Excipit tiré de Zohar, (5,a) : « Je vous supplie de ne jamais laisser sortir de votre bouche une parole de la Torah que vous n'avez pas comprise ou que vous n'avez pas entendue distinctement prononcer par un très grand. Car une telle faute peut amener à tuer des multitudes pour rien... »
Il ne comprenait pas pourquoi les psychanalystes attribuaient une telle force de vérité à la parole... La parole, il l'avait éprouvé bien des fois, c'était avant tout pour mentir ! Mais pour quelle raison sa pensée s'aventure-t-elle sans cesse dans des scénarios terrifiants ? S'il ne peut accorder foi à la parole de ses patients, il ne lui reste qu'à changer de métier...