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3,98

sur 867 notes
Trouvé dans une boîte à livres, la 4ème de couverture m'a interpellée car j'avais regardé la nouvelle adaptation en mini-série des Chroniques de San Francisco, qui m'avait beaucoup plu.

«  Les amis sont la famille que nous choisissons », cette petite phrase résume un peu les liens étroits qui unissent les habitants de Barbary Lane.

La recherche de l'amour, les relations de couple et l'infidélité, la recherche de reconnaissance dans le monde du travail, la politique américaine, tous ces sujets reviennent constamment dans cette saga qu'Armistead Maupin s'applique à entretenir avec talent et qui a conquis des millions de lecteurs.

Est-ce ce langage assez universel qui nous touche intérieurement indépendamment de notre histoire personnelle?

Ce 5ème tome reprend l'histoire de quelques personnages phares et en introduit des nouveaux dans une atmosphère qui regorge des thématiques  propres aux années 1980: l'apparition du sida dans les milieux homosexuels, l'attachement des habitants à leur communauté de Barbary Lane et les diktats du culte du corps

Une petite aventure cocasse mais tout à fait improbable vient pimenter le récit, impliquant plusieurs personnages dans des péripéties digne des sitcoms genre « Desperate housewives »

Entre deux joints de bienvenue Mme Madrigal, la logeuse, personnage pas très développé dans ce tome, voit tout et comprend tout et prend soin de ses "chats errants" à sa façon bien particulière.

Une comédie humaniste irrésistible.

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C'est avec un grand plaisir que je retrouvais la troupe de Barbery Lane mais aussi avec un peu d'appréhension car le tome précédent était une lecture mitigée pour moi. Et finalement ça a été une réussite c'est l'un de mes tomes préféré de la saga. J'ai beaucoup aimé car on change de cadre. Les personnages sont tous loufoques mais toujours aussi attachants. L'histoire s'est un peu détachée de Mary Ann qui m'avait agacée dans le tome précédent donc plutôt bien. J'ai hâte de découvrir le prochain volume !
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Ce n'est pas le style qui m'a déçu car en fait j'ai beaucoup aimé cette écriture en scenette qui fait que l'on suit une multitude de personnages, ce n'est pas le style dialectique qui m'a perturbé car j'ai trouvé cela rafraîchissant, c'est la fin, brutale, courte précitée comme une fin de rédaction quand il ne reste que 5 minutes
Je ne l'ai pas comprise
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J'ai lu les fameuses et sympathiques Chroniques de San Francisco d'Armistead Maupin quand j'étais encore un jeune adulte, et j'avais pris énormément de plaisir à les lire. Je les recommande à tous les lecteurs qui aiment rire et être ému par un livre !
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Cette serie qui nous transporte dans le san francisco hippie est une reusdite absolue.Volume apres volume le ton enjoue reste le meme,les aventures sentimalo comuquo sexuelle des hetos s'enchainent et le rythme est toujours là ! Les livres peuvent se lire dans le sens que l'on veut et chaque episode nous offre de bons moments : a decouvrir d'urgence !
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Avec ce cinquième tome Maupin retrouve la drôlerie et le mordant des trois premiers tomes.
Cette fois, il propose une satyre très pertinente de la société américaine des années 80 et des débuts du communautarisme.
Le rythme est enlevé et les nouveaux personnages hauts en couleurs !
C'est sans aucun doute, l'un des tomes les plus drôles de la série.
Maupin arrive à nouveau à nous surprendre et à nous embarquer dans des aventures improbables...
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Aussitôt après le quatrième tome, vent en poupe, j'ai enchaîné avec une nouvelle saison à Barbary Lane. Après les évènements de « Babycakes », Brian et Mary Ann sont devenus parents, cette dernière présente sa propre émission et incarne désormais une célébrité locale. D'or et DeDe reviennent sur le devant de la scène et s'offrent une excursion familiale dans un camp lesbien et féministe. Et après la mort de Jon, fauché par le Sida, le fléau frappe encore, en la personne de Michael cette fois.

Ne pas l'évoquer est impossible. Et Armistead Maupin en parle avec autant de gravité que le sujet l'exige à travers notamment les annonces successives de personnages séropositifs, le stress et la peur suscités par l'attente d'un résultat et l'incertitude relative à cette nouvelle maladie. Mais il l'aborde également avec la légèreté propre aux Chroniques de San Francisco comme avec les « jack off parties », un des moyens d'adapter la sexualité à l'épidémie.

Un tome qui n'oublie pas les péripéties et surtout d'entremêler les destins, de croiser les personnages dans des situations plus ou moins inattendues et cocasses.
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D'un bord à l'autre
Armistead MAUPIN

Mary Ann et Brian sont les heureux parents de Shawna, bébé cadeau de feu leur amie Connie.
Michaël maintenant séropositif apprend que Brian craint de l'être aussi puisqu'il trompe sa femme avec une femme séropositive.
D'or et DeDe vont passer quelques jours dans une « communauté » pour femmes.
Où se retrouvera « capturé » Booter le beau-père de DeDe.
Pendant que Michaël, Brian et Thack le nouveau venu vont passer un week-end entre mecs... ou presque !

Un tome intéressant et qui se lit bien mais les histoires de camps mâles et femelles ne m'ont pas emballée.


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Quel plaisir de retrouver Michael, Brian et tous les autres! Nous voilà dans les années 80 et chose inhabituelle, la plus grande partie de l'histoire se passe en dehors de San Francisco. En effet DeDe, D'Or et les jumeaux ont décidé de passer quelques jours dans un festival lesbien pendant que Michael, Brian et Thack, un touriste de passage, se retrouvent quelques jours dans la maison d'un ami. Enfin, de nouveaux personnages, à savoir Booter le nouveau beau-père de DeDe va dans un camp réservé aux hommes WASP et a fait venir sa maîtresse Wren, la plus belle des grosses femmes, près de ce camp. Bien sûr, les histoires de tous vont d'imbriquer les unes dans les autres puisque leurs lieux de vacances se trouvent au bord de la même rivière. Voici pour les aventures rocambolesques de nos amis. En revanche, le personnage de Mary Ann a perdu de sa splendeur. La pauvre biche effarouchée est devenue une starlette très soucieuse de son nombril. On aperçoit que peu le personnage de Mme Madrigal. J'adore cette chronique. Cela se lit facilement malgré des sujets sérieux tels que le SIDA qui se propage dans toute la population.
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Les lectures se suivent et ne se ressemblent pas. Cela faisait un petit moment que je ne m'étais pas plongée dans un tome des Chroniques de San Francisco, et là l'occasion s'est présentée. Juste après avoir terminé Djihad Online, j'avais besoin de décompresser et de me réfugier dans une lecture doudou. Ce tome 5 tombait à pic !

Ce cinquième tome est un peu différent des précédents, puisqu'ils s'intéresse énormément à Mouse et Brian, ainsi qu'à Dede et D'or en laissant de côté Mary Ann et Madame Madrigal.
C'est un peu dommage, puisqu'on avait l'habitude de les suivre tous ensembles dans les tomes précédents.
En plus de nos héros, une partie de l'histoire se concentre sur Booter, le nouveau mari de Frannie et Wren, une jeune femme plutôt intéressante.

Une fois encore, Armistead Maupin apprécie de faire tourner ses personnage en bourrique et il n'y va évidemment pas avec le dos de la cuillère. C'est à se demander si nos héros auront un jour une vie normale...
Mais c'est évidemment ce qui fait tout le charme de cette saga: les aventures farfelues et les bons mots des divers protagonistes. Je regrette cependant le petit grain de folie supplémentaire qui caractérisait si bien les trois premiers tomes.
Par rapport à ceux-ci, les tomes 4 et 5 paraissent plutôt gentillets.

Mais ce n'est finalement pas si grave, puisque le ton des romans reste très léger et que c'est typiquement ce que l'on recherche avec ce type de lecture.

Cependant, malgré le ton volontairement gai - très mauvais jeu de mot, mais j'assume - ce tome traite un peu plus des ravages du VIH. On commence à sentir les prémices de ce que donneront la fin des années 80 et le début des années 90 avec l'avènement du mouvement Act Up.

En bref, les Chroniques de San Francisco continuent de m'emporter et de me faire décompresser quand j'en ai besoin et rien que pour cela, je suis contente de m'être lancée dans l'aventure. C'est avec délice que je me plonge dans chaque nouveau tome et que je retrouve mes personnages chéris.
Lien : http://www.cranberriesaddict..
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