Londres, quartier de Chelsea, 1923.
- Ah, la vie de voyage !…
- C'est une vie libérée des centaines de filaments et de toiles d'araignées qui nous ligotent dans le cocon du quotidien : les factures à payer, le ménage, les vêtements à repriser, les nurses et les bonnes à amadouer…
- Tu étais contente de retrouver Rosalind, tout de même ?
- Oui elle m'a tellement manqué ! …
Quatrième de couverture :
« J'avais été mise au défi d'écrire un roman policier, j'avais écrit ce roman policier, il avait été accepté et allait être publié. Pour moi donc, l'aventure s'arrêtait là. Il est certain que je n'envisageais pas alors d'écrire d'autres romans. Si l'on m'avait posé la question, j'aurais répondu que j'écrirais encore probablement des nouvelles de temps en temps. J'étais l'amateur au sens strict du terme. J'écrivais pour le plaisir.»
Agatha Christie - Une autobiograhie.
« J'avais été mise au défi d'écrire un roman policier, j'avais écrit un roman policier, il avait été accepté et allait être publié. Pour moi donc, l'aventure s'arrêtait là. Il est certain que je n'envisageais pas alors d'écrire d'autres romans. Si l'on m'avait posé la question, j'aurais répondu que j'écrirais encore probablement des nouvelles de temps en temps. J'étais l'amateur au sens strict du terme. J'écrivais pour le plaisir. »
Agatha Christie - Une autobiographie
Je me suis mariée à vingt-quatre ans. Nous avons été heureux onze ans, puis ma mère est décédée de façon pénible et mon mari a connu une autre femme. Voilà : vous n'écrivez pas votre destin, c'est lui qui vient à vous.
Tu as raison, la vie ne vaut pas d’être vécue si on n’ose pas sauter sur une occasion quand elle se présente !
Hercule Poirot : Miss Marple est une vieille fille caustique, indiscrète, sachant tout, écoutant tout… Plus une concierge qu’une vraie détective !
Agatha Christie : Hi hi ! Seriez-vous jaloux ?
Hercule Poirot : Jaloux moi ?… Allons, elle ne m’arrive pas à la cheville…
Agatha Christie : Pourtant, les lecteurs du Royal Magazine dans lequel a été publié « Le club du mardi » semblent l’avoir grandement appréciée.
Tu as raison, la vie ne vaut pas d'être vécue si on n'ose pas sauter sur une occasion quand elle se présente !
Tu as raison, la vie ne vaut pas d'être vécue si on n'ose pas sauter sur une occasion quand elle se présente !
Mais!... Vous n'êtes pas réel... Tu m'as donné vie. Je suis donc réel.
Nous ne savons pas apprécié le fait d être vivants. Peut être avons nous besoin de nous sentir à l étroit de subir de nouvelles sortes de privations et de misères, de maladies et de douleurs, de retrouver la volonté effrénée de survivre... .