...un enfant n'a besoin de rien d'autre que de savoir qu'il est aimé. De rien d'autre.
Vous ne savez rien tant que vous ne savez pas comment vous le savez
Il était facile de rêver, mais la vie quotidienne, avec ses responsabilités et ses difficultés, restait une réalité.
On ne ferait que pleurer… et le mal ne cesserait pas pour autant.
Le monde, se composait de grandes et de petites choses. Les grandes étaient visibles de tous, on ne pouvait les ignorer : c’était la guerre, l’oppression, la confiscation, par les riches et les puissants, de ces choses élémentaires dont les pauvres avaient besoin et qui suffiraient à rendre leur existence plus supportable.
Un enfant n’a besoin de rien d’autre que de savoir qu’il est aimé. De rien d’autre.
Même si l’on ne peut affirmer qu’un cliché ne ment jamais, il est difficile de lutter contre une preuve photographique. Que de fois ai-je personnellement affronté un malfaiteur, muni d’une photographie de lui engagé dans une activité peu honorable, et lui ai-je lancé : « Mais alors, là, qui est-ce ? L’homme qui a marché sur la lune ?
Les grandes querelles n’ont souvent besoin que de quelques paroles pour se résoudre. Les différends, qu’ils opposent des êtres ou des nations, peuvent être apaisés par de simples actes de contrition, assortis du pardon correspondant. On s’aperçoit alors qu’ils ne se fondaient sur rien d’autre que la fierté ou l’incompréhension, et l’oubli de l’humanité de l’autre partie… et aussi sur la terre, bien sûr.
Il y a des gens qui volent. On aura beau être gentils avec eux, ils voleront quand même. Même à leur propre famille, même dans leur propre maison.
Les gens riches oublient souvent qu’ils sont des êtres humains comme nous tous.