J'ai découvert
Salvatore Minni, il y a très peu de temps, je me suis avalée Claustration,
Anamnèse , et
Désobéissance, dans la foulée, je suis devenue une fan inconditionnelle. Un auteur machiavélique, qui signe des romans , à nous chambouler les neurones .Un auteur avec une imagination débordante et terrifiante, on se sait jamais , où il veut nous emmener, je reste toujours bouche bée à la fin de ma lecture.
Je vous présente
Désobéissance, que les Editions M +, ont eu la gentillesse de m'envoyer en service presse.
Suite à un cambriolage qui a mal tourné, la femme et la fille de Guillaume sont assassinées. Il est impossible d'accepter, admettre un tel drame. Comment peut -on se relever psychologiquement, prendre conscience la mort de son enfant, Mia était la prunelle de ses yeux, sa joie de vivre, un amour inconditionnel d'un père pour sa fille. Comment peut -on faire son deuil face à de tels événements. Nous assistons à la descente dans les méandres de la folie de Guillaume, aucun point de retour, il est impossible de reprendre une vie normale pour lui.
Je m'arrête là , pour ne pas spolier l'histoire. Dans ce roman , il faut absolument disloquer, la psychologie des personnages, savourer le mélange de la vie réelle et le monde de la folie formant un cocktail explosif. Il a l'art et la manière de tenir ses lecteurs en haleine jusqu'au twist final, totalement inattendu, une fin digne du roman.
Un livre d'une extrême noirceur, glaçant, effroyable , nous rendant totalement cinglé., il manipule et promène ses lecteurs . Un récit intense en rebondissements, un rythme extrême, une intrigue et un suspens effroyables.
Un récit qui fait froid dans le dos, chair de poule et frissons garantis. Une maitrise totale de sa thématique, entrainant une lecture percutante, visuelle, notre imagination pimente le récit.
Il m'a, une énième foi, conquise, scotchée, un véritable uppercut, une histoire qui nous prend aux tripes, nuits blanches assurées.
Un thriller démoniaque à lire absolument et sans modération.
Un véritable coup de coeur.