La démocratie a enterré les héros dans leurs simulacres cinématographiques. Les valeurs se sont entièrement inversées. Le faux règne en maître, jusque dans la littérature pourtant un des lieux de manifestation de la vérité.
(…) une époque où, plus que jamais, le catholicisme est l’objet d’une haine universelle pour ne pas entrer, dans le grand consensus en acceptant la contraception, l’avortement, la procréation artificielle, l’euthanasie, le mariage homosexuel, celui des prêtres (…) p77
« (…) j’avais appris à situer les animaux à leur juste place, et non, comme dans l’infantilisation contemporaine, à faire des animaux des personnes comme les autres, bientôt munies de droits. » p100