Ce que je pouvais être heureuse, autrefois, sans le savoir ! C’est fou le nombre de bonheurs simples qui agrémentent une vie « normale » ! Des bonheurs que l’on ignore.
''Livre'' : c'est un beau mot.
En les épelant, avec Ray, je redécouvre ces noms si ''communs'' qu'on ne les remarque plus. Les mots familiers prennent un nouveau relief. ''Livre'', ça pourrait être de la même famille que ''livrer'' et ''délivrer''. Je réalise à quel point les mots ''livre'' et ''libre'' se ressemblent. Leurs sens se rapprochent autant que leurs sons.
Tant que l’arbre ne crie pas, le bûcheron scie…
"-Tu ne dois pas nous quitter... Tu sais, je ne te l'ai pas encore dit, mais j'aimerais avoir un troisième enfant... Et cet enfant, tu dois absolument le connaître ! Et lui, il doit absolument connaître sa mamie..."
Je suis au chapitre " jouer à la baballe" et j'ai bien envie de Savoir la suite de cette touchante histoire. L'histoire qu'Angèle a vécu m'a énormément touchée et l'émotion en lisant ce livre etait bien là. Je le recommande à tout le monde.
...vous pouvez toujours rêver ! Mais heureusement que je peux ! Bien sûr que je rêve ! Comme tout le monde ! Le rêve est le complément nécessaire à la réalité. Il n'est pas seulement nécessaire pour la supporter, mais aussi pour la sublimer. Si l'on ne rêve pas, on n'avence pas. Rêver, c'esr se fixer un but. C'est s'interdire l'immobilisme, le statu quo. (135)
Ce que je povais être heureuse, autrefois, sans le savoir! C'est fou le nombre de bonheurs simples qui agrémentent une vie "normale"! Des bonheurs que l'on ignore. (113)
Dans un réflexe de survie, on peut être tenté d'effacer de sa mémoire les moments les plus douloureux, parce qu'ils empêchent de se reconstruire. (9)
J'ai l'impression d'avoir été la victime d'un accident sans fautif, d'une agression sans motif. D'un violent coup du sort.
Aujourd’hui, je sais qu’un malade est condamné si personne ne vient le voir.