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Citations sur La saga d'Anne, tome 3 : Anne quitte son île (25)

Pardonner est une des choses que nous apprenons en vieillissant. Cela se fait beaucoup plus facilement à quarante ans qu'à vingt.
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"Anne a dix-huit ans ; moi, à son âge, j'étais déjà mariée. Les vieilles femmes comme nous, Marilla, ont trop tendance à croire que les enfants ne grandissent jamais, voilà. [...]"
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Les larmes peuvent durer toute la nuit mais la joie revient au matin
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Elle découvrit cependant que la vengeance ne blesse personne autant que celui qui tente de l’infliger.
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Et elle était plus riche dans ces rêves que dans la réalité ; car le visible passe, alors que l’invisible est éternel.
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C’était très déconcertant de lever les yeux au milieu d’un silence inopiné et d’apercevoir les yeux noisette de Gilbert fixés sur elle avec une expression grave et profonde sur laquelle il était difficile de se méprendre, et c’était encore plus déroutant de se retrouver en train de rougir, mal à l’aise et le visage brûlant sous son regard, tout comme si - et seulement si - heu… c’était vraiment embarrassant.
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Anne se réjouissait toujours du bonheur de ses amis; pourtant on se sent parfois un peu solitaire quand on est entouré de toutes parts par un bonheur qui ne nous appartient pas.
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Gilbert mit tout à coup sa main sur la gracieuse main blanche reposant sur la rampe du pont. Ses yeux noisette devinrent plus sombres et il entrouvrit ses lèvres encore enfantines pour parler du rêve et de l’espoir qui emplissaient son âme. Anne retira sa main et se détourna vivement. Le charme du crépuscule était rompu pour elle.

— Je dois retourner chez moi, s’écria-t-elle avec une insouciance quelque peu excessive.

Marilla avait la migraine cet après-midi et je suis sûre que les jumeaux ont encore inventé d’invraisemblables sottises. Je n’aurais vraiment pas dû m’absenter si longtemps.
Elle ne cessa de bavarder de choses et d’autres tout le long du chemin jusqu’à Green Gables. Le malheureux Gilbert eut à peine la chance de placer un mot. Anne se sentit plus que soulagée lorsqu’ils se séparèrent. Au fond de son cœur, depuis le bref moment de révélation dans le jardin du Pavillon de l’Écho, Gilbert revêtait pour elle une signification nouvelle et mystérieuse. Quelque chose d’étranger s’était introduit dans l’ancienne et parfaite camaraderie des jours d’école; quelque chose qui menaçait de tout gâcher.
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Les mots ne s'inventent pas. Ils éclosent.
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Elle se demandait à quoi ressemblerait tout un été à Avonlea sans Gilbert. D'une certaine façon, cette perspective ne lui plaisait guère.
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