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Une ville sans fenêtres " mais dont les embrasures sont autant d'ouvertures sur le coeur, son " univers d'amour " et ses mystères.
Un voyage poétique en plein coeur, dont le pouvoir d'éternité réunit " une nuit, un jour, un baiser / sous une seule lune. "
Un voyage en nostalgies, porté par " le vol des oiseaux blancs pleurant ".
Un voyage en amour absolu, unique au monde, " une âme, deux âmes s'unissant / courent à bout de souffle à destination du coeur ", un amour toujours scellé par le baiser, " je crois en tes lèvres, en tes yeux ".
Un double regard dans la même direction sur la nature à la fois sublime et effrayante, qui devient un écrin d'amour, " si je n'avais pas d'amour, que ferais-je du ciel ? / si je n'avais pas d'amour, que ferais-je de la terre ? ".
Et si l'absence fait couler les larmes, peu importe, " ne t'arrête pas de pleurer ! tu me l'as dit, / les océans du monde ont besoin d'apprendre à jouer du violon. " et finalement, " la solitude de la nuit n'est qu'un prétexte pour que tu viennes / les fleurs de l'amour y poussent. "
Merci à
Gabrielle Danoux de m'avoir fait découvrir
Constantin Marafet et de m'avoir fait voyager en ses terres d'amour aux accents de Roumanie.