In the After

Ce roman est une vrai perle, un thème pas très original, mais traité d'une façon qui l'est, et sans temps morts.

J'ai enfin terminé de lire ce roman après une longue pause ! In the After est un roman post-apocalyptique dans la lignée de roman comme Robopocalypse ou Enclave. Car, oui, je dirais que la trilogie la plus proche du genre de In the After est Enclave. Un petit résumé peut-être avant de commencer la chronique : Amy est devant sa télévision quand le pire se produit, quand ILS attaquent. New York, Paris, Tokyo… Des créatures sans pitié déferlent, et dévorent les humains. Personne ne sait d'où ils viennent mais une chose est sûre : la population de la planète décroît dramatiquement en quelques jours à peine. À l'abri de la grille électrifiée de sa maison, Amy parvient à leur échapper… mais pour combien de temps ?

Un résumé alléchant vous en conviendrez ! Et je n'ai pas été déçu ! le roman est divisé en deux grandes parties je dirais. Les deux sont assez différentes mais je ne saurais dire laquelle j'ai préféré car elles ont toutes les deux leurs atouts. La première partie était davantage liée à la survie. C'est dans la deuxième partie que l'on retrouve des thèmes plutôt récurrent de la littérature fantastique : le peuple oppréssé par des règles et dans un système. Bien qu'un peu lassée du genre notamment à travers Promise, Ugglies ou encore Délirium j'ai beaucoup apprécié cette deuxième partie où les mystères s'entassent sans jamais se résoudre. C'est seulement à la fin du roman que le voile noir devant nos yeux se lève et que, enfin, on comprend tout ! Ce premier tome fini d'ailleurs par un CliffHanger mémorable !

Pour conclure, une pépite de la littérature fantastique ! À lire !
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Livre dévoré en très peu de temps.

Les premières pages sont - bizarrement - décevantes pour qui connaît bien la fanfiction et la série The Walking Dead. En effet, on a l'impression de lire une fanfic qui s'inspire de la série télé en question. Ceux que la narratrice appelle les Florae et qui sont considérés comme des Aliens ont pourtant tout de zombies, si ce n'est leur sang vert.

Les héroïnes sont une ado et une fillette de quatre ans qui vont apprendre la survie et développer pour cela des techniques de communication bien à elles. Et, très vite, comme dans The Walking Dead, elles apprendront que, dans cet univers post apocalyptique, les Aliens ne sont pas forcément les plus dangereux.

Premier tome d'une "dystopie" qui est un véritable page turner. Je le conseille vivement.

J'ai hésité entre 4 et 5 étoiles sachant que 5 étoiles c'est en général pour un coup de cœur et que je ne sais pas encore si s'en est un ou non. Mais en même temps, j'ai tellement adoré ce roman, je me suis limitée à 100 pages par jour pour le savourer plus longtemps mais dès que je le posais, j'avais cette envie irrémédiable de le rouvrir et de le terminer.

C'est l'histoire d'une jeune fille de 16/17 ans qui vit avec Baby, une petite fille orpheline dans un monde post-apocalyptique, ravagé par des sortes d'aliens, ces créatures vertes qui dévorent tout sur leur passage. Le seul moyen de leur échapper est de faire le moindre bruit possible, il faut apprendre à ne plus parler, ne plus marcher de peur de faire grincer le sol, ou d'avoir le pas un peu trop lourd, et surtout, il faut apprendre a vivre seul en croyant que le monde autour de nous est complètement détruit et que seul quelques personnes ont survécus.
C'est ce que vivent Amy et Baby depuis 3 ans maintenant, elles ne parlent jamais, elles se sont inventés une langue : la langue des signes modifiées. Elles doivent marcher pieds-nus et surtout, ne pas sortir en plein jour et éviter les rayons de la lune la nuit. Les Floraes, ces créatures cannibales attaquent quand ils entendent du bruit, on peut se trouver à quelques centimètres d'eux, tant qu'on ne fait pas de bruit, ils ne nous repèrent pas à moins évidemment, de se trouver en pleine lumière.

Ce roman m'a passionné du début jusqu'à la fin, et je ne regrette pas d'avoir acheté le tome 2 puisque je vais me jeter dessus dès que j'en aurais le temps. Non, ce n'est pas une histoire de petits aliens verts aux grandes antennes, c'est bien plus profond que ça, il y a une histoire au delà de ce que l'on croit.

Au niveau des personnages, j'ai bien aimé Amy, sa force est impressionnante, elle s'est plutôt vite adaptée au nouveau monde qui s'est présenté à elle. Évidemment au début elle a eu du mal, mais qui n'aurait pas flippé quand vous vous croyait être le dernier être humain de votre pays voire du monde ? Et puis elle a rencontré Baby. Sans elle, je ne sais pas vraiment ce qu'elle serait devenue. Serait-elle devenu une personne sans cœur à force de voir tout son monde s'écrouler sans personne sur qui se reposer ? Ou aurait-elle tout abandonner ? Je ne sais pas, et je dois dire que j'adore la complicité entre les deux. Amy a pratiquement élevé Baby, je dirais même qu'elle l'a carrément élevé, et même si elle ne sait pas parler à voix haute, elle a quand même appris un langage qu'elle maîtrise à la perfection.
Tout au long du roman, j'ai eu peur qu'Amy perde sa petit sœur d'adoption, et j'ai encore plus eu peur lors de certains évènements à New Hope.
En parlant de Baby, j'avais peur, avant de commencer ce livre, de ne pas aimer ce nom, et de le trouver ridicule, mais finalement, je trouverais ça encore plus ridicule de l'appeler autrement. Comment Amy était-elle censé l'appeler ? Elle n'avait pas le temps de lui trouver un nom et encore moins d'apprendre le signe de toutes les lettres pour épeler le nom en question. On apprend d'ailleurs à un moment son vrai nom, et j'espère que dans le tome 2, elle répondra toujours à son nom initial, qui est Baby pour moi, puisque je ne veux pas qu'elle perde sa complicité avec Amy.

Pour finir, j'avais lu sur une critique de quelqu'un sur qu'en arrêtant de lire, on risquait de faire le moins de bruit, de ne plus parler, etc... Et ben figurez-vous que c'est exactement ce qui m'est arrivé, à ma première lecture, donc à mes 100 premières pages, en refermant le livre, j'avais l'impression qu'il ne fallait plus que je parle, ou que je fasse le moindre bruit, j'avais même l'impression de devoir parler en langue des signes.
Je recommanderais ce roman à toute personne aimant le style post-apocalyptique, dystopie, et pourquoi pas à ceux qui aiment The Walking Dead, ça m'y a fait pas mal penser à certains moments, surtout en ce qui concerne New Hope qui m'a beaucoup fait penser au sanctuaire de la saison 4 (il me semble).

Et puis je finirais par dire que c'est finalement peut-être un coup de cœur, je m'en rend compte en écrivant ma critique, je me suis attaché à ce livre bien plus que je ne le pensais.
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Un monde devenu inhospitalier, dans lequel les humains sont des proies. Déjà vu, déjà lu ? Oui. Et non. Dans In the after, on est dans l'après. Bon, une fois que je vous ai dit ça, je n'ai pas vraiment dévoilé quoi que ce soit, sauf si vous ne savez pas ce que veut dire after en anglais ;)
Vous voulez en savoir plus ? Alors voilà : In the after, dans l'après donc, les humains se font bouffer par des sortes de bestioles d'une rapidité inégalée, les Floraes. C'est comme ça qu'en trois ans, la plupart des humains ont disparu…

Seule solution pour échapper aux Floraes : être totalement silencieux quand on va se ravitailler en nourriture, boisson, et toutes autres choses utiles à une vie quotidienne. Il faut aussi avoir de la chance (on ne sait jamais, on peut faire l'effort d'être silencieux et quand même tomber par mégarde sur un Florae si on fait partie des gens qui n'ont pas de bol…). Se ravitailler, on peut le faire dans les magasins, quand ils n'ont pas déjà été pillés, dans les maisons dont les habitants ont été mordus par les Floraes (certes, il faut faire abstraction du sang sur les murs) et partout où il reste à manger. Et tout ça dans le plus parfait silence. Facile ? Vous avez essayé de marcher un trottoir sans faire claquer vos chaussures sur le bitume ? de prendre une bouteille dans un rayon sans la faire heurter sa voisine de rayon ? de faire du vélo sans que l'on entende le pédalier ? de manger sans faire le moindre bruit ?

Amy, elle, est toujours là. C'est une ado, mais comme toujours dans les romans young adult, elle a des réactions beaucoup plus mûres que celles d'une ado. Elle a trouvé une maison où elle est à l'abri. A l'abri des Floraes, mais aussi des autres humains. Ah oui, on ne vous a pas dit : certains humains sont aussi des ennemis (le fameux « l'homme est un loup pour l'homme », ça vous parle ?). Ils ne sont pas bien nombreux, ces humains, mais une pomme pourrie, c'est bien connu, ça suffit pour pourrir tout un panier…

Je pourrais vous raconter le reste, la rencontre d'Amy avec Amber, avec Baby, son arrivée dans cette colonie qui s'est elle aussi mise à l'abri, mais je préfère vous laisser découvrir par vous-même ce qui se passe dans In the after. Je vous préviens juste d'une chose : à un moment de votre lecture, vous allez peut-être vous surprendre à parler plus bas, à marcher pieds nus sur la pointe des pieds, à maudire le voisin qui passe la tondeuse. Vous serez mûr, à ce moment-là, pour commencer à (sur)vivre In the after. Mais peut-être pas encore à faire face à ses bassesses, que je compte bien retrouver vite fait bien fait dans In the end, le second tome.
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Beaucoup de personnes n'ont pas aimés ce livre.. Jeanne les comprends pas haha ! D'accord il ne vaut peut-être pas la note maximale mais personnellement j'ai adoré cette histoire.Ce que j'ai le plus aimé dans ce livre c'est le "avant"/" après " cet à dire ce qu'il se passe avant qu'Amy et Baby entrent à New Hope et le moment avant l'internement d'Amy. Mais aussi les moments de l'internement d'Amy et de ses souvenirs qui reviennent peu à peu. Bref je trouve ce livre pleins de rebondissements du début jusqu'à la fin,je n'est plus qu'à allez lire la suite !

J'adore ce livre et cet auteur j'espère que pleins d'autres oeuvres suivront. In the after ma donné la chair de poule, dès le début du livre on est plongé dans le suspens. Il n'y a pas de lenteur c'est pour ça qu'il est impossible de lâcher ce livre sans l'avoir lu en entier. L'intrigue est excellente et tient la route, les personnages sont attachants, énigmatiques et apocalyptique! Hâte de lire la suite In the end!!

Amy est une jeune adolescente de 14 ans qui vit entre un père féru d'écologie, et une mère travaillant pour le gouvernement. Son monde s'écroule lorsque la planète fait face à une invasion d'"Aliens". Grâce à sa maison hyper-sécurisée, elle réussit à survivre et à retrouver un sens à sa vie lorsqu'elle découvre une enfant, Baby, qu'elle arrive à secourir. Pendant trois ans, elles se soutiennent et vivent dans ce monde post-apocalyptique, peuplé de monstres, et de quelques survivants. Tout se précipite, lorsqu'elles doivent fuir leur refuge ... elles sont alors recueillis à New Hope, ville de survivants, qui cache beaucoup de secrets ... Et si ces aliens, qui ont le nom de floreas en réalité, n'étaient pas réellement des envahisseurs ? Et si les prédateurs n'étaient pas ceux que l'on croyait après l'apocalypse ?
Un roman en trois parties, avec des flashbacks, analepses, qui nous plongent dans l'avant, puis l'après, puis au moment de l'arrivée à New Hope, puis 6 mois après, ce qui nous permet de comprendre petit à petit tout ce qui se cache autour d'Amy, de Rice, le jeune assistant de la Présidente de New Hope, mais également de Baby, Amber, qui fut une compagne de route des deux héroïnes pendant quelques temps, Kay, une des gardiennes de New Hope, et ce mystérieux docteur Reynolds qui semble tout contrôler ...
Une dystopie qui est très bien menée, où on se prend vite d'affection pour Baby et Amy ... et qui donne envie de lire très vite la suite ...

Mon avis:

J'avais pris ce livre à la bibliothèque une première fois et le temps avait passé j'avais du le rendre sans l'avoir lu. Puis, j'avais lu le résumé à ma soeur et cette dernière m'avais demandé de lui prêter! J'avais donc repris le livre à la bibliothèque pour qu'elle puisse le lire.

Elle a dévoré ce livre en 2 jours et s'est précipitée sur le T2. Vu son optimisme, je me suis donc empressée de lire ce livre et je dois dire que l'extérieur et la quatrième de couverture qui pourraient en refroidir certains ne sont pas vraiment le reflet du contenu de cet oeuvre.
En effet, la quatrième de couverture m'a fait pensé à la série "The Walking Dead"...Je m'attendais a quelques chose de gore et violent...mais même si l'ambiance est pesante rien de comparable avec les "The Walking Dead".

L'héroïne est attachante et intelligente. On se prend très vite au jeu et l'histoire est très prenante voir oppressante. Les informations sont distillées de façon très subtile.

Ce T1 se lit facilement et on ne s'ennui pas 5 secondes.

Les révélations à la fin du T1 laissent penser que le T2 sera dans la lignée du 1er opus.

Les +: Les rebondissements, le rythme soutenu .

Les -: Un extérieur qui fait un peu TROP peur !!!

Conclusion:

Très bon 1er tome, une belle découverte!

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"[...] A travers ce roman et son héroïne, l’auteure a su traiter de nombreux sujets de société. Souvent, dans ce genre de livre, je suis agacée par les responsabilités que prennent les adolescents. En effet, je trouve que cela n’est pas réaliste. Ici, la situation d’Amy fait qu’elle n’a pas le choix. Elle doit apprendre à se débrouiller. Du coup cela n’est pas du tout choquant. J’ai aimé la relation qui s’est installée entre Amy et Baby (une enfant que Amy va trouver au détour d’une quête de nourriture). Je me suis d’ailleurs beaucoup attachée à ces deux personnages.[...]"
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