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Citations sur Cherub, tome 1 : 100 jours en enfer (64)

-Tu peux m'expliquer ce que tu fais? demanda Amy.
-Jamais de la vie. Tu te moquerais de moi.
Elle agita rapidement les doigts.
-Ne me force pas à te chatouiller à mort.
-OK, mais promets-moi de ne pas rire.
-C'est juré.
-C'est la qu'on s'est embrassés pour la première fois, Joanna et moi.
-Oh , c'est trop mignon.
Ewart mit deux doigts dans sa bouche et fit mine d'être sur le point de vomir.
-Vous aviez promis, protesta James, indigné.
-Moi? Je n'ai pas dit un mot.
-J'ai hâte de raconter à Kerry ta petite aventure avec Joanna, lança Amy.
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- J'ai une bonne et une mauvaise nouvelle. Par quoi je commence ?
Lauren haussa les épaules.
- Je m'en fous. Allez, vide ton sac.
- La mauvaise, c'est que ton père est à la maison. La bonne, c'est que maman m'a filé du fric pour acheter à dîner. Il devrait s'être barré avant notre retour.
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- La mère de James est si grosse qu'elle doit beurrer les bords de sa baignoire pour ne pas rester coincée.
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— Tu te souviens du bouquin de Shakespeare qu’on a laissé sur la plage ?
— Ouais.
— Je crois que c’était notre papier-toilette.
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Si la troisième guerre mondiale avait éclaté au cours des trois mois qui venaient de s’écouler, il n’en aurait rien su. Les choses ne semblaient pas s’être améliorées. Les gens continuaient à s’entre-tuer sans raison et les politiciens en costumes sinistres persistaient à ne pas répondre aux questions qu’on leur posait.
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Cette scène figurait à l’origine à la fin du chapitre 35 de 100 jours en enfer. Elle se déroule après la bagarre qui a opposé James à Stuart et Gareth. Elle explique la colère d’Ewart dans la scène suivante. Malheureusement, le roman étant trop long, ce
passage a dû être supprimé.
James, Gareth et Stuart patientaient à l’extérieur du bureau de la prof principale.
Le nez de Gareth portait des traces de contusions et de brûlures. Stuart, visiblement
mort d’inquiétude, contemplait fixement la pointe des baskets. Les bras croisés, James considérait les deux garçons avec un petit sourire amusé. C’était l’un des avantages de
travailler pour CHERUB : la possibilité de commettre des actes répréhensibles sans devoir en affronter les conséquences.
Joanna passa la tête à l’extrémité du couloir. S’étant assurée qu’il n’y avait pas de profs en vue, elle s’approcha de James et l’embrassa fougueusement sur la bouche.
— Tu es un vrai bad boy, gloussa-t-elle. Toute l’école ne parle que de toi.
James jeta un regard méprisant sur Gareth et Stuart.
— Ces connards méritaient une bonne branlée.
— Tu vas voir ce que tu vas prendre, répliqua Stuart.
— Toi, ferme-la, si tu ne veux pas que je t’achève.
Joanna tendit à James un Coca et un Bounty.
— Tiens, j’ai pensé que tu devais crever la dalle, dit-elle. À tout à l’heure, dans le bus.
James s’assit sur une chaise en plastique et retira l’emballage de sa barre chocolatée. Alors, il remarqua que des larmes roulaient sur les joues de Stuart.
— Wow, lança-t-il. On dirait que tu fais moins le malin.
Ulcéré, le garçon se rua sur lui. James lui tordit le poignet derrière le dos.
— Tu veux que je te casse le bras, pauvre nain ? rugit-il.
S’étant assuré de la soumission de son adversaire, il le libéra puis lui adressa un violent coup de pied aux fesses.
— Franchement, les mecs, vous ne tiendriez pas cinq secondes dans un collège de Londres.
Stuart s’effondra sur le sol en pleurnichant. S’il ne lui avait pas marché sur la tête deux jours plus tôt, James aurait presque eu pitié de lui. La prof principale ouvrit la porte à la volée.
— C’est pas un peu fini, ce vacarme ? Allez, entrez, vous trois.
Les trois garçons prirent sur les chaises alignées sur devant le bureau. James saisit un stylo à plume qui traînait à portée de sa main et se mit à le tripoter nerveusement.
Le directeur, le proviseur et le surveillant était présents. Stuart versait toutes les larmes de son cœur, provoquant les ricanements de James.
— Ross, lança la prof générale, les lèvres pincées. Peux-tu me dire ce que tu trouves si amusant ?
Dans son ancienne vie, James s’était fréquemment trouvé dans de telles situations.
Cette fois, il s’en fichait royalement.
— Vous vous faites quoi, comme salaire ? demanda-t-il.
— Je ne vois vraiment pas ce que ça a à voir avec cette réunion.
— Je me demandais simplement si vous aviez les moyens de vous payer une opération de chirurgie esthétique. Parce que, franchement, y a du boulot.
La femme semblait au bord de la crise de nerfs.
— Tu sais, Ross, dit-elle, j’enseigne depuis trente ans, et c’est le pire dossier que j’aie jamais vu.
Au cours de la préparation de l’opération, Amy avait confié à James que le faux dossier qui avait été transmis à Gwen Morgan lui faisait une réputation de gibier de potence.
— Exclus de quatre établissements, incendie volontaire sur la personne d’un prof de sciences naturelles, meurtre et actes de barbarie commis sur la mascotte du collège, une tortue, en l’occurrence. Ta place n’est pas ici, mais en prison.
— Finalement, vous seriez peut-être pas mal si vous perdiez vingt ou trente kilos.
À ce moment précis, le stylo plume que James était en train de manipuler se brisa en deux, et l’encre gicla sur le bureau.
— Oups, la boulette, lâcha-t-il.
La femme bondit de sa chaise et se mit à hurler :
— Hors de ma vue, immédiatement !
James quitta la pièce d’une démarche nonchalante, ravi d’en avoir fini pour toujours avec le collège Gwen Morgan.
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J'ai connu des centaines de garçons comme toi. ça commence toujours pareil. Au début, ce n'étaient que des gamins turbulents qui faisaient beaucoup de bêtises. Puis il leur a poussé des boutons et des poils au menton, et ils se sont mis à collectionner les embrouilles, mais rien de vraiment sérieux. Et puis un jour, ils ont commis un acte vraiment stupide. Un coup de couteau, un deal de shit, un vol à main armée, j'en passe et des meilleures. A seize ou dix-sept ans, ils se sont retrouvés en cabane pour sept longues années. Tu peux encore t'en sortir, mais si tu ne commences pas à réfléchir à tes actes, tu passeras la moitié de ta vie en prison.
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- Ferme les yeux, dis Kerry, les mains dans le dos
- Pourquoi ? Demanda James
- J'ai une surprise pour toi.
Il entendit ses autres amis chuchoter dans le couloir
- Pas question. Qu'est-ce que vous me voulez ?
- Si tu ne fermes pas les yeux, ce ne sera plus une surprise.
Tout ça sentait le coup fourré à plein nez, mais ils avaient l'air de s'amuser comme des fous, et James ne voulait pas casser l'ambiance
- OK, ils sont fermés.
James entendit des pas discrets sur la moquette, puis des litres d'eau froide inondèrent son torse.
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— On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs.
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- Hier, j'ai fais un footing de huit kilomètres, dit Samantha. Deux fois le tour de la mère de James.
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