Solitaire, dans le noir,
je mime devant le miroir le rire, et puis les pleurs.
Je me dis que c’est avec cette tête-là que je vis.
Que c’est moi.
Pas quelqu’un d’autre.
Tu m’avais bien dit que je devrais surtout penser à moi.
C’est pour ça que j’ai essayé.
Et que je m’observe comme ça,
parce que je suis ce que j’ai de plus précieux.