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Critique de Tandarica


La satisfaction de cette acquisition commence dès l'ouverture du colis avec cette couverture sobre et monochrome de Verdier et la présence chaleureuse du bandeau avec cette photo noir et blanc de Sophie Bassouls de 2010 : Laure Adler et Maurice Nadeau, radieux regards de ces yeux que la lecture a inéluctablement abîmés et simultanément anoblis, dessillés, pour notre et leur plus grand bonheur. J'ai aussi apprécié l'intervention de Ling Xi, dans le chapitre VI, « Qu'est-ce qu'un auteur ? » ou les remarques sur l'activité éditoriale de Maurice Nadeau.
Ces entretiens avec Laure Adler sont suivis de quatre textes critiques sur Henri Calet, Baudelaire, Balzac et Malcom Lowry. Mon impression de lectrice est parfaitement résumée par le paragraphe qui clôt le texte "Balzac et la presse" (p. 129-149) publié initialement comme préface au troisième volume de « L'Oeuvre De Balzac », le Club français du livre, Paris, 1962 et que je reprend en encore et encore: « Il n'est toutefois de véritable élévation que conquise, de puissance et de gloire vraies qu'individuelles, forgées par la volonté et le travail. La presse qui promet l'une et l'autre ne saurait faire tomber dans son miroir à alouettes que les médiocres et les faibles. Balzac la condamne comme une fausse école d'ambition. ».
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