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3,48

sur 216 notes
un se rial lobotomiseur enlève de jolis femmes , leur fait l'amour et les lobotomise en les laissant comme des légumes
très bon polar triangulaire entre un tueur compulsif qui n'est pas tueur,une neurologue qui s'occupe des victimes tres perspicace sauf pour elle même, une jeune journaliste arriviste qui s'aperçoit que l'ambition est sujette à des valeurs beaucoup plus importantes
la complexité d'une race qu'on appelle supérieure(l'humanité) est judicieusement souligné
à lire
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Bon livre que j'ai connu grâce à une booktubeuse. Il fait 700 pages mais se lit rapidement grâce à de cours chapîtres. On suit un tueur en série qui lobotomise des femmes et une psychiatre ainsi qu'une journaliste qui le traquent. Ce livre vous laisse un goût amer quand on apprend pourquoi le tueur se conduit ainsi.
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Quatrième de couverture pourtant alléchante, 300 premières pages intéressantes, mais là je craque, trop de longueurs inutiles et chiantes..... Un achat que je regrette.
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Ce pavé m'a tout simplement transporté ! J'ai été accroché au roman du début à la fin. Il faut dire que j'adore les thrillers et que celui là est bien ficelé. McKay nous transporte dans l'univers de Toyer, psychotique, qui réduit ses victimes femmes à l'état végétatif sans les tuer ! Il y a toujours de l'action dans ce roman et des péripéties qui ne nous font pas quitter un seul instant le papier.
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Navet magistral. Personnages caricaturaux, dialogues ridicules, à tel point que ça fait rire. Textes de style télégraphique, dialogues entre personnages totalement incongrus. Allusions sexuelles gratuites et hors de propos. Sûrement que le sexe doit carrément remplir des pages de ce pavé à un certain moment de l'histoire mais je suis tombée au combat vers la 90e page… donc je pense que j'ai dû manquer l'essentiel des extraits les plus grandioses. le plus intolérable reste quand même, selon moi, l'ajout en continu de « pensées » pseudo-profondes des personnages, affichées en italique à chaque 3-4 lignes, sans qu'on n'ait rien demandé et même si on implore la pitié. Un livre parfait pour allumer le feu en s'installant confortablement avec un bon livre et un truc qui pétille pour célébrer la médiocrité s'enflammant en crépitements de bonheur!
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Ecrit dans les années 90 ce thriller n'a été publier en France d'en 2011. Pas étonnant qu'il y est ici un petit air de déjà-vu.
Toyer c'est une histoire bien américaine. Toyer c'est une réflexion sur les relations entre le mal, la société et les médias.
Mais alors Toyer de quoi ça parle.
Los Angeles est la proie d'un homme qui séduit des femmes, les kidnappe, puis les abandonne à l'état de mort cérébrale. La neurologue Maude Garance et la journaliste Sara Smith tentent d'identifier le coupable, surnommé par la presse Toyer, par médias interposés.
Une histoire qui s'étant sur 700 pages, un pavé qui fait la place belle à l'aspect psychologique. Toyer c'est aussi une un thriller machiavélique et sadique à souhait. J'ai été en immersion dès les premières pages et n'ai plus lâcher ce pavé. L'ambiance est lourde, les personnages tendus, les crimes fascinants et la lecture hypnotique. Bon ok c'est un poil voyeuriste, mais n'est-ce point ce qu'a voulu l'auteur ?

Lien : https://collectifpolar.com/
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Toyer, le joueur, sévit à Los Angeles. Il ne tue pas, il ne viole pas mais fait une cordotomie de la moelle épinière. de jeunes femmes, belles, qui deviennent des légumes. Malgré la dizaine de victimes, ce n'est pas un dossier urgent puisqu'il n'y a pas meurtre. Maude Garance, physiatre, qui soigne les victimes et Sara Smith, journaliste au Herald, vont tout faire pour l'arrêter.

Si vous cherchez une enquête policière, passez votre chemin. Si vous souhaitez des rebondissements, passez aussi votre chemin. Ce livre découpé en trois parties (le commencement, le milieu et la fin) est très long et lent. La première partie campe l'intrigue, les personnages puis le récit s'essouffle. On devine rapidement qui est Toyer et le but de ce roman n'est pas de le chercher puisque nous le savons dès le milieu du roman. La confrontation entre Maude et Toyer est sensée être le clou du roman. Sensée car cette confrontation, ce jeu du chat et de la souris m'a agacée.

Bref, une lecture mitigée
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Cordotomie, n. f. : section d'un cordon de la moelle épinière dans un but thérapeutique. Un acte médical aussi rare que délicat. Un mot dont la plupart des habitants de Los Angeles ignoraient sans doute la définition jusqu'à il y a peu. Jusqu'à ce qu'un monstre s'en prenne à de jeunes femmes innocentes. Un mode opératoire simple : il s'arrange pour croiser leur route, se montre particulièrement sympathique et serviable, avant de les abandonner, non sans avoir prévenu la police, à l'état de légumes. Maud Garance est neurologue, c'est elle qui prépare les jeunes femmes à leur nouvelle vie. Ces « invalides » laissées par Toyer en état de mort cérébrale occupent tout son temps. Il en va de même pour Sara Smith, une journaliste qui rêve de résoudre l'affaire de sa vie. Quand Sara propose à Maud d'écrire, par le biais du journal, à celui que la neurologue elle-même a surnommé « le joueur », celle-ci refuse, avant de se rétracter. Leur correspondance, affichée en une des journaux, passionne. Mais il n'est pas impossible qu'elle fasse des dégâts dans les deux camps.
Toyer est un roman exceptionnel, composé de trois parties, comme trois actes d'un drame : « le commencement », « le milieu », « La fin ». 761 pages et aucun meurtre. Pour le procureur de Los Angeles, cela ne fait d'ailleurs aucun doute : il y a des priorités et Toyer n'en est pas une puisqu'il n'a tué personne. Une aberration qui pointe du doigt les failles de la justice américaine. le lecteur ne peut qu'être indigné par le peu d'attention portée par la justice à cette sordide histoire. 761 pages et une tension qui va crescendo. Les rencontres entre Toyer et ses proies sont incroyablement terrifiantes car l'homme sait jouer avec les nerfs. J'ai notamment trouvé son mode opératoire fascinant car il faut savoir que Toyer n'est pas qu'un psychopathe mais aussi un homme doté d'un grand talent et profondément blessé par la vie. Cela n'excuse en rien son attitude mais il est toujours intéressant de comprendre les motivations d'un tueur. Toyer est un roman dense mais les pages se tournent toutes seules, jusqu'au baisser de rideau. Un thriller passionnant dans lequel les masques ne se portent pas que sur les planches…

Lien : http://aperto.libro.over-blo..
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Quel dommage, mais quel dommage....il y a pourtant de très bonnes idées dans ce livre, excellentes même, mais....
Avec ce roman, vous allez faire un voyage de 758 pages mais ne comptez pas prendre un TGV, c'est pas le bon livre, là vous allez plutôt prendre un vieux TER tout rouillé et passerez par tous les patelins paumés possibles et surtout inimaginables : ce voyage va vous être long, très long et lent, très lent...
Sa lecture n'est pas non plus des plus agréable, c'est pas fluide et on se pose régulièrement la question de savoir ce que tel ou tel passage vient faire ici et surtout quel est son apport à l'histoire....( je me pose encore la question pour certain, même après avoir fini le livre 😉)
Bref, on nous fait passer par beaucoup de chemin détournés pour arriver à nos fins ( encore faut-il qu'il y ait une fin, à mes yeux...non mais ce n'est que mon impression perso) et le rythme est tellement lent qu'on a hâte d'en finir.
Certains passages du roman sont amenés quand même à vous faire grimper votre cardio, du coup on se met à espérer que le rythme s'accélère et qu'on va enfin être pris dans l'engrenage de l'histoire et être happé pour ne plus en sortir.....mais non, l'auteur vous dégote un nouveau petit patelin et reste donc sur le même rythme lancinant et vous perd dans sa campagne...
Mais je répète, il y a vraiment de très bonnes idées et j'espère quelque part qu'un autre auteur s'en inspirera pour en faire une histoire plus poignante et saisissante...
Pas foncièrement mauvais comme livre au final mais déçu, très déçu dans la manière dont il est écrit.
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Je ressors assez mitigée de cette lecture. Il y a du très bon, mais aussi de nombreuses longueurs. Ajoutez à cela un style parfois un peu étrange, dont j'ignore s'il vient de la traduction ou si l'auteur écrit vraiment ainsi, et vous comprendrez que j'étais bien contente d'en voir le bout.

Ca partait pourtant bien: on a Toyer, un psychopathe qui prend un malin plaisir à faire la connaissance de ravissantes jeunes femmes, qu'il séduit avant de les laisser dans un état de mort cérébrale. de jolies fleurs pâles, voilà ce qu'elles deviennent, et cela désespère le docteur Maud Garance, physiatre de l'hôpital où ces jeunes femmes sont recueillies, car les effets de la cordotomie spinale subie sont irréversibles.
Maude est contactée par Sara Smith, une jeune journaliste qui souhaite au départ avoir son avis à propos de Toyer. Puis, poussée par son chef, elle propose à Maude une tribune où elle pourrait s'adresser à Toyer, espérant ainsi le pousser à la faute et le forcer à se démasquer. Sauf que Toyer se prend au jeu et que sa médiatisation semble fortement lui plaire...

Je referme ce livre avec un sentiment particulièrement désagréable: par moments, j'ai trouvé ce récit plutôt malsain, notamment dans la relation Toyer/médias. Comme cela arrive de plus en plus fréquemment, le psychopathe se retrouve à la une des journaux, on surexpose ses "exploits", on lui offre une médiatisation qu'il ne mérite pas, le voilà célèbre alors que ses victimes, elles, sont réduites à jamais à l'état végétatif.

Quand (enfin!) Sara en prend conscience, il est trop tard: les gens se passionnent pour cette affaire, Toyer veut écrire un livre dont il reverserait les bénéfices à ses victimes, et le pire (à mon avis) est que des maisons d'éditions sont prêtes à le publier. Quand Sara, à qui Toyer écrit personnellement, veut tout stopper, elle se heurte au mécontentement et de son patron et de l'opinion publique, qui estime avoir parfaitement le droit d'être informée.

Sauf que là se pose la question des limites entre information et curiosité mal placée: jusqu'où peut-on aller sous prétexte d'informer les gens? Où se situe la limite entre simple information et fascination morbide du public, qui veut sans cesse en savoir plus? Surmédiatiser les criminels en parlant d'eux sans cesse n'est-il pas dangereux? Toyer pose intelligemment la question, tout en nous montrant les dérapages que cela peut occasionner.

J'avoue que j'étais curieuse de voir comment l'auteur allait bien pouvoir traiter tout cela, et par moments j'ai enchaîné les chapitres (qui sont relativement courts) et englouti les pages sans problèmes, tandis qu'à autres ma lecture se faisait plus laborieuse. J'ai trouvé certaines tournures de phrases bizarres, j'ai parfois dû relire certains passages à deux fois pour être sûre d'avoir bien compris ce que l'auteur voulait dire.
Par contre, j'ai beaucoup aimé que certains débuts de chapitres ressemblent à des didascalies, ces petites notes que l'on retrouve généralement au théâtre et qui nous donnent des indices sur le lieu, l'heure, etc... et personnellement ça m'a beaucoup plu.

Cependant, à environ deux tiers du livre, on sent soudain comme un essoufflement au niveau de l'intrigue, et là les choses ont commencé à déraper. Avec un peu d'imagination, il est facile de deviner qui est Toyer, mais là n'est pas le souci. En effet, connaître son identité n'est pas le but final de ce livre, limite cela importe peu, ce qui est important est de savoir pourquoi il prend tant de plaisir à lobotomiser ses victimes.
A partir de ce moment, j'ai trouvé qu'on commençait à tourner en rond, il y avait beaucoup de longueurs, je pense d'ailleurs que certaines coupes dans le récit ne lui auraient pas fait de mal! ^^
Puis on arrive sur la fin, machiavélique, mais qui en tant que fin ouverte laisse place à l'imagination du lecteur.

Pour ma part, cette fin ne m'a pas plu, tout comme l'évolution du personnage de Maude. Celle-ci est obsédée par ses patientes, elle leur fait subir divers tests afin de voir si leur état évolue, et comme ce n'est pas le cas tout cela a tendance à lui peser.
Maude est en colère, contre Toyer pour ce qu'il fait à ses victimes, contre Sara et les médias qui donnent à Toyer un statut de star qu'il ne mérite pas, et contre le procureur et la police qui ne font rien. Après tout, Toyer ne tue pas, donc il n'est pas une priorité, ce qui rend Maude folle. Elle vit une véritable descente aux enfers, se sent incomprise et ne prend pas que des bonnes décisions.
Quant à Sara, il lui faut du temps pour comprendre que les décisions qu'elle prend au sujet de Toyer ne sont pas forcément les bonnes et que courir après un scoop n'est pas forcément une priorité.

Au final, Toyer est une bon pavé qui souffre de pas mal de longueurs, de personnages auxquels il est parfois difficiles de s'attacher, mais qui a le mérite de poser les bonnes questions quant au rôle des médias. A lire, même si le nombre de pages peut légitimement faire peur.
Lien : http://pinklychee-millepages..
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