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Critique de LivresdAvril
"L'homme à l'oreille coupée"
L'homme à l'oreille coupée, c'est un conteur qui chaque soir raconte comment il a perdu son oreille. Chaque soir son histoire est différente, mais il la raconte si bien que l'assistance y croit.
Le parallèle avec l'auteur qui entretient le mystère jusqu'au bout est amusant et l'humour de Jean-Claude Mourlevat toujours efficace !
"L'homme qui levait les pierres"
L'homme qui lève des pierres est un colosse taciturne. Pourtant, il accepte de prendre le jeune Peio en apprentissage. Apprentissage qui s'avère plutôt étrange puisqu'il est constitué de divers exercices dont aucun n'est de soulever quelque chose. Une nouvelle très poétique.
"L'homme qui ne possédait rien"
L'homme qui ne possède rien vit dans une oasis du désert. Un jour, un chameau lui propose de l'emmener à Topka. Dans la grande ville de Topka il fait des rencontres et des choix qui orientent sa vie d'une manière bien différente de son quotidien dans le désert. À quoi tient le bonheur ? C'est la question que pose Jean-Claude Mourlevat avec ce joli conte philosophique.
"Les trois caramels capitaux"
Un homme se présente devant Saint Pierre, sûr que son examen de conscience ne sera qu'une formalité. Mais voilà, à l'âge de sept ans et demi il a volé trois caramels mous à l'épicier. Sommé de se débarrasser de cette casserole pour pouvoir accéder au paradis il est contraint de recommencer sa vie.
Beaucoup d'humour et une morale pleine de bon sens dans cette nouvelle. Ma préférée de ce recueil !
L'homme à l'oreille coupée, c'est un conteur qui chaque soir raconte comment il a perdu son oreille. Chaque soir son histoire est différente, mais il la raconte si bien que l'assistance y croit.
Le parallèle avec l'auteur qui entretient le mystère jusqu'au bout est amusant et l'humour de Jean-Claude Mourlevat toujours efficace !
"L'homme qui levait les pierres"
L'homme qui lève des pierres est un colosse taciturne. Pourtant, il accepte de prendre le jeune Peio en apprentissage. Apprentissage qui s'avère plutôt étrange puisqu'il est constitué de divers exercices dont aucun n'est de soulever quelque chose. Une nouvelle très poétique.
"L'homme qui ne possédait rien"
L'homme qui ne possède rien vit dans une oasis du désert. Un jour, un chameau lui propose de l'emmener à Topka. Dans la grande ville de Topka il fait des rencontres et des choix qui orientent sa vie d'une manière bien différente de son quotidien dans le désert. À quoi tient le bonheur ? C'est la question que pose Jean-Claude Mourlevat avec ce joli conte philosophique.
"Les trois caramels capitaux"
Un homme se présente devant Saint Pierre, sûr que son examen de conscience ne sera qu'une formalité. Mais voilà, à l'âge de sept ans et demi il a volé trois caramels mous à l'épicier. Sommé de se débarrasser de cette casserole pour pouvoir accéder au paradis il est contraint de recommencer sa vie.
Beaucoup d'humour et une morale pleine de bon sens dans cette nouvelle. Ma préférée de ce recueil !
