de parcourir de nouveaux mondes mais ne souhaitant pas y aller lui-même, pour finir sur le jardin contenant un pommier dans lequel il ne faut prendre qu'une pomme et ne pas l'utiliser pour soi sous peine de châtiment, ce que fait bien Digory car il a grandi et compris ses erreurs mais que ne respecte pas la sorcière qui vole une pomme pour se nourrir faisant fi de la mise en garde.
Alors que pendant une bonne partie du livre Polly se montre plus raisonnable que les garçons, qu'il s'agisse de Digory ou de son oncle, voilà que l'auteur n'a pu s'empêcher d'écrire une version revisitée mais bien proche de l'original sur Eve mangeant le fruit défendu, mettant de surcroît une légère touche sexiste à son récit, le personnage de Polly venant contrebalancer cet effet.
C.S. Lewis était un catholique convaincu, ce livre en est une preuve formelle et cette croyance religieuse l'a fortement inspiré pour son roman.
Mais cela ne s'arrête pas là, car Aslan, le lion, est celui qui crée Narnia et les créatures peuplant ce monde. Certes, il ne met pas sept jours mais juste quelques heures, pourtant ce sont ses chants différents qui créent les paysages et les créatures, plaçant ainsi Aslan dans la position du dieu de Narnia.

Néanmoins, je ne me suis pas arrêtée ni focalisée sur ces considérations religieuses, l'histoire de cette série va au-delà de cet aspect et je n'ai pu manquer de relever le caractère fantastique de cette aventure qui est devenue assez vite passionnante pour la lectrice que je suis.
Malgré une narration un peu trop enfantine au début, le récit décolle assez vite, les aventures de Polly et Digory s'enchaînent rapidement et le style se modifie quelque peu.
Il y a toujours par moment une narration à la première personne du singulier, mais moins présente que dans les premiers chapitres, ce qui rend la lecture agréable.
Les personnages principaux sont des enfants mais ils apparaissent plus sensés que certains adultes, j'ai d'ailleurs noté que les adultes n'étaient pas vraiment glorifiés, comme s'ils avaient perdu une partie de leur âme d'enfant en grandissant, les rendant presque moins dignes que les enfants de connaître Narnia, exception faite du cocher et de sa femme, couronnés roi et reine de Narnia.
Les illustrations de Pauline Baynes sont réussies, ponctuent les moments importants du récit et renforcent le caractère fantastique de l'ensemble du récit, offrant au lecteur une version illustrée des descriptions et lui permettant de mieux s'imprégner de la magie de Narnia.

"Le neveu du magicien", premier tome des "Chroniques de Narnia", est une bonne entrée en matière dans cet univers fantastique qui ne m'a donné qu'une envie : lire la suite.
Il n'y a pas d'âge pour découvrir le monde de Narnia, la magie opère systématiquement, d'autant plus qu'il y a un deuxième niveau de lecture à ce récit le rendant particulièrement intéressant.
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Ce premier opus des Chroniques narniennes est la genèse de l'univers en question. En suivant les aventures de deux enfants plutôt attachants, Polly et Digory, nous avons le grand plaisir d'aller à la rencontre du lion Aslan qui crée Narnia sous nos yeux. Cet ouvrage est un conte dans le sens le plus classique du terme. Ainsi le narrateur est très présent tout au long de l'histoire et ce dès les premières lignes : « C'est une histoire qui s'est passée il y a très longtemps, à l'époque où votre grand-père était un petit garçon. » Ce procédé qui restitue bien la sensation que nous sommes en train d'écouter un conte pourrait agacer certain lecteurs, personnellement j'ai trouvé cela plutôt charmant et j'ai eu l'impression de redevenir une petite fille, bouche bée, qui écoute religieusement un adulte lui raconter une histoire.

L'ouvrage est assez court mais très plaisant et plutôt fourni. Tout est dans cette logique du conte et après mille péripéties Digory sera confronté à la tentation puis récompensé pour avoir triomphé du mal. Plusieurs critiques pourraient être émise contre le Neveu du magicien. Son univers est binaire (le Bien/le Mal), sexiste et imprégné de la pensée réactionnaire de l'époque. Si on parvient à ne pas trop analyser le récit et à se laisser porter par ce dernier cela passe tout seul. Alors bien sur, dès ce premier opus, nous sommes confrontés à l'omniprésence d'une vraie apologie du christianisme avec Aslan en Dieu à la fois terrible et bienveillant. Oui, C. S. Lewis nous parle de rédemption et de péché mais je pense sincèrement que cela ne doit pas nous empêcher d'apprécier ce texte comme une jolie histoire pour enfant. Et moi j'aime toujours autant que l'on me raconte une histoire...
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Cette aventure, qui nous fait découvrir la création de Narnia, est un conte charmant, bien qu'un peu désuet par moment (mais bon, le roman date quand même de 1955!).
Ici, point de gris, tout est tout noir ou tout blanc : il y a la méchante d'un côté, et les gentils de l'autre! Enfin, il y a aussi l'oncle Andrew, qui n'a pas vraiment le sens des réalités, mais est-il vraiment méchant? :-)

L'histoire est simple, et la création du monde de Narnia est clairement inspirée de la création du monde selon la bible. Cependant, cela reste un très bon divertissement jeunesse, et de plus, ce livre apporte des réponses à tout ceux qui se demandaient d'où vient Narnia.

De plus, j'aime beaucoup la façon dont l'auteur inclut le lecteur dans l'histoire, par de petite remarques parsemées au fils du livre.
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Digory rencontre Polly, et grâce à une bague magique, tous deux vont se retrouver dans des mondes extraordinaires... C'est plutôt décousu au début mais par la suite, l'émerveillement apparaît, au moment de la naissance de Narnia. L'auteur s'est inspiré de la Bible, et ceci pour les sept tomes de la série. Depuis l'orée d'un bois, les enfants observeront comment le lion Aslan va créer Narnia... La magie commence...
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(...) La 1e moitié du roman m'a paru un peu mollassonne, j'ai trouvé que la mise en place était un peu longue. L'auteur donne beaucoup de détails (pas forcément utiles, selon moi) avant d'entrer réellement dans le vif du sujet. La 2e partie est nettement plus intéressante: il s'y passe énormément de choses, beaucoup d'idées sont très originales et très poétiques, et il y a beaucoup d'humour.

Le style est très agréable, ça se lit très facilement, quel que soit l'âge du lecteur. L'auteur abuse peut-être un peu des parenthèses, mais c'est fait avec humour, alors ce n'est pas vraiment gênant. Evidemment, c'est assez enfantin vu le public-cible, mais à aucun moment ça ne m'a dérangée, surtout que l'auteur ne prend pas ses jeunes lecteurs pour des idiots.

Le Neveu du Magicien est en fait la 6e histoire du cycle à avoir été écrite par C.S. Lewis et est une préquelle au cycle de Narnia. Pour moi, Gallimard a fait une erreur avec cette intégrale en classant les romans dans l'ordre chronologique plutôt que dans l'ordre de 1e parution. Si l'auteur cherche à compléter son monde en en racontant la genèse, il ne s'ensuit pas que ce récit doive être lu en 1er, bien au contraire. J'ai bien aimé cette histoire, mais je suis persuadée que je l'aurais beaucoup plus appréciée si je l'avais lue en tant que tome 6, après avoir découvert le monde de Narnia.

Pour résumer, une lecture sympathique et plutôt jolie, mais que je ne vous conseille pas de lire en tant que tome 1.
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CS Lewis a crée un monde, celui de Narnia. C'est donc assez naturellement qu'il souhaite nous raconter la Genèse de ce monde et remonter à l'origine de sa création.
A travers une histoire pour enfants, une approche plus profonde des Origines du monde est développée, reprenant notamment de très nombreux éléments bibliques : le monde sauvage, la pomme de la discorde, le Mal encore inconnu... le Mal d'ailleurs, provient d'un monde extérieur mais est là dès les origines.
Je n'ai pu m'empêcher également de voir certaines réflexions écologiques avant l'heure. Narnia est un monde pur et l'Oncle semble incarner le mal que fait l'homme aux terres qu'ils découvrent lorsqu'il souhaite dès la création de ce monde en exploiter les richesses.
Le style est plus adapté à l'enfant qu'aux adultes mais il est néanmoins extrêmement intéressants de le lire avec une réflexion d'adulte car de nombreuses significations sous-jacentes semblent se trouver.
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Londres en 1900, on fait la rencontre d'un garçon appelé Digory vivant avec sa mère très malade chez son oncle Andrew et sa tante. Digory fait la rencontre de sa voisine, une petite fille du nom de Polly. Ensemble, ils se plaisent à inventer des histoires sur un prétendu trésor de pirates caché dans le bureau de l'oncle Andrew qui est interdit aux enfants. Un jour, Digory et Polly se retrouvent dans le bureau de l'oncle et celui-ci donne à Polly une de ses bagues. Il y a deux bagues jaunes et deux vertes et Andrew lui en donne une jaune. C'est alors que l'incroyable se produit, Polly disparaît. Digory va devoir enfiler la seconde et dernière bague jaune pour retrouver son amie. On suit alors ces deux jeunes enfants dans leurs péripéties. Ils vont atterrir dans différents mondes magiques tous plus surprenants les uns que les autres. Il faut cependant faire attention, car on ne sait pas quels dangers on peut rencontrer à cause de la magie. Ce premier tome est introductif, on comprend comment Narnia a été crée et surtout par qui. Le style de l'auteur est très poétique. C'est un conte agréable à découvrir et l'écriture est facile à lire. J'ai bien aimé ce premier tome.
Lien : http://leslecturessucrees.co..
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Quelle drôle de relecture… Pendant un court instant, je me suis retrouvée vingt ans en arrière dans ma petite chambre verte découvrant pour la première fois le monde de Narnia.

J'ai pris plaisir à retrouver cet univers parce qu'il est magique, féerique et la plume de l'auteur me plaît beaucoup.

D'un autre côté, j'ai eu un peu de mal à me replonger dans l'histoire parce que c'est vraiment « pour les enfants ». Mon côté adulte a souvent pris le dessus malheureusement…

Pourtant, je vais continuer dans la saga me rendant compte que c'est une excellente lecture quand nous sommes malades. Je ne pousse pas trop sur mes neurones et je passe agréablement le temps pendant que mon corps lutte contre un méchant virus visiteur typique de la fin d'année !
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