Il suffit d'un instant. Un regard. Une rencontre. Pour bouleverser une existence. La bonne personne, le bon moment. Le caprice complice du hasard
Saleté de temps qui passe. Le seul maître de ceux qui n'ont pas de maître.
La plus belle des ruses du diable est de vous persuader qu'il n'existe pas.
Il suffit d'un instant. Un regard. Une rencontre. Pour bouleverser une existence. La bonne personne, le bon moment. Le caprice complice du hasard.
Il y a des moments rares dans l'existence où une porte s'ouvre et où la vie vous offre une rencontre que vous n'attendiez plus. Celle de l'être complémentaire qui vous accepté tel que vous êtes, qui vous prend dans votre globalité, qui devine et admet vos contradictions, vos peurs, votre ressentiment, votre colère, le torrent de boue sombre qui coule dans votre tête. Et qui l'apaise. Celui qui vous tends un miroir dans lequel vous n'avez plus peur de vous regarder.
Il y a des moments dans l'existence où une porte s'ouvre et où votre vie dérape dans la lumière. De rares instants où quelque chose se déverrouille en vous. Vous flottez en apesanteur, vous filez sur une autoroute sans radar. Les choix deviennent limpides, les réponses remplacent les questions, la peur cède la place à l'amour.
Il y a des moments rares dans l'existence où une porte s'ouvre et où la vie vous offre une rencontre que vous n'attendiez plus. Celle de l'être complémentaire qui vous accepte tel que vous êtes, qui vous prend dans votre globalité, qui devine et admet vos contradictions, vos peurs, votre ressentiment, votre colère, le torrent de boue sombre qui coule dans votre tête. Et qui l'apaise. Celui qui vous tend un miroir dans lequel vous n'avez plus peur de vous regarder.
“Il suffit d'un instant. Un regard. Une rencontre. Pour bouleverser une existence. La bonne personne, le bon moment. Le caprice complice du hasard.”
“Il est des épreuves que l'on ne surmonte jamais vraiment, mais auxquelles on survit, malgré tout.”
Il y a des moments rares dans l'existence où une porte s'ouvre et où la vie vous offre une rencontre que vous n'attendiez plus. Celle de l'être complémentaire qui vous accepte tel que vous êtes, qui vous prend dans votre globalité, qui devine et admet vos contradictions, vos peurs, votre ressentiment, votre colère, le torrent de boue sombre qui coule dans votre tête et qui l'apaise. Celui qui vous tend un miroir dans lequel vous n'avez plus peur de vous regarder. Il suffit d'un instant, un regard, une rencontre pour bouleverser une existence. La bonne personne. Le bon moment. Le caprice complice du hasard.
Pourtant, à force d’efforts, le mécanisme d’horlogerie de son cerveau donna subitement l’impression de se dégripper. Le cœur d’Alice s’emballa. Oui, les souvenirs étaient là ! À portée de neurones. Planqués dans les méandres brumeux de son subconscient. La vérité se laissait approcher.