Pour les insulaires, la mer était la grande séparatrice : elle menait vers d’autres paysages, d’autres demeures, des hommes de types raciaux légèrement différents et aux drôles d’accents. Le jeune poète et son livre avaient surmonté tout cela : comme, dans une homélie du xixe siècle, vertu et application l’emportaient sur tous les obstacles.