Le pensionnat des innocentes

Voila un petit polar Anglais qui me rappelle un peu "Le Cercle de Pierres" de M.W Craven que j'ai lu récemment.
Dans les deux livres l'intrigue est basée sur une vengeance plusieurs années après des événements tragiques qui ont eu lieu dans un orphelinat .
Parmi les policiers on retrouve un personnage intéressant chez Craven il s'agissait d'une geek asociale ,ici l 'héroïne principale l'inspectrice Kim Stone dont le coté brut de décoffrage m'a plu .
Si l'enquête est assez quelconque ,le dénouement est inattendu mais pas très crédible .

J'ai eu envie de lire ce livre grâce à @Nicolak.
J'ai bien aimé le récit, l'enquêtrice Kim et son équipe… tout est fait pour que je continue cet série.
Mais je ne suis tout de même pas emballé.
Rien ne m'a étonné ni les coupables, ni les intrigues, ni le côté « froid » de l'inspectrice…

Je me suis même demandé si tous les inspecteurs, commissaires, etc. avaient tous une vie aussi triste, misérable… entre alcoolismes, mauvais traitement dans leurs enfances, divorcé et un peu casse-cou quand même ! Enfin bref… Un assortiment de personnages remplis de névrose, de souffrance et de courage…
Ou simplement… Peut-être que je lis trop de policier… (mais ça, c'est une autre histoire)

Je vais donc lire la suite… peut-être pas tout de suite, car je suis moins emballé, que miséricorde de Adler-Olsen que j'ai lu précédemment…

Bonne lecture !

Un roman policier classique moderne.
Très anglais mais sans beaucoup de tasses de thé, l'enquêtrice est plutôt adepte de motos grosses cylindrées.
Une lecture intéressante car l'enquête parle des filles abandonnées : comment elles grandissent ; quelle est la part du déterminisme social ; panorama des familles d'accueil.
Et tout ceci sans aucun misérabilisme.

Un polar qui a eu un succès mérité à sa sortie, aujourd'hui paru en Poche.
L'histoire est intéressante et bien traitée, mais pas assez originale à mon goût, j'ai eu le sentiment d'avoir déjà lu beaucoup de romans de ce genre. Même si les personnages sont intéressants et peuvent susciter sympathie ou antipathie.
Je pense que ce roman peut plaire aux adeptes du genre.

Un bon suspens qui commence dès l'image de couverture et du titre! le tourbillon des faits meurtriers, les recherches archéologiques, les personnages qui tombent tous les uns après les autres contribuent à une lecture inarrêtable malgré un humour qui manque un peu...

Ce roman m'intriguait par son titre. Il donnait les prémices d'un bon thriller psychologique.
Même si l'enquête révèle effectivement une pression psychologique sur les victimes de part leur situation sociale, de part leur vulnérabilité, je n'ai pas été happée comme je l'aurais voulu. Je ne me suis pas attachée à l'inspectrice au caractère plus que limite. Elle est de celle qui oublie la politesse sous prétexte qu'elle détient des éléments importants. Je l'ai trouvé très arrogante. Alors oui, elle a eu une vie meurtrie mais je suis restée sur son impolitesse.
J'ai trouvé le rythme assez lent avec certaines longueurs. le prologue nous laissait pressentir un pacte abominable, incontournable pour ses protagonistes. Mais l'auteur n'a pas assez mis en avant le caractère de ses derniers.
Bref, je n'ai pas été emballée plus que cela par ma lecture.

Kim Stone, inspectrice à l'enfance douloureuse, aime les motos – comme les aimait son dernier « père » de famille d'accueil, qui l'a aidée à se reconstruire après un parcours plus que chaotique. Difficile donc pour elle de créer des liens avec ses congénères, dans sa vie d'adulte …

Elle va devoir enquêter sur la mort suspecte de Teresa Wyatt, ancienne employée du pensionnat de Crestwood, qui sera la première à mourir : de nombreux collègues subiront le même (horrible) sort …

Un roman assez glaçant, une intrigue bien construite et des protagonistes plutôt sympathiques (l'équipe policière qui entoure Kim Stone …) Toutefois – et ce, malgré un bon moment de lecture divertissant – je n'ai pas réussi à éprouver de véritable coup de coeur : il m'a manqué un petit quelque chose indéfinissable …

Rowley Regis, Angleterre
A quelques jours d'intervalles deux personnes sont retrouvées mortes dans des conditions laissant présager un assassinat. Leur point commun: avoir travaillé dix ans plus tôt au pensionnat de Crestwood juste avant son incendie, pensionnat qui accueillait des jeunes filles placées par les services sociaux. Dans le même temps, des fouilles archéologiques sur l'emplacement du pensionnat mettent à jour un cadavre, visiblement assassiné.
L'inspectrice Kim Stone va se mettre en quête du coupable, qui semble lié avec ces différents meurtres avec d'autant plus de détermination que ce pensionnat réveille en elle d'anciennes douleurs.
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Un roman à l'intrigue classique, efficace et bien menée dont la force tient surtout dans la personnalité de son inspectrice. Assez peu conventionnelle et tête brûlée, elle donne du relief à cette enquête et m'a permis de maintenir mon intérêt pour cette lecture où, je l'avoue, je me suis un peu ennuyée.

Un roman policier bien construit, avec pour toile de fond les lacunes des services sociaux britanniques mais qui sera vite oublié. Déception

Je n'apprécie pas trop les policiers à cause de leur personnage principal, vu et revu : celui qui a un vécu un peu glauque, seul(e) célibataire, peu loquace, un peu en retrait des autres, un peu bourru mais ayant des compétences plus importantes que ses collègues mais toujours la frontière des règles. Bref, c'est du vu et du revu.

Alors pourquoi j'ai lu ce livre me direz-vous ? parce que la 4ème de couverture me semblait intéressante. Seulement voilà, l'auteur ne nous donne pas envie d'en savoir plus. On passe d'une scène à l'autre sans avoir le temps de se poser. Plusieurs cadavres sont retrouvés sans que l'on puisse forcément faire le lien en tant que lecteur. Les choses se font petit à petit mais souvent l'auteure nous laisse sur notre faim. C'est d'autant plus énervant que l'auteure nous glisse entre les lignes que dans le chapitre que l'on vient de finir, la super enquêtrice a décelé quelque chose, que nous lecteur (à moins que ce ne soit que moi), on ne puisse déterminer quoi. Bref, le livre se lit très facilement. On est un peu embrouillé avec tous les personnages mais on peut s'en sortir.

J'ai quand même lu ce livre jusqu'au bout puisque finalement, je me suis prise au jeu par cette lecture. Les chapitres sont relativement courts, ce qui fait qu'on passe d'un sujet à un autre rapidement. L'auteure a réussi à m'embrouiller, ce qui fait que je n'avais pas deviné cette fin. Elle est d'autant surprenante que page après page, l'auteure semble vouloir nous laisser mener par cette enquêtrice, Kim Stone, qui devine très bien les choses sans que le lecteur ne voie rien. Les toutes dernières explications du dernier chapitre nous éclaire sur son cheminement et j'ai ainsi pu apprécier finalement cette histoire.

Je dois lire « Les monstres », la suite de ce roman. C'est avec plaisir que je le lirai mais avec l'espoir que Kim Stone va évoluer dans son caractère et ne plus être ce personnage à la limite de la caricature du policier bougon.

Dans un bled pommé, où la pauvreté et la dépression semblent former une union solide, Kim Stone et sa brigade se retrouvent à enquêter sur le meurtre d'une célibataire nommée Teresa Wyatt. Un premier meurtre qui se révèle être le début d'une longue série. Point commun entre tous ces meurtres : ils ramènent tous vers un pensionnat abandonné.

J'ai pris goût aux histoires un peu dégueulasses, dans des endroits morbides. Tout portait donc à croire que ce livre serait foutrement intéressant et palpitant : un contexte sympa, une intrigue cool, des personnages hostiles. J'y croyais vraiment, je me suis dit « yes, peut être un très bon thriller ! » Avec de la chance, il aurait peut-être pu me faire oublier toutes mes déceptions littéraires depuis la fin de ma lecture des trois premiers tomes de Millenium.

Eh bien non. Ce ne sera pas lui qui m'aidera à faire mon deuil littéraire. C'est une déception de plus.

Le début m'a semblé pourtant prometteur. Les premières pages nous dirigent rapidement vers un premier meurtre, le rythme est soutenu ... Et puis le temps passe, j'enfile les pages, et ma déception s'accroît.

Premièrement, l'auteure joue à fond avec les clichés : une policière amochée par la vie, des dialogues bateaux, des disputes entre le bon et le mauvais flic, du féminisme mal placé, et puis le coéquipier cool. Était-ce vraiment nécessaire ? Je veux dire, un énième thriller, avec un tableau semblable à un million d'autres ?

L'enquête prend, d'après moi, trop de temps pour un dénouement ultra médiocre. C'est vraiment dommage ! J'aurais voulu m'attacher à ce pensionnat, en connaître les facettes, ressentir quelque chose pour lui ! Mais non, rien. Finalement, le lieu-même qui irrigue toute l'intrigue nous laisse de marbre.

Pour revenir sur le côté « bon livre ». C'est effectivement une bonne lecture, qui ravira certainement les amoureux des thrillers lambdas. Mais ce n'est pas mon cas, j'attendais plus qu'une simple enquête de police, ce bouquin me laisse un goût amer de déception.
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