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Citations sur Les ombres d'Autumn Street (9)

Il est des moments - des moments angoissants - où une promesse impossible faite à un être cher est aussi douce qu'un soupçon de cannelle sur le doigt, aussi nourrissante et indispensable que la lumière du soleil qui vient consacrer, maintenant encore, Autumn Street en été. (p.220-221)
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Grand-mère renifla. Je ne savais pas ce qu'était un psychiatre, mais le bruit de grand-mère indiquait que c'était quelque chose de mauvais goût, quelque chose à mettre dans la même catégorie que les baptistes, les bandes dessinées et le rouge à lèvres. (p.89)
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...jusqu'à ce que je rencontre Louise et sois introduite à un mode de vie où primait, non pas le style, mais l'attachement aux souvenirs, même abîmés. (p.159)
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- Quelle est la différence ?
Maman soupira.
- O Liz, c'est très compliqué.
Ce qui voulait dire qu'elle n'allait rien m'expliquer. (p.132)
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Ce n'était donc pas tant la mort qu'il fallait craindre que ceci : le retour en arrière. Personne n'en parlait. (p.126)
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J'observai alors chez grand-mère la naissance de nouvelles aptitudes, elle qui n'avait jamais eu d'enfants. Lorsque grand-père revint chez lui et que la grande maison fut équipée d'un lit d'hôpital, d'une chaise roulante et de tous les chromes de la maladie, grand-mère devint mère pour la première fois. (p.125)
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Il soupira, de ce soupir patient qui voulait dire "comme-tu-es-bête-Elizabeth", et me fit remarquer :
- Les enfants ne meurent pas.
Charles était tellement logique et rassurant. (p.67)
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Lorsqu'elle prononçait nos noms, elle semblait lire l'étiquette d'une bouteille remplie d'un médicament amer. (p.45)
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- Personne n'aime ça, répondit-elle prosaïquement, plaçant les rideaux du couvre-feu dans la même catégorie que l'huile de foie de morue - quelque chose de nécessaire, de désagréable, bon pour la santé, qu'on n'a pas besoin d'aimer mais qu'il faut supporter, et de préférence sans faire la grimace. (p.16)
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