>
Critique de sylvaine
Jack London a 18 ans lorsqu'il abandonne sa carrière de pilleurs d'huitre pour devenir un Hobo ou vagabond du rail, nous sommes en 1894.
Publié en 1907, ce récit narre dans les grandes lignes ses années de vagabondage ferroviaire, les rencontres diverses et variées faites au fil des km, des hoboes aux taureaux, sans oublier l'armée de Kelly. London est un baroudeur dans l'âme, toujours en mouvement il n'arrêtera pas de bourlinguer de par le monde. Ses écrits, politiquement engagés, décrivent la société américaine en cette fin de siècle et ses ouvriers affamés et sans emplois.
Un texte entré dans la panthéon de la littérature américaine que j'ai trouvé moins prenant que celui de Tom Kromerles vagabonds de la faim publié en 1934 en pleine dépression.
Publié en 1907, ce récit narre dans les grandes lignes ses années de vagabondage ferroviaire, les rencontres diverses et variées faites au fil des km, des hoboes aux taureaux, sans oublier l'armée de Kelly. London est un baroudeur dans l'âme, toujours en mouvement il n'arrêtera pas de bourlinguer de par le monde. Ses écrits, politiquement engagés, décrivent la société américaine en cette fin de siècle et ses ouvriers affamés et sans emplois.
Un texte entré dans la panthéon de la littérature américaine que j'ai trouvé moins prenant que celui de Tom Kromerles vagabonds de la faim publié en 1934 en pleine dépression.
