Les chroniques de Narnia, tome 7 : La dernière bataille

Cette saga littéraire écrite par C.S. Lewis dans les années 50 fonde la fantasy jeunesse.

Au cours de ma lecture, je retiens deux choses du style de C.S Lewis. Sa façon de conter est mystique mais très particuliere. Même si sa plume ne peut pas charmer tous ses lecteurs, elle ressemble par certains aspects aux fables De La Fontaine, en employant des animaux ou en concluant les péripéties par une morale.
Enfin, son histoire reflète régulièrement les références bibliques. Fervent croyant, il tenait à écrire son récit à sa manière.

Que son style plaise ou non, ses idées avant-gardistes ont façonnées la littérature jeunesse actuelle. Encore aujourd'hui, on retrouve ses codes de la fantasy incontournables mais modernisés.

Que l'on ne souhaite pas lire une saga littéraire avec autant de tomes est compréhensible. Mais je recommande aux lecteurs de tout âge de découvrir cet auteur, que ce soit en lisant uniquement le premier tome ou en regardant l'adaptation cinématographique qui rend hommage aux chroniques de Narnia.

Je suis agréablement surprise de ce dernier tome : je ne m'attendais pas du tout à cette fin, mais, après réflexion, je ne vois pas comment il aurait pu en être autrement. Les choses sont enfin toutes à leur place.

Je suis souvent surprise des différentes critiques que je peux lire sur ce tome, mais également sur plusieurs autres de la saga, qui disent que Lewis s'inspire étrangement de la genèse chrétienne. Je dois être complètement à la ramasse - après tout je n'ai jamais fait de catéchisme - mais c'est typiquement le genre de chose qui me dérange quand je la trouve là où je ne m'y attends pas. Mais dans ce livre, je n'ai rien vu du tout ! Mon radar anti-religion ne s'est pas déclenché une seule fois en lisant Les chroniques de Narnia.
Alors peut-être que certains lecteurs extrapolent un peu ou que je suis totalement miro', mais je reste étonnée de toutes ces réflexions ! (Ce n'est pas une critique, hein ! Juste une constatation !)

J'ai beaucoup apprécié la tournure que prennent les évènements dans ce tome : on retrouve certains personnages qu'on ne s'attendait pas du tout à retrouver. L'histoire est bien menée et la fin juste parfaite. Cela dit, je suis triste pour Susan, la fin ne la gâte pas ! (et en vous disant ça, je ne vous spoile rien-du-tout. C'est pas ça qui vous gâchera toute l'histoire, ça m'étonnerait même que ça vous gâche quelque chose !).

Lewis a vraiment su clore parfaitement sa saga. Je reste sous le charme !
Je ne peux que vous conseillez ce dernier tome : il est absolument magique !
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Si j'ai beaucoup aimé les trois premiers épisodes des Chroniques de Narnia, si j'ai bien aimé également le cinquième opus, il en va autrement pour le quatrième, le sixième et le septième ! Dans ses trois cas, après un opus seulement passable, nous avons droit une fin superbe. Et là… la fin est plus belle que jamais, même si le reste est moins bon que jamais ! C'est un petit tome, pas particulièrement intéressant, auquel j'aurais donné la note de 3, 5 étoiles sur 5, s'il n'était la fin. Cette fin est à elle seule toute une oeuvre d'art. Elle est d'une religiosité qui peut énerver certains ( j'ai enfin compris pourquoi est-ce qu'on dit que Narnia est une épopée chrétienne ! ), mais pour ma part, quoiqu'athée, je trouve cette religiosité compensée par l'art avec laquelle cette fin est menée. Quel artiste, ce C.S. Lewis, tout de même ! Bon, le tome, à part ça, est seulement passable : un bon tome, mais franchement pas exceptionnel. Une touche de pessimisme désabusé, par-là, une touche d'apocalypse sans grandeur, par-là… Mais tout cela est mal orchestré.
C'est un petit tome avec une fin superbe.

Scribb est un singe parlant qui se dit intelligent. Il brime son ami Puzzle, un âne trop gentil pour lui refuser quoi que ce soit. Un jour, alors qu'ils sont tous deux près d'une chute d'eau, un objet attire l'attention de Scribb. Il envoie Puzzle le chercher dans l'eau : c'est une peau de lion. Scribb fomente tout de suite un horrible plan qui vise directement Aslan...

On rentre très vite dans ce nouveau récit construit différemment. (Et je le dis tout de suite : non, on ne saura jamais qui est le narrateur de ces histoires. Pff... Encore un mystère intéressant non résolu.) Clairement, le plan de Scribb est immense, machiavélique et furieusement efficace. On a vraiment de l'action, du suspense et du mystère dans le début de ce tome 7, ce qui relance bien l'intérêt du lecteur. On sent vraiment que ce qui se passe est grave. Et l'arrivée de tous les enfants jusqu'alors venus à Narnia est limite jouissive, car on se dit qu'ENFIN quelque chose d'exaltant est en train de se produire, qu'ENFIN Lewis a compris comment il fallait tenir le lecteur en haleine. On comprend également pourquoi il y a eu tous ces tomes avant, alors qu'on ne voyait pas l'intérêt de certains, à l'image du "Cheval et son écuyer". Tout prend enfin sens dans ce dernier chapitre et ça fait plaisir de voir qu'on n'a pas lu le reste pour rien. D'ailleurs, l'idée de faire les films dans l'ordre de publication devient alors complètement ridicule ! Certes, c'est pour le commerce, mais au final on y perd, niveau compréhension globale et hiérarchie des évènements.
Maintenant, toute la première partie est très bonne, malgré ses petits défauts habituels. A force, on fait avec. Mais malheureusement la fin ne suit pas. Quel dommage ! Une fois l'ennemi réduit à néant (et franchement y a du lourd, avec l'arrivée de Tash le dieu du tome 3 - on sent d'où viennent certaines inspirations de Rowling pour "Harry Potter"), toute la bande se retrouve avec Aslan qui détruit (attention spoiler) le monde de Narnia, tout comme il l'a créé au tome 1 ! Au départ on se dit : "ok, c'est une fin honorable, même si on ne pensait pas que Narnia aurait une fin". Sauf que tenez-vous bien, on apprend qu'en fait ce n'était pas le vrai Narnia, révélation soutenue par une rhétorique à la mords-moi-le-noeud sur "l'intérieur est l'extérieur" et vice-versa... J'en ai perdu mon latin que je n'ai pas.
Et de terminer, par contre, sur quelque chose de décevant. On avait compris depuis longtemps que Narnia était une allégorie du Paradis. Soit, mais (attention ne lisez pas si vous comptez vous lancer dans la lecture) on apprend une dizaine de lignes avant la fin qu'en fait tout le monde est mort (que depuis le début du tome 7, pas depuis le tout début). Aslan annonce ça comme si c'était "top génialissime" d'être mort, en quatrième vitesse comme si ce n'était qu'un détail. Cela ne semble perturber personne, pas même les enfants, parce que de toute façon, ils vivent désormais une vie merveilleuse au Paradis, enfin au "vrai" Narnia.
C'est vraiment dommage, car ce tome 7 augurait une action digne de celle du dernier tome d'"Harry Potter" et se termine au lieu de ça en plébiscite pour le christianisme, même si on le savait déjà avant. La morale finale insistant sur le monde merveilleux de l'au-delà est trop rose bonbon pour être un tant soit peu crédible, enviable ou espérable (tant pis, j'invente un mot). Cela ne m'étonne guère que pour éduquer les petits à une morale chrétienne on leur donne ce livre à lire. Entre plébiscite et propagande, parfois la frontière est mince.
Pour terminer j'aurais vraiment souhaité que ce tome-là soit adapté au cinéma, ne serait-ce que pour profiter à l'écran du plan de Scribb, de l'arrivée providentielle des enfants, tous réunis (Moseley ??), de Tash enfin matérialisé et de la fin du monde, le tout présenté comme Andrew Adamson a si bien su le faire dans les deux premiers volets.
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J'ai pas mal aimé ce dernier tome. Mais par contre quelle tristesse de quitter cet univers incroyable, je dirais même mémorable. Il ne c'est pas passé grand chose avant le milieu du roman. Mais les derniers chapitres ! Dans les dernières pages, quand on apprend que si Aslan ne les avaient pas amené à Narnia ils seraient tous morts dans l'accident de train ! Et puis aussi le moment où on découvre le véritable Narnia... Un peu tiré par les cheveux mais j'adore. J'avoue avoir une petite pensée pour Susan qui elle reste en Angleterre et pense être devenue orpheline.

J'avoue, j'ai ADORÉ le moment à la fin où on retrouve tous nos personnages préférés des anciens tomes. Par contre le terme Noiraud on aurait pu s'en passer... Même si je peux comprendre que c'était une autre époque. Mais bon. Je vais faire ça si j'avais rien lu.

Un jour je relirais surement cette merveilleuse saga.

Voilà le tout dernier tome du monde de Narnia. On retrouve des héros déjà rencontrés, on fait la connaissance des autres. Et c'est logique qu'on retrouve les héros des précédents livres car on assiste ici à la fin de Narnia… Avec eux, on assiste à sa perte, à son déclin et à sa destruction. Ce monde part comme il est venu, de par le fait d'Aslan, ce cher Aslan, ce cher lion doré.

On retrouve tous les héros de tous les tomes, ceux qui ont compté, dans le paradis. Sauf une… Susan Pevensie n'est pas présente, devenue trop coquette. Je me souviens que ça m'avait fortement préoccupée quand j'avais lu ce livre vers mes 16 ans. Comment peut-on penser que Narnia n'était qu'un jeu quand on a vécu les aventures qu'elle a vécues auprès de ses frères et soeur ?

J'ai vraiment été surprise par la toute fin, qui contient une révélation que j'avais totalement oubliée de ma première lecture. Voilà une fin comme je les aime, féérique mais basée sur un malheur.

J'ai qu'une envie, c'est être moi aussi autorisée à vivre à Narnia, avec les gens qui comptent.

Ayant lu toute la série durant mon adolescence, j'ai relu tous les livres il y a quelques années alors que j'étais hospitalisée. Ce dernier tome de la saga ne manque pas d'action mais je trouve la fin trop triste.
C'est pourquoi je mets 3 étoiles et demies plutôt que quatre!

Shift, un singe très intelligent, profite de la gentillesse de l'âne Puzzle pour mettre au point un canular. En effet, grâce à une peau de lion, Shift déguise l'âne et lui demande de se faire passer pour Alslan, le lion majestueux de Narnia dans le dessein d'assouvir ses désirs. C'est alors que le roi actuel de Narnia, Titian accompagné de Jill et Eustache va tout faire pour ramener la paix à Narnia. Ce dernier tome contient toutes les révélations sur l'univers de Narnia. Quel plaisir de retrouver les héros des tomes précédents dans ce dernier volet. J'ai beaucoup aimé découvrir la fin de cette saga jeunesse que j'affectionne.

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Comme son nom l'indique nous arrivons au terme de notre histoire. Après avoir fait une courte pause pour relire L'enchanteur de René Barjavel, me revoici à Narnia. Une fois n'est pas coutume l'histoire débute sur deux animaux de cet univers. Une supercherie est alors mis sur pied par le signe (ne dit-on pas malin comme un singe). le prince de Narnia se trouve une fois de plus en danger cela oblige nos deux derniers héros à revenir pour lui porter secoure. S'engage alors l'ultime bataille qui semble vraiment désespérée jusqu'au moment où Aslan décide de se mêler une fois de plus de l'histoire. Au point final de cette aventure on voit le retour de Peter et tous les autres hormis Susan qui a définitivement perdu son âme d'un enfant, mais la raison en est tout autre. Nous voyons la disparition du Narnia connu des enfants pour être remplacer par un Narnia plus grand, plus beau, plus abouti. Un Narnia qui se présentent en faite comme une sorte d'Eden un paradis qui a à sa tête une Eve et un Adam comme roi et reine. On apprends alors pourquoi les enfants des différentes aventures sont tous réuni là. En faîte ils ont eu un terrible accident de train. le Narnia de leur aventures passées est donc devenu leur paradis où une nouvelle page de leur histoire va pouvoir être écrite. Je trouve que le point final de cette histoire est parfait, qui n'a jamais rêver d'un paradis qui lui est propre alors qu'il est rappelé par Dieu. Et qui sait c'est peut être vraiment ce qui va nous arrivé à tous lors de l'accomplissement de notre âme. Ce dernier tome nous pousse à la réflexion : que l'histoire la plus belle est celle que l'on écrira après notre passage éclair ici bas...

Ce dernier tome nous plonge pour la dernière fois dans le monde de Narnia.

Cette dernière excursion à été assez intense d'un point de vue des péripéties ce qui fait que cette histoire se lit vite et bien.
Les personnages sont comme d'habitude un peu neutre (on ne les déteste pas mais on ne les aime pas pour autant).
Enfin, la fin est digne d'une fin de saga puisqu'on comprend qu'on ne reviendra jamais à Narnia.

Sur les sujets traités par l'auteur dans ce livre, on y abordé le sujet de la foi en Dieu et du paradis. Selon moi, ce traitement est intéressant sur le fond mais sur la forme, je trouve que l'auteur prend trop partie dans ces sujets, à travers la critique de personnages (cf les nains et Suzan).


Pour terminer, j'ai découvert la saga à travers les films et je la termine à travers les livres. L'univers de Narnia est un monde dans lequel on aurait envie d'aller mais cette impression est plus donné par les films que par les livres.
J'ai donc été content de lire tous les tomes de la saga mais je n'ai pas pour autant envie de les relire dans le futur.