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Après un départ plaisant au cours duquel j'ai apprécié l'écriture tonique de Leah McLaren, sa vision caustique, voire cynique, d'un couple en désamour après une naissance gémellaire, mon enthousiasme est retombé. Après avoir pensé que j'avais entre les mains et sous les yeux un roman susceptible de livrer une version originale et pourquoi pas subversive (on peut rêver), d'une séparation, mes illusions se sont envolées. Que reste-t-il, à mon grand regret, au terme de cette lecture ?


Un roman à la connotation très nord-américaine, contrée étrange et sauvage où une famille lors d'un divorce, est réduite à une liste comptable de biens matériels : maisons familiale et de campagne, garderie, frais de scolarité et de nounou, charges sociales et heures supplémentaires, prestation compensatoire pour l'épouse, règlement immédiat en liquide, honoraires juridiques, paiements perpétuels. Vous n'êtes pas convaincus de la valeur marchande d'une famille ? Je poursuis : maison estimée à 1,8 million de dollars, villa à la campagne qui en vaut le quart, voitures évaluées entre 30 et 40 000 dollars chacune (le couple en possède plusieurs) , revenu annuel du père chiffré à un demi-million de dollars. Ca fait rêver !


Et les jumeaux me direz-vous, quelle place occupent-ils dans ce bilan financier ? Ils embêtent tout le monde. Maya, malgré l'aide d'une nounou à temps plein, d'un coach sportif, d'un niveau de vie privilégié, d'un régime sans gluten et d'une collection de bouquins sur le développement personnel, est é-pui-sée, elle-n'en-peut-plus, et Nick souhaitait avoir un enfant mais pas deux, maudite FIV !


Au final, mon avis est que l'auteure possède une bonne plume et une imagination fertile, malheureusement mises au service d'une intrigue banale et foutraque et de personnages autant antipathiques que les remerciements de fin d'ouvrage : « J'ai écrit le premier jet de ce livre en donnant le sein à mon enfant. Je l'ai littéralement sanglé contre ma poitrine pour qu'il puisse téter pendant que je tapais mon texte (ne me demandez pas comment j'ai fait, j'ai refoulé ce souvenir au plus profond de ma mémoire). Je crois que j'avais peur, si je m'arrêtais d'écrire, de rester prisonnière du bourbier sentimental que peut représenter la maternité, peur de me retrouver à ne rien faire d'autre que préparer des cakes à la banane en attendant de mourir d'amour ». J'en resterai là avec cette auteure.
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J'ai emprunté ce livre à la bibliothèque, attirée par la couverture. Après un passage sur ce site, j'ai pensé que j'avais peut-être eu tort, les avis et les notes des lecteurs n'étant pas très positifs. Je me suis malgré tout lancée dans la lecture, me disant que comme pour la nourriture, il faut d'abord goûter avant de dire qu'on n'aime pas.
Je ne le regrette pas du tout car j'ai vraiment bien aimé ce livre traitant d'un sujet tellement vrai : devenir parents n'est pas si simple que ça. Combien de couples se sont perdus en cours de route ?
L'auteur n'en fait pas trop, la lecture est très agréable et les pages se tournent facilement.
Ce n'est certes pas le roman du siècle mais cela reste un bon moment de lecture.
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Un roman très intéressant et très agréable à lire sur la maternité et surtout, sur le couple après l'arrivée d'enfants.
La quatrième de couverture nous propose l'avis du "Daily Mail" qui le qualifie de roman "intelligent" avec raison.
Les deux protagonistes de l'histoire sont Maya et Nick, la petite quarantaine, mariés depuis environ dix ans et parents de jumeaux de trois ans. Depuis cette naissance, rien ne va plus dans le couple. Maya a en effet abandonné sa brillante carrière d'avocate pour se consacrer à l'éducation de ses jumeaux et a développé diverses phobies qui rendent l'atmosphère invivable à la maison. Nick, de son côté, s'est investi dans la société qu'il a créée à un point qu'elle leur permet de profiter d'un très bon niveau de vie. Très peu présent à la maison, il s'éloigne de plus en plus de Maya… jusqu'à envisager le divorce. le problème? Il ne veut pas y laisser des plumes, au niveau financier. Il va donc, sur les conseils de leur ami commun, Gray, avocat, établir un stratagème pour pousser sa femme à retravailler de manière à réduire la pension alimentaire qu'il aura à lui verser.

Sauf que… tout ne va pas se passer comme prévu!

Un bien agréable moment de lecture estivale.
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Beaucoup de mauvaises critiques sur Babelio pour ce livre.
Effectivement, ce n'est pas de la grande littérature, bien qu'il soit plutôt bien écrit et se lise très facilement.
C'est dommage car il a le mérite de montrer très clairement la complexité des sentiments et combien ceux ci peuvent être influencés, voire occultés par nos peurs les plus inconscientes...
Peut on être capable d'amour véritable lorsqu'on ne se connait pas vraiment? Nombre d'échecs matrimoniaux ne sont ils pas dus à des problèmes psychologiques? A un manque de maturité émotionnelle et affective?
L'auteur démonte la mécanique complexe des sentiments dans cette histoire de mariage difficile à la suite d'une naissance gémellaire, ce que les mères de jumeaux, dont je fais partie, reconnaitront, du moins partiellement.
Bref, une lecture agréable et un premier roman prometteur.
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Maya et Nick sont mariés depuis de longues années et vu de l'extérieur ils mènent une vie de rêve. Nick a fondé son agence de publicité et Maya est avocate spécialisée en droit de la famille.

Mais depuis 3 ans, leur couple connaît de fortes turbulences. Après plusieurs années d'infertilité, Maya a mis au monde, grâce à une insémination artificielle, des jumeaux prénommés Foster et Isla.

A partir du moment où ils sont nés, Maya s'est entièrement consacrée à eux : les allaitant à la demande jour et nuit, surveillant leur alimentation pour qu'elle soit la plus pure possible, en prenant garde à leur environnement, leurs vêtements, leurs activités…

Les époux ne font plus que se croiser car Nick fuit le domicile le plus possible, n'approuvant pas que les jumeaux âgés désormais de 3 ans continuent à prendre le sein ni de voir sa femme se transformer en mère au foyer control freak.

Malheureux, il décide de divorcer mais l'un de ses amis avocats en droit de la famille, le prévient, il y laissera une très grande partie de sa fortune, ce qu'il refuse.

Il prend donc la décision de jouer au mari idéal et d'inciter Maya à reprendre le chemin du travail…

Un mari idéal est le premier roman de Leah McLaren qui signe ici avec une bonne dose d'humour grinçant et d'ironie, une comédie de moeurs à l'américaine. Même si à aucun moment je ne me suis attachée aux personnages CSP+ que sont Nick et Maya, j'ai lu avec beaucoup d'intérêt ce roman sur le mariage et la parentalité made in USA.

Difficile pour moi d'imaginer le quotidien de Maya, une femme sublime, adepte du yoga et de la nourriture macrobiotique, totalement obnubilée par ses enfants. Les jumeaux sont d'ailleurs assez horripilants et peu crédibles au vu des dialogues qui leur sont imputés, à 3 ans les enfants ne parlent pas ainsi !

J'ai beau être une maman et être très maternelle, je ne vois pas mes enfants comme un prolongement de moi et je n'ai jamais vu la maternité comme une sorte d'esclavagisme moderne, néanmoins la plume de Leah McLaren m'a emporté et j'ai enchaîné les pages avec un certain intérêt comme je le disais plus haut.

C'est assez étrange pour nous français d'imaginer un divorce à l'américaine où un mariage, est réduit à une liste comptable de biens matériels : maison familiale, maison de campagne, garderie et frais de scolarité, frais de nounou, charges sociales et heures supplémentaires, prestation compensatoire pour l'épouse, ajustement du revenu familial, règlement immédiat en liquide, honoraires juridiques…

La garde des enfants prend finalement peu de place dans tout ça alors qu'en France c'est tout l'inverse, les ex époux sont prêts à s'écharper pour obtenir la garde exclusive ou la garde alternée selon que l'on soit la mère ou le père.

C'est un roman qui, contrairement à la couverture kitch proposée par l'éditeur (non mais franchement je suis très surprise de ce choix), est très cynique et même si je n'ai pas adhéré aux personnages ni à leurs psychologies ou leurs choix, il m'a tout de même intéressée. Je suis malgré tout restée hélas spectatrice des errements de Nick et Maya.
Lien : https://deslivresdeslivres.w..
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Un mari idéal a été pour moi une lecture difficile. Je me suis faite avoir par le résumé, et à la place de cette sympathique lecture chick-lit que j'attendais, je me suis retrouvée avec une histoire « tranche de vie » trop réaliste à laquelle je n'ai pas beaucoup accroché.
Les 130 premières pages ont été difficiles, je m'ennuyais mais surtout je n'accrochais pas du tout aux personnages (et après la lecture ce n'est toujours pas le cas) : ils ne sont pas creux (on sait touuuuut de leurs pensées...) mais n'inspirent pas la sympathie ni l'empathie, j'ai l'impression de les connaître et de les entendre se plaindre sans arrêt. Nick, le mari qui ne pense qu'à flirter et qui souhaite quitter sa femme parce que la flamme de son couple s'est éteinte depuis qu'il a décidé de ne pas s'investir dans sa vie de famille ; et Maya qui se plaint et ne jure que par ses enfants au point de laisser son mari dormir dans l'an chambre d'ami (elle en parle elle en parle mais les enfants sont quand même bien absents, on ne les voit que lorsqu'on a besoin de mettre en avant certains aspects du couple). L'auteure part bien dans les extrêmes avec eux, ils m'ont souvent énervée et j'ai mis du temps à finir le livre. J'en ai sans doute déjà fait part dans d'autres critiques, mais pour moi les personnages et leurs différentes relations sont le point essentiel qui me fait apprécier un livre, parfois bien plus que l'univers mis en place. Si je n’accroche pas à ces derniers, je ne vais pas être bon public. Et ici je n'aurais pas non plus dit non pour un peu d'humour...
Pour ne pas dire que du négatif, j'ai tout de même réussi à finir le livre, qui se lit beaucoup mieux passé un certain cap (ce moment où Nick commence à faire des efforts : ce n'est pas top d'agir comme il le fait, mais c'est déjà plus intéressant à lire...). L'auteure dépeint un portrait de couple marié assez réaliste au final, et moi je cherche à m'évader de la réalité quand je lis ; je ne suis donc pas le meilleur public pour ce type de lecture, mais nulle doute qu'il trouvera ses lecteurs. De plus, il est bien écrit (mais je maintiens que ça manque un peu d’humour).
Merci à Babelio et Albin Michel pour cette opération masse critique.
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Nick et Maya sont très enviés par leurs amis car tout semble leur réussir. Mais dans l'intimité de ce couple rien ne va depuis trois ans. La naissance de leurs jumeaux a bouleversé leur quotidien, leurs désirs, et leurs aspirations qui ne sont plus les mêmes prennent des voies opposées. Maya a perdu son aura d'amante et se consacre à ses enfants, pleinement, charnellement. Fusionnelle, elle continue à les allaiter et à les garder toutes les nuits dans son lit. Quant à Nick, évincé de ses rôles de mari et de père, il souhaiterait s'échapper de cette cellule exclusive et tout remettre en question en divorçant.
Lorsqu'il en parle à son meilleur ami qui est aussi son avocat, il lui explique que s'il est prêt à se séparer de sa famille, il l'est beaucoup moins pour accorder à sa femme la moitié de sa fortune. La dureté du dilemme est à son point culminant quand tous deux trouvent la solution, la plus cynique qui soit. Si Nick se comporte en mari et père idéal durant quelques temps, soulagée de ses responsabilités, sa femme aurait peut-être l'envie de reprendre son métier d'avocate et ainsi, diminuer l'exorbitante pension qu'il devrait lui verser.

« – Qu'est-ce qu'il faudrait que je fasse ?
Gray tire une grande bouffée sur sa cigarette électronique et exhale, tel un dragon, un nuage de fumée. « Tu dois devenir un homme meilleur. »…
– Tu dois changer et devenir un meilleur mari, espèce de connard égoïste ! Tu devras bien la traiter pendant un certain temps (…) Tu lui dis que tu l'aimes. Redonne-lui confiance en elle, encourage-la à reprendre son travail d'avocate. Veille à ce qu'elle le fasse. Encourage-la aussi dans ses loisirs. Et pas seulement le sport. Emmène-la en vacances, distrais les enfants quand elle est occupée. Fais une pause avec tes sorties à vélo du samedi matin et passe du temps avec ta famille. Propose-lui de lui vernir ses ongles de pieds, ou un truc dans le genre. Assure-toi juste que lorsque tu finiras par lâcher ta bombe, elle ne pourra plus t'accuser d'être un mauvais mari. Non seulement cela affaiblira son cas d'un point de vue financier, mais en plus, inconsciemment, elle se sentira redevable. le jugement te sera favorable… »

Le processus s'enclenche et Nick met tout en oeuvre pour surprendre et re-séduire Maya. Il met un terme à ses petits rendez-vous avec la sculpturale Shelley et reprogramme ses activités et son travail en fonction de sa famille. Invitations au restaurant, sorties au parc et vacances à Belize sont planifiées.
Sur la défensive au début, Maya ne tarde pas à succomber à la nouvelle personnalité de son mari. Elle redéfinit ses priorités elle aussi et retrouve sa féminité qu'elle avait mise en marge. Mais peut-on reconstruire sur des faux-semblants et ira-t-elle jusqu'à reprendre une vie professionnelle comme l'espère Nick ?


Ce livre n'est pas une gentille romance comme pourraient le supposer le titre et la couverture, car il distille des émotions plus acides que douces. La malhonnêteté de Nick, sa goujaterie, son égocentrisme ne peuvent pas susciter la sympathie. Ni le tempérament de Maya qui est obsessionnel, névrosé et inquiétant. Ni une romance… ni un thriller, of course !… ce roman se lit bien et vite, mais sans grande passion également. Je n'ai pas pu éprouver de compassion pour l'agonie de ce couple qui oublie bien souvent que leurs enfants sont des êtres fragiles et vulnérables. Leur transformation à chacun, même « vertueuse » n'arrivera pas à me réconcilier avec eux.
Certaines lectrices pourront trouver l'histoire rafraîchissante et plaisante, mais pour ma part, j'ai un peu grincer des dents… Désolée !
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A la lecture du résumé, c'est un drame familial qui semble s'esquisser et c'est bel et bien ce que j'ai trouvé dans le roman. Je ne peux donc pas dire que j'ai été déçue puisque le résumé est fidèle et que je ne nourrissais pas d'attente particulière en ce qui concerne l'histoire. Cependant, je n'ai pas accroché du tout au roman.

J'ai trouvé l'intrigue fade et sans intérêt. L'histoire de ce couple en rupture ne m'a pas du tout intéressée, et même franchement ennuyée. Je crois que je n'ai pas aimé ce roman tout simplement parce que je n'ai pas adhéré aux personnages, trop éloignés de mon propre vécu. La manière dont ils conçoivent leur vie de famille, de couple etc. m'échappe complètement. Qui plus est, je les ai trouvé tantôt antipathiques, tantôt pitoyables. Quant à l'intrigue, rien de nouveau: un mari qui n'aime plus sa femme, une mère entièrement dévouée à ses enfants qui ne sait plus comment être "femme", des mensonges et des scènes censées être romantiques. Je dis bien "censées" car côté émotion, c'était plutôt morne plaine. Même le petit retournement de situation vers la fin, certes bienvenu, ne parvient pas à redresser la barre.

Je remercie Babelio et les éditions Albin Michel pour l'envoi de ce livre. Je n'ai certes pas apprécié sa lecture mais c'est parce que les thèmes du roman et la façon dont ils sont abordés ne m'ont pas séduite.
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Un mari idéal ou l'histoire d'un rendez-vous raté pour moi...

En dehors de la couverture un peu kitsch , l'idée de ce roman semblait drôle. Mais si on dit que souvent les apparences, il arrive parfois que la première image renvoyée est la bonne.

Malheureusement je n'ai pas du tout accroché à l'histoire de ce couple. L'auteur n'amène absolument rien de nouveau dans son roman - si ce n'est un nombre de lourdeurs incalculables ! Au final cette lecture m'a bien plus agacée qu'amusée.

L'écriture m'a gênée aussi. le problème du premier roman ? Leah Mclaren semble avoir privilégié la forme au fond. Une fois ça marche, deux fois passe encore mais tout le long d'un roman c'est trop peu.

J'en attendais peut-être trop ? Peut-être ne l'ai-je pas lu au bon moment pour l'apprécier ?
C'est possible, mais le fait est : ça n'a pas marché pour moi.


Je remercie Babelio et les éditions Albin Michel pour cet envoi.
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Pas plus que l'habit ne fait le moine, la couverture ne fait le roman !
Et c'est tant mieux car ici le couple de jeunes mariés qui semble tomber de la pièce montée, accompagné d'un bouquet de roses, m'aurait à coup sûr incitée à passer mon chemin.
Mais, pour mon plus grand plaisir Babelio, les Editions Albin Michel ont eu la bonne idée de m'offrir ce livre. Je les en remercie car j'ai passé un bon moment.

Leah McLaren nous propose de nous immiscer dans le quotidien d'un jeune couple quelque peu perturbé par l'arrivée de deux enfants.
Plus rien ne va dans leur vie, au fil du temps Maya regrette sa carrière d'avocate spécialisée dans le droit des familles, qu'elle a mise entre parenthèses pour se consacrer aux jumeaux, quant à Nick, il ne supporte plus cette épouse devenue davantage mère qu'amante, dont il s'éloigne chaque jour un peu plus.
Un divorce serait la fin des tracas pour Nick, mais, pas question d'y laisser des plumes.
Les conseils avisés d'un ami, ténor du barreau devraient l'y aider à condition qu'il soit prêt à devenir « Un mari idéal ».

Avec bonne humeur et beaucoup de véracité, l'auteur dissèque cette histoire d'amour et de désunion en portant sur le couple un regard d'abord détaché puis en s'immisçant avec pudeur dans l'intimité de ceux qui s'aiment puis se déchirent, s'enlacent puis s'empoignent.
J'ai aimé suivre les tribulations de ce couple en perdition, même si une vie comme la leur beaucoup en voudrait. Mais on n'est jamais content de son sort c'est bien connu.
Même si je suis loin du coup de coeur, je reconnais que ce roman a beaucoup de qualités, il est drôle, bien écrit, j'avais besoin de ce genre de détente après une lecture éprouvante.
Il est donc arrivé au bon moment.
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