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Critiques filtrées sur 4 étoiles  

Dans la région du Yorkshire où la nature est aussi splendide que peu hostile, deux enfants, Danny et Cathy vivent au milieu de la forêt, avec John, leur père, un homme , très grand, taciturne et manuel- il a construit de ses propres mains la maison dans lequel les trois vivent- qui autrefois servi d'homme de main à Mr Price., riche propriétaire terrien, particulièrement cupide et odieux. L'harmonie( relative) du début va vite donner lieu à une tragédie inéluctable.

Elmet, le premier roman de la jeune Fiona Mozley a été couronnée de nombreux Prix en Grande-Bretagne, et a notamment figurait en finale de la liste du Man Booker Price, ce qui est très rare pour un primo romancier.

Elmet est un roman à part, entre le conte gothique proche du fantasy, dans lequel la nature a toute sa place et le drame social à la Ken Loach qui voit les riches patrons dominer outragement les plus modestes sans le moindre scurpules, au dépit de toute humanité.

Un drame assez intemporel, pour accentuer le coté conte du film même si la critique de l'ultra libéralisme et certaines références aux geurres d'aujourd'hui ( Irak) pour le faire situer à la fin du 20e siècle

On pense au niveau de l'ambiance à des films anglais comme le Géant Egoiste de Clio Bernard ou alors pour l'histoire d'un père qui fait mener une vie dascète à sa progéniture au papa de Captain Fantastic en plus âpre

Un Yorkshire méconnu et mystérieux qui sert de décor à cette fabe romanesque et terrifiante ou la violence est prégnante, radicale et où l' injustice et la révolte sous jacente prend des accents shakespariens .

Une très des belles découvertes littéraires de ce début d'année, et même si la période n'est pas forcément la plus propice à ce genre de lecture sombre et assez anxiogène, la magnifique prose de sa romancière mérite largement d'être mise en avant !
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Cathy et Daniel, la fuite désespérée

Couronnée de nombreux Prix en Grande-Bretagne, Fiona Mozley est l'une des révélations de cette rentrée dont Joëlle Losfeld nous assure – à juste titre – qu'elle nous invite à une «fête de la lecture».

Cathy et Daniel vivent avec leur père John Smythe dans le Yorkshire. Ils se sont établis là, dans la région natale de leur mère, après avoir quitté la maison sur la côte à la suite du décès de leur grand-mère. «On était arrivés peu de temps avant mon quatorzième anniversaire. Cathy venait juste d'avoir quinze ans. C'était le début de l'été, ce qui laissait à papa tout le temps nécessaire pour construire la maison. Il savait qu'elle serait terminée bien avant l'hiver. Dès la mi-septembre, on put l'occuper.»
John, qui a une stature imposante, gagne sa vie en participant à des combats rémunérés ou bien vend sa force de travail, passe des heures dans les bois à chasser et à abattre du bois, mais ne s'épanche guère sur ses activités devant sa progéniture. Un jour pourtant, il raconte à Cathy et Daniel qu'il est allé récupérer une somme d'argent qu'un ami, victime d'un accident, n'était plus à même de réclamer par lui-même. Il a ainsi pu réparer une injustice. Valeur cardinale à ses yeux.
«À l'époque, il ne cherchait qu'une chose: nous endurcir contre l'inconnu. Contre les choses sombres du monde. Car plus on en savait, plus on serait armés. Et pourtant, le monde était totalement absent de nos vies…» 
Quand Cathy est importunée par les jeunes collégiens, s'il se range derrière sa fille qui a choisi de ne pas se laisser faire et de défendre son petit frère, il ne proteste toutefois pas quand la directrice de l'établissement la réprimande pour avoir fait subir de mauvais traitements aux garçons. Il décide simplement de confier à Vivien, une amie, le rôle de préceptrice plutôt que de continuer à envoyer ses enfants à l'école.
La confiance qu'il accorde à ses enfants le pousse à croire aussi Cathy lorsqu'elle raconte qu'elle a vu un homme près d'une jeune fille retrouvée morte, alors que la police avait conclu à un suicide. Une thèse qui ne sera du reste pas remise en cause avec la découverte d'un second cadavre. John prend alors l'initiative d'effectuer des rondes, mais sans résultat. S'il ne va pas voir la police, c'est qu'il est réticent à l'autorité. Et aux institutions de manière plus générale.
Il n'aspire qu'à la paix, en quasi autarcie.
Mais, par la confession du narrateur, le lecteur sait d'emblée que l'histoire a mal fini. Daniel se retrouve seul, sans argent, erre à la recherche de sa soeur. Que s'est-il passé? On ne le découvrira qu'à la fin du livre.
En revanche, on apprend assez vite qu'un certain Price, qui possède quasiment toutes les terres du Comté, entend faire valoir ses droits de propriété sur le lopin où John a construit sa maison. Et que John organise la riposte, chargeant Daniel et Cathy d'en savoir plus sur la façon dont Price mène ses affaires et comment avec Coxswain, son homme de main, il exploite les familles.
Le conte prend alors des allures de lutte des classes avec «un combat illégal pour régler légalement un différend.» Comme Joëlle Losfeld, on pense aux Raisins de la colère et à une tragédie contemporaine sur «l'enfance, la révolte, l'injustice, la tyrannie, la violence faite aux femmes, ais aussi le courage qu'il faut pour être libre et l'amour.»
Le tour de force de Fiona Mozley étant de nous livrer le tout presque sous forme poétique, avec un style léger qui va soudain basculer dans l'horreur, donnant plus de force encore au choc final. C'est superbe !


Lien : https://collectiondelivres.w..
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La mère est absente. Disparue. Cela n'inquiète personne, elle était bizarre. Daniel et Cathy ses deux enfants adolescents vivent avec leur père. le garçon d'une quinzaine d'année est le narrateur. Il est tout entier tourné vers l'intérieur, aime s'instruire auprès de celle qui leur fait école. Sa soeur aînée aime courir les bois. C'est une fille tournée vers l'extérieur. C'est elle qui prend les décisions. Son frère se complaît sous sa tutelle.

Avec leur père, ils forment une famille singulière mais solidaire, vivant dans une maison que le père a construite. le problème est que le terrain ne lui appartient pas. Avec sa taille de géant il gagnait sa vie en faisant usage de sa force. Il s'engageait dans des combats sur lesquels des paris étaient lancés. Dans l'Angleterre contemporaine c'est encore autorisé. Mr Price, le propriétaire du terrain, veut qu'il travaille pour lui. Il veut utiliser sa force pour intimider les mauvais payeurs de loyer, les employés revendicatifs. Lui, ne veut plus se battre. Sauf une fois, une dernière, quand Mr Price met en jeu la propriété du terrain sur lequel est bâtie sa maison.

Ce premier roman de Fiona Mosley se tient sur fond de lutte des classes, si on peut encore employer cette expression de nos jours, et dans un contexte de vie proche de la nature. C'est en tout état de cause un drame social qui place le démuni aux prises avec le possédant. Si le lecteur s'alanguit quelque peu dans une première partie, le rythme change brutalement quand un fils de Mr Price est trouvé mort dans les bois.

Roman à deux vitesses, roman à deux ambiances. le côté bon enfant d'une vie de famille certes originale mais sans histoire vire au cauchemar, sombre dans la violence. Roman étonnant qui a pu naître dans l'esprit d'une jeune anglaise passionnée par le moyen âge. le style est clair, modeste dans ses prétentions grammaticale et sémantique, ce qui a le mérite de qui rendre la lecture fluide. Un roman tout en ambigüité. Entre deux époques, moderne et ancienne, entre deux classes sociales, entre deux affinités sexuelles. Avec ces adolescents, il y a comme une inversion des genres. Ambigüité dans les sentiments aussi. L'attachement qui fait la cohésion de la famille est toutefois empreint d'une certaine froideur.

Un roman atypique qui laisse une curieuse impression dans l'esprit du lecteur que je suis. Surement un style nouveau, à la fois classique et innovant – encore une ambigüité - qui se confirmera si l'auteur persiste dans l'écriture. Ce à quoi le succès réservé à cet ouvrage ne saurait que l'encourager, même si elle avoue avoir été gênée de se voir réclamer son ouvrage dans la librairie qui l'emploie à mi-temps pour financer ses études. le succès peut griser, mais il peut aussi surprendre et déstabiliser. Et au final encourager, n'en doutons pas, au bénéfice du lecteur conquis.
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Recommandé par ma libraire, Elmet m'a emmenée mais pas totalement emportée.
Séduite par la plume à la fois râpeuse et poétique de l'auteur, par l'atmosphère de forêt en hiver, par la densité taiseuse des relations qui unissent ce père et ses deux enfants, je suis passée à côté de la dimension métaphorique du conte pour ne retenir que la parabole d'un monde de violence face auquel les valeurs humaines primordiales ne peuvent tenir, même à la force de poings herculéens.
Peut-être ai-je aussi une impression de déjà vu, dans divers romans américains contemporains. Ou bien ce n'était tout simplement pas le bon moment.
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« Il était une fois » un père, John Smythe et ses deux enfants Cathy (15 ans) et Danny (14 ans)… Oui, c'est de cette façon que pourrait commencer le conte de Fiona Mozley...
Installés tous les trois au fond des bois dans la région du Yorkshire, ils vivent loin de tous, en harmonie avec la nature, dans une paix qu'apparemment rien ne peut venir troubler.
Et ils sont heureux.
Le père, une espèce de géant au grand coeur, chasse, coupe du bois et se livre à différents travaux autour de la maison qu'ils ont construite eux-mêmes. John Smythe n'a peur de rien ni de personne et il est prêt à tout pour protéger ses enfants et sa liberté. Il leur accorde d'ailleurs une confiance absolue et préfère ne pas les envoyer à l'école afin de les couper d'un monde qui selon lui risquerait de leur nuire. Danny est un enfant doux : il aime s'occuper de la maison, faire la cuisine tandis que Cathy a un caractère plus affirmé. Tout irait parfaitement bien si le propriétaire du terrain qu'ils louent, un certain M. Price, un homme froid et sans coeur, ne les menaçait d'expulsion.
Dès lors, le roman change de ton et l'on sent monter une vraie menace. Elle est là, latente et éclatera de façon extrêmement spectaculaire à la fin de l'oeuvre.
Elmet est incontestablement un roman social, politique, engagé (le rapport dominé/dominant est omniprésent) empreint d'une poésie très sensuelle, bucolique. En effet, la nature et le lien que les personnages entretiennent avec elle sont magnifiquement évoqués, avec beaucoup de détails et de minutie. J'ai aimé l'évocation de cette vie ascétique, le quotidien de ces gens, leurs occupations, leurs menus gestes...
L'on pourrait évidemment reprocher à ce texte une dimension un peu manichéenne et des personnages archétypaux mais cela est lié, je pense, au genre même dans lequel il s'inscrit à savoir le conte...
Un premier roman très réussi. Fiona Mozley est assurément une auteure à suivre...
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Elmet est de ces romans qui vous impressionnent longtemps après leur lecture. le temps que l'ensemble infuse, que vous vous rendiez compte de toute la complexité qui sous-tend une histoire a priori très simple et tellement universelle. Car ils existent depuis toujours ceux qui, à l'image de John Smythe voulaient juste vivre tranquillement, respectueusement et en toute liberté. Or, la liberté coûte cher. Les contraintes inventées par l'homme et la société sont partout, contraintes de corps et d'esprit. La loi du plus fort, celle du plus riche bien sûr. Mais également celle, plus insidieuse des jaloux face à ceux qui osent vouloir autre chose, s'affranchir des diktats en tous genres.
C'est tout ça, Elmet. Un homme et ses deux enfants, une maison un peu à l'écart, bâtie de bric et de broc mais un foyer, un vrai. John est une force de la nature, une sorte de géant qui ne rechigne pas à la tâche ni à s'employer lors de combats organisés afin de subvenir aux besoins de sa famille. Mais qui ne veut appartenir à personne, ni à ses employeurs ni à l'homme qui impose sa loi dans le comté. On se doute que cela va lui apporter quelques ennuis. Mais Fiona Mozley ne s'arrête pas en surface. Dans la fratrie, Cathy est la dure, Danny est le sensible. Cathy est habitée par la colère, Danny aime s'occuper de la maison, cuisiner, apprendre. Ils pourraient vivre tous les trois en harmonie avec leur communauté, tout comme ils le sont déjà avec la nature, respectueux de la faune et de la flore dans lesquels ils s'insèrent. Ils pourraient...
C'est simple, on ne lâche pas ce conte moderne, autant pour ces pages empreintes de poésie que pour la menace sourde qui trouve son apogée dans une scène finale d'une terrifiante violence. Ici s'affrontent toutes les contradictions de la nature humaine, ce qu'elle a de plus beau, de plus laid et de plus destructeur. Ce n'est pas un hasard si l'auteure a choisi cette région du Yorkshire, celle des Hauts de Hurlevent ni la légende celte d'Elmet pour titre. Cela offre un souffle épique et une force supplémentaire à son récit épatant. Une superbe découverte !

Grâce à Babelio j'ai eu l'opportunité d'aller parler de ce roman dans l'émission Un livre un jour diffusée le 1er février 2020 : la vidéo est disponible dans mon billet de blog via le lien ci-après
Lien : http://www.motspourmots.fr/2..
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Ce roman se situe entre conte gothique, nature Writing et satire sociale. John Smythe, force de la nature, homme marginal qui vit d'expedients (homme de main, braconnage, combats) s'installe dans le yorkshire avec ses deux enfants adolescents Cathy et Daniel. Il va construire une cabane sur les terres de son ex femme. Il vit en marge du monde et de la société. Ses enfants sont descolarisés, il leur apprend la vie, la nature. C'est aussi un Robin des bois des temps modernes qui tente de rétablir la justice quand Mr Price le gros propriétaire terrien du coin abuse de ses droits et privileges.
Tout ceci est servi par la magnifique plume de l'auteure qui décrit la nature de manière délicate et sublimée. Hélas cette fable moderne va mal finir et se retourner contre le sauveur au grand coeur, et c'est dans un bain de sang que cela va s'achever.
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Lorsque le site Babelio m'a proposé de venir rencontrer Fiona Mozley lors d'une soirée organisée à Paris pour la parution de son roman "Elmet", j'ai accepté par curiosité. Je lis peu de littérature étrangère et c'était l'occasion de découvrir une auteure anglaise. Je ne savais pas qu'il s'agissait de son premier roman et encore moins qu'il avait été parmi les finalistes du "Man Booker Prize" en 2017. La curiosité n'est pas toujours un vilain défaut.

"Quand Hansel et Gretel rencontrent le parrain", j'avoue que j'aurais aimé trouver moi-même ce résumé de l'histoire émanant du Sunday Times. Il s'agit en effet de deux enfants, Daniel, le narrateur, et sa grande soeur Cathy, venus s'installer avec leur père dans le Yorshire. Ils vivent dans les bois, dans la petite cabane qu'ils ont construite, chassent et cueillent pour se nourrir. Ils ne fréquentent pas l'école et reçoivent pour toutes leçons ce que leur enseigne Vivien, une voisine. Leur vie est cependant heureuse, jusqu'à ce que Mr Price, un riche propriétaire, terrien menace de les expulser.

L'ouvrage dégage un parfum bucolique et lyrique. "On arriva en été, quand le paysage était en fleurs, les journées longues et chaudes, la lumière douce. Je me promenais torse nu, et ma sueur était propre. J'aimais l'étreinte de cet air épais." L'écriture est linéaire, simple, directe, déclarative. Les phrases sont extrêmement courtes sans être sèches. Elles bercent le texte qui ondule telles les herbes de la forêt que la famille parcourt à l'envi. Chaque personnage possède une personnalité riche et particulièrement attachante et Fiona Mozley s'y entend pour dresser d'eux des portraits d'une grande beauté "Charlie (c'est le plus jeune des deux fils de Mr Price) avait les cheveux noirs et des yeux encore plus noirs… et il avait beau être terriblement beau, il y avait des demi-cercles grisâtres autour de ses yeux qui donnaient l'impression de saigner. Il avait… une peau qui prenait la couleur du ciel. Ce jour-là était couvert, si bien que sa peau était terne et pâle."

La construction est intéressante qui petit à petit nous fait passer d'une histoire délicate, sensible, sylvestre, à un final d'une rare intensité et d'une extrême violence.

Un roman superbement écrit, des personnages singuliers, des petits, des réprimés, et une montée en puissance impressionnante jusqu'au basculement dans l'horreur. Un premier ouvrage captivant et très réussi.

Lien : https://memo-emoi.fr
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Jusqu'au VII e S, Elmet était un royaume celte indépendant qui servait de refuge à ceux qui défiaient l'autorité. Cest dans cette nature du Yorkshire, au fond des bois, qu'un père marginal vient s'installer avec ses deux enfants en mode autarcie et survie.. Il réclame un droit d'usage sur ces terres qui appartenaient autrefois à sa femme. Mais le propriétaire, infâme exploiteur des plus pauvres, n'apprécie ni cette intrusion, ni la révolte qu'il fomente contre ses pratiques moyen-âgeuses.

C'est donc sans surprise que ce roman qui s'annonce idyllique, avec ce retour à la nature et à l'autosuffisance d'une famille très soudée, va finalement sombrer dans la violence et le sang. D'autant plus que certaines parties en italique, de la main de Daniel le fils, amorce le drame qui s'est déroulé et l'urgence de la recherche de sa soeur.

Ce n'est donc pas le sens du suspense qui anime Fiona Mozley, mais plutôt le désir de récrire, comme l'indique le sous-titre, le conte de Hansel et Gretel qui rencontrent le Parrain, ou mieux encore l'histoire de deux enfants qui vivent en harmonie avec la nature et se confrontent à la voracité des grands propriétaires terriens.
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Lu dans le cadre du prix des libraires Folio Télérama 2021. John s'installe avec ses deux enfants Cathy et Daniel Dans le Yorkshire sur un terrain ayant appartenu à sa femme, mais appartenant maintenant à Mr Price, richissime propriétaire terrien aux pratiques peu orthodoxes. Il y construit une maison rustique en bois et éduque ses enfants en connexion permanente avec la nature environnante. Les ennuis ne tardent pas à survenir suite à la volonté du propriétaire d'expulser les « smythe » et l'histoire bascule rapidement dans un cauchemar violent rendu angoissant par une narration très bien maîtrisée qui retient efficacement l'attention du lecteur.
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