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Critique de domisylzen


Pauvre Enzo MacLéod. Tout est contre lui.
Son médecin lui diagnostique une leucémie foudroyante, il lui reste de trois à six mois à vivre.
Sa fille, interprète au parlement européen de Strasbourg, échappe de peu à un attentat.
Une jeune femme a été assassinée et tous les indices laissent à penser que MacLéod est le coupable.
Le club de sport créé par son gendre, Bertrand, part en fumée.
On lui en veut ? Non croyez-vous !
Un récit dans lequel on peine à rentrer tellement l'histoire parait incroyable. Des répétitions au-delà du raisonnable nuise au rythme, par exemple dans un même chapitre est utilisé quatre fois, sous divers formes, "le rouge lui monte aux joues". A force ça finit par agacer.
Il est bel homme et fait craquer les nanas ... etcétéri … etcétéra. Bref, rien que du très classique. J'en étais arrivé au même constat avec son précédent livre : "terreur dans les vignes".
- Dis tonton tu vois quelque chose de nouveau à l'ouest ?
- Non que l'herbe qui verdoie et des polars qui merdoie.
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