Par le fer et par le feu

Tout d'abord, on doit savoir que le roman ce passe dans les années 1503. Les lecteurs doivent s'attendre à des scènes de violence brutale car tout commence lorsque les espagnols viennent coloniser Hispaniola. Ils sont ensuite massacré le peuple des Tainos. Bartolomé a pris soin de kodibio car sa mère venait de mourir. Tout au long de sa vie, Kodibio recherche son peuple. D'après vous, réussira-il?
Enfin, On peut dire que le personnage de Kodibio est très courageux car il réussit toujours à s'en sortir.Ce livre fera l'Affaire de la plus part des amateurs de guerre. On peut recommander ce livre surtout au garçon car il y a beaucoup de violence. Bref, il faut dire que ce roman est consacr. Surtout a décrire ce qui setait passer lorsque les espagnol on coloniser Hispagnola. Il comporte plusieur scene de violence, c'est pour ca que surtout les garçons de 10 à 15 ans vont l'apprécier. Kodibio est un personnage au quel on s'attache beaucoup, c'est donc difficile de ne pas lier se roman avec passion.

Critique littéraire du roman Par le fer et par le feu

Tout d'abord, résumons cette histoire touchante. Kodibio, un jeune Amérindien, et sa mère Anacaona sont faits esclaves dans les colonies espagnoles de l'île de Saint Domingue et d'Hispaniola. Réussira-t-il à se libérer et à survivre à ces tortures? L'auteur, Daniel Mativat, nous fait part d'une histoire racontant l'arrivée des conquistadors espagnols sur les territoires autochtones. Il nous fait connaître les liens serrés entre les personnages.
Ensuite, le personnage principal, Kodibio, est très attachant, car il se sort toujours du pétrin de ses mésaventures. Il est brave, courageux et il a beaucoup de culot. Voici un extrait du roman qui le prouve : « Kodibio traduisit une partie de la phrase tout en ajoutant en arawak : ̶ Prends garde, cet homme est un fou furieux. » (Page 102) Bref, l'auteur a écrit un excellent roman rempli d'aventures et d'action vécues par un personnage attachant et téméraire, Kodibio. À lire.

La légende du chien des Baskerville
Pour commencer, résumons l'histoire du roman de Connan Doyle, «Le chien des Baskerville». Une légende, tout d'abord raconté par le plus vieux de la famille, Hugo Baskerville. Cette légende dit qu'un chien démon surgit quelque fois et que dès qu'il surgit, il y aura certainement un mort. Sir Henry était le seul à ne pas être mort. Sherlock holmes décida d'enquêter sur cette affaire. Lui, Watson et sir Henry ce rendire donc a Baskervile Hall pour résoudre se mistère du fammeux chien démon. D'après vous, Sherlock Holmes et son chère Watson pouront-ils réeussir à résoudre cette égnime?

Finalement, on peut dire que ce roman dont l'univers est policier est un très bon roman. Les personnages ont une belle complicité ainsi que des valeurs appropriés pour un roman policier. Holmes et Watson vont chercher le plus d'indice possible pour faire un raisonement le plus détailler possible. Prenons par exemple, au début du roman, Watson examine une canne et Holmes lui demande de décrire la personne à qui elle appartient. P.6 «Selon moi, dis-je, ce docteur Mortimer est un médecin de campagne qui visite à pied la plus part de ses malade(…) Parce que cette canne, qui à l'origine était très élégante, se trouve aujourd'hui dans un tel état que j'ai du mal à me la représenter entre les mains d'un médecin de ville». On peut donc voir que Watson peut décrire une personne sans jamais l'avoir vu au paravant avec seulement un objet qui appartenait à cette personne. Pour conclure, ce roman dans lequel les péripéties on tous un certain rapport avec ce qui se passait avant. Ce livre fera l'affaire de tout amateur de romans policiers.

Critique littéraire
Tout d'abord, résumons ce roman historique. Ce dernier relate l'histoire de Kodibio, un jeune prince Indien arraché à son peuple puis élevé par un Espagnol bienfaisant. Au cours du livre, Kodibio est témoin de la décimation des siens et des horreurs que les Indiens ont dû subir pour le seul enrichissement des Espagnols. À travers le roman, il voyage avec le Bartholomé de Las Casas, un religieux défendant les Indiens. Parlons maintenant de l'attachement qui se fait entre le lecteur et le personnage principal.
Enfin, même si l'auteur raconte tout au long du livre l'histoire de Kodibio, il ne réussit pas à créer un attachement entre le lecteur et le personnage principal. En effet, Kodibio ne fait qu'observer tout au long du roman, il ne prend jamais un rôle d'acteur ayant une influence sur le cours de l'histoire ce qui empêche le lecteur de s'intéresser à lui. Lui-même dit, à la page 89 «Mais alors, s'il n'intervient pas, s'il ne lutte pas contre le mal, le juste ne sera-t-il pas d'une certaine façon le complice de celui qui fait le mal? Ne sera-t-il pas semblable aux coupables et aux lâches?». Ici est exprimé que Kodibio et Bartholomé sont inactifs face aux mauvaises actions qui se passent sous leur nez. Ces derniers se demandent s'ils devraient continuer ainsi. En résumé, l'auteur ne réussit pas à créer un lien entre le lecteur et le personnage principal en raison de l'inertie de ce dernier.

Premièrement, le roman se passe dans les Antilles. Dans la région d'Haïti. le roman parle de la colonisation des Espagnols sur l'île d'HIspaniola. Kodibio, le prince de Xaragua, fils de la reine Anacaona se retrouve confié par cette dernière, au prêtre Bartolomé. Dans le roman, les aventures de Kodibio nous sont racontées.
Deuxièmement, il y a Panfilo de Narvaez, le conquistador. Il est venu pour conquérir les indiens. Ce n'est pas un personnage attachant, il est cruel. Il tuait tous les indiens qu'il croisait parfois. À la page 113, nous avons un extrait disant qu'il tuait cruellement. Il est écrit : « de dur et ombrageux qu'il était, il se montra dorénavant d'une cruauté froide, tuant sans émotion, avec une efficacité presque mécanique et un détachement digne d'un tueur implacable pour qui la vie n'a pas de sens. » (p. 113). Je n'ai pas aimé ce livre. Je n'étais vraiment pas intéressé par l'histoire. Je trouve que ce n'était pas un sujet intéressant. Mais plusieurs aimeront. Surtout les garçons.