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Citations sur Le nouvel homme (17)

Le christianisme est davantage qu’une éthique, et il est clair que le Nouveau Testament et les Pères de l’Église considèrent le Christ comme étant beaucoup plus qu’un « prophète » ou un grand maître à penser… Jésus ne se contente pas de nous enseigner la vie chrétienne, Il la crée dans nos âmes par l’action de Son Esprit.
Notre vie en Lui n’est pas une question de simple bonne volonté morale, de perfection morale.
C’est une réalité spirituelle entièrement nouvelle, une transformation intérieure.
(page 127)
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Jésus Lui-même, vivant en nous par Son Esprit, est notre Règle de vie. Son amour est notre loi, et elle est absolue. L’obéissance à cette loi nous rend conformes à Sa personne ; elle perfectionne donc en nous l’image divine. Elle nous rend semblables à Dieu, nous remplit de la vie et de la liberté qu’Il nous a appris à rechercher. Voilà ce qui détermine tous les actes du chrétien, le fondement de l’humanisme et du mysticisme chrétien ; le chrétien vit par amour, par conséquent il vit libre.
(page 141)
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Cette communion existentielle à laquelle s’éveillent nos âmes lorsque le Saint-Esprit les effleure nous fait réaliser ces deux aspects de Dieu - Sa transcendance qui L’élève infiniment au-dessus de nous, et Son immanence qui en fait le centre intime de notre être.
(page 128)
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La réorientation de toute vie humaine dans une direction qui n’est pas immédiatement perceptible à l’intelligence naturelle de l’homme est le travail caractéristique du Christ, second Adam.
C’est la réparation du mal causé à la race humaine par la chute.
Le second Adam vient, et trouve l’homme dans le désordre le plus profond, dans le chaos et la désintégration morale où l’ont plongé les péchés du premier Adam et de tous nos autres ancêtres.
(page 116)
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La contemplation est un avant-goût de la victoire définitive de la vie sur la mort dans nos âmes.
Sans la contemplation, nous croyons, certes, en la possibilité de cette victoire, et nous l’espérons.
Mais quand notre amour pour Dieu jaillit dans la flamme obscure et cependant lumineuse de la vision intérieure, nous pouvons, au moins pendant un instant, faire l’expérience de cette victoire.
Car dans ces moment-là « la vie », « la réalité » et « Dieu » cessent d’être des concepts auxquels nous pensons pour devenir des réalités auxquelles nous participons consciemment.
(page 17)
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« Devant Toi tremblent toutes les puissances spirituelles. Le soleil chante Ton Nom. La lune Te glorifie. Les étoiles Te rencontrent dans leurs voyages et la lumière T’obéit. Les abîmes sont béants devant Toi. Les sources Te sont soumises… Toute la création chanta lorsque Tu apparus parmi nous. Car Toi, notre Dieu, es venu sur terre et as vécu au milieu des hommes. Tu as sanctifié les eaux du Jourdain, envoyant d’en haut Ton Esprit Saint. » (prière des Églises de rite byzantin)
(page 157) Le nouvel homme
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Jésus déclare : « Comme le Père m’a aimé, moi aussi je vous aime. Demeurez dans mon amour. Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés… »
On peut parler de charité sans savoir vraiment ce que c’est ; le terme a été tellement déformé, galvaudé, vidé de son contenu originel.
L’amour chrétien a été sentimentalisé et dégradé, comme le Christ lui-même a été abaissé, même par ceux qui s’efforcent de L’aimer.
(page 148)
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Il est très fréquent, lorsqu’un homme entre en contact spirituel intime avec Dieu, qu’il se sente entièrement transformé intérieurement.
Notre esprit subit une conversion, une metanoïa, qui oriente différemment notre être après l’avoir élevé à un autre niveau, et qui semble changer toute notre nature.
(page 99)
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Le bien-pensant est comme le pauvre : nous l’avons toujours avec nous. C’est le croyant incroyant ; c’est-à-dire l’homme religieux qui vit, en pratique, sans dieu.
C’est celui qui fait semblant de croire, qui se conduit comme s’il avait la foi, qui paraît moral parce que ses principes sont rigoureux. Il s’attache à un certain nombre de conventions morales bien établies, tout en se gardant bien de se demander jamais si elles sont, ou non, réelles
(pages 25-26)
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La grâce c’est l’unité, unité en nous, unité avec Dieu. C’est la paix que donne l’amitié avec Dieu…
La grâce veut dire qu’il n’y a pas d’opposition entre l’homme et Dieu, et que l’homme est capable d’avoir réalisé une unité suffisante en lui-même pour vivre sans lutte avec Lui.
La grâce, c’est être l’ami de Dieu. Plus encore, c’est être Son fils. Elle nous rend « ses fils bien-aimés » en qui Il met toutes « ses complaisances ».
(pages 34-35)
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