Malgré une retrouvaille basée au final sur la haine,
Sugaru Miaki a décidé d'orienter le récit sur de la douceur et de la poésie. Kusunoki décide de photographier des distributeurs, des objets à l'écoute des habitants. Des choses simples et très représentatives d'une société à un moment donné. Même chose pour la réalisation de grues en origami qui ont une sorte de vertu méditative. L'anti-héros n'est jamais seul dorénavant. Miyagi est toujours à ces côtés. Ils apprennent à se connaître et passe du temps ensemble, comme un couple. Ils se rapprochent. On est touché par cette fragilité qu'ils partagent. le scénariste clôture son tome avec un autre homme qui a besoin d'argent. Malgré la précarité de sa situation, en aucun cas, il ne vendrait ni temps, ni vie et ni santé. Il sait pertinemment la valeur que cela possède. Tout le monde ne choisit pas l'argent à tout prix. Une note qui souligne qu'il existe des alternatives.
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