AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
3,48

sur 49 notes
5
2 avis
4
13 avis
3
11 avis
2
2 avis
1
0 avis

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Au début des années quatre-vingt-dix, Fabrice, diplômé des Beaux-Arts, peine à trouver un vrai emploi. Avec un ami, il réalise pour l'Eglise un Chemin de Croix. Côté vie privée, il tombe éperdument amoureux de Stéphane, qui fait son service militaire en étant cuisinier à la caserne. Malheureusement, même si Stéphane est aussi attiré par les hommes, cet amour n'est pas réciproque, et empoisonne toute l'existence de Fabrice, qui fréquente aussi un bar gay, le seul de sa ville de province (on reconnaît Angoulême sans qu'elle soit jamais nommée), et le jardin public où des rencontres furtives non exemptes de danger, se font à la tombée de la nuit. ● Ce récit graphique autobiographique baigne dans une évidente sincérité. Fabrice se raconte tel qu'il fut, dans un ouvrage plutôt confidentiel publié en 1996-1998 et réédité aujourd'hui (avril 2022) par les éditions Delcourt. ● Ses déboires professionnels et sentimentaux teintent l'oeuvre d'une réelle tristesse et il vaut mieux ne pas la lire en espérant se remonter le moral. ● L'amour à sens unique, l'obsession envers une personne qui prend vos sentiments avec désinvolture sans se rendre compte du mal qu'elle vous fait, imprègne toute l'histoire et toute la vie de l'auteur-narrateur, qui en devient presque fou. ● Les dessins sont magnifiques, les portraits sont particulièrement réussis (comme Stéphane est beau ! On sent l'intensité du regard qui s'est posé sur lui), mais d'une façon générale, et encore plus à la fin, le récit graphique est trop verbeux et surtout beaucoup trop philosophico-métaphysico-psychologique pour moi. ● Cela explique pourquoi mon plaisir de lecture fut modéré, même si l'ouvrage, objectivement – si toutefois une telle objectivité a du sens ici –, est superbe et très haute et très estimable l'ambition de l'auteur.
Commenter  J’apprécie          507
Avec cette réédition de ce journal intime, l'auteur nous raconte sa vie amoureuse, son homosexualité et la difficulté d'être un artiste et la précarité pour trouver du travail.
Une longue post-face de l'auteur revient sur la genèse de son oeuvre et les raisons d'une nouvelle publication.
Un ami lui conseille de raconter son histoire sous forme d'un roman mais graphique. Ces années 90, où il fallait se cacher afin de se retrouver et s'aimer. Également, ces noeuds d'amitié solide comme les années et le parcours d'un jeune homo à la sensibilité exacerbée, auteur de BD, qui galère à se faire une place.
Une lecture agréable où le graphisme est à l'écriture et ce que l'écriture est au graphisme. Ce graphisme en noir est blanc est bien adapté à ce récit et d'une grande pureté. Un roman où l'on ne s'ennuie pas. J'ai été touché par cet amour à sens unique.
Merci à Babelio pour cette masse critique privilégiée et aux Éditions Delcourt de m'avoir permis de découvrir ce livre.
Commenter  J’apprécie          280
Dans ce roman graphique sous forme de journal, Fabrice Neaud se raconte et se met à nu : jeune adulte homosexuel dans une ville moyenne (Angoulême, non nommée, mais facilement reconnaissable), artiste en galère professionnelle qui survit de petits boulots. L'auteur nous fait entrer dans son quotidien : une passion amoureuse non partagée dans la première partie et les difficultés à vivre de son coup de crayon en tant que jeune artiste dans la seconde.

J'ai trainé pour écrire cette critique car j'ai beaucoup de mal à traduire mes sentiments sur ce roman graphique. Il m'a été vraiment difficile d'entrer dans cette oeuvre et surtout je n'ai pas vraiment réussi à prendre du plaisir à ma lecture. On sent que l'auteur fait preuve d'une totale sincérité, il ne cherche jamais à se mettre à son avantage (ce serait presque l'inverse) ni à enjoliver son récit et pourtant je n'ai pas vraiment réussi à m'intéresser à son propos. J'ai même été franchement agacée au fur et à mesure qu'il s'enferme dans sa passion pour Stéphane, cet homme qu'il aime et vénère alors qu'il l'abandonne régulièrement, qu'il lui fait comprendre très vite que cet amour n'est pas réciproque et qu'il ne faut rien en attendre. Peut être est-ce juste la franchise de l'auteur qui met finalement mal à l'aise puisqu'on le voit s'enferrer dans cette passion au point d'oublier toute rationalité et d'être incapable de tourner la page. Il m'a aussi manqué le côté reflet d'une époque : le récit se passe dans les années 90 mais on a finalement très peu de références à cette période, quasiment aucun indice ou aucune contextualisation historique. Si ce n'est qu'Internet et les téléphones portables n'existaient pas encore, le récit paraît presque intemporel alors que je m'attendais à me replonger avec plaisir dans cette période passée.

Le dessin en noir et blanc est plutôt réussi, j'ai notamment beaucoup aimé les paysages ou scènes urbaines très détaillés et précis. Par contre là aussi j'ai eu plus de mal avec le procédé utilisé par l'auteur de flouter ou faire disparaître peu à peu les visages de ses personnages ou les parties du décor pour refléter les sentiments, le chagrin ou la perte. J'ai trouvé le procédé assez répétitif et également perturbant car il nuit à la fluidité de l'histoire et rend parfois difficile la compréhension. Même chose pour les partis pris de cadrage ou de zoom qui font passer d'une scène très détaillée en plan large à un élément de décor ou un élément corporel : j'ai parfois trouvé que ces cases étaient assez peu lisibles et rompaient la trame du récit.

Bref j'aurais aimé aimer cette bande dessinée et pourtant quelque chose m'a tenue à distance. Pas De coup de coeur particulier pour le dessin, du mal à m'intéresser à l'histoire voire un franc agacement parfois quand j'ai eu l'impression que l'auteur tournait en rond et délayait sans fin son récit. Un récit plutôt original et très sincère mais qui n'a pas fonctionné avec moi, peut être n'étais-je pas le bon public.

Je remercie néanmoins Babelio et les éditions Delcourt pour cette Masse Critique privilégiée qui m'a permis de découvrir cette oeuvre que je ne connaissais pas du tout.
Commenter  J’apprécie          230
Bon, je ne vais pas vous dire que j'ai adoré, cela serait un mensonge. Je pense que ce style ne me correspond tout simplement pas.
Il s'agit d'un récit graphique autobiographique sous forme d'un journal ou l'auteur y raconte, sans tabous, ses déboires professionnels et amoureux. Il nous y parle notamment de Stéphane, un jeune conscrit avec lequel il a eu une brève aventure et qui, pour son plus grand malheur, ne partage pas les mêmes sentiments...
C'est donc un récit très intime, certainement trop pour moi. Les dessins sont très réalistes, le trait est fin et précis mais cela n'a fait qu'ajouter à ce sentiment de malaise que j'avais à la lecture de ce journal, j'avais l'impression de me faire le témoin de quelque chose que je n'avais pas vraiment envie de voir d'autant plus que j'ai trouvé cela assez triste et même déprimant.
Cela dit je dois reconnaitre la ,"performance" car il est clair qu'il ne dois pas être évident d'ainsi se livrer au grand public.
Commenter  J’apprécie          110
Fabrice Néaud a mis en dessin un vieux projet, celui d'une première tranche autobiographique de sa jeunesse dans les années 90, que Delcourt publie en deux ouvrages, les tomes 1 et 2 étant réunis, tandis que le 3e tome sort à part mais à la même date.

Dans cette tranche de vie, l'auteur revient sur sa précarité professionnelle, celle d'un diplômé des beaux arts ne trouvant pas de travail fixe, vivant difficilement de petits boulots, s'essayant à des projets qui n'aboutissent pas toujours, comme cette immense saga de science-fiction lorsque c'était l'apogée du genre.

Dans sa vie intime, c'est aussi un jeune homosexuel un peu isolé. Il y a bien quelques amis, mais on sent dans son ouvrage une solitude pesante, et l'absence d'une famille au fil des pages laisse un vide criant. Alors il y a les rencontres cachées, car avant internet et les applications mobiles, il fallait bien rencontrer les garçons dans ces lieux publics à la faveur de la nuit, dans une ambiance alliant glauque et dangereux.

De ces quelques tristes escapades, il y aura la rencontre avec Stéphane, un jeune appelé du régiment voisin. Une histoire de trois fois rien qui prit une place immense dans la vie de l'auteur, un ébranlement qui le poussera parfois à des comportements à la limite de la raison.

J'ai été plutôt surpris par la tonalité de cette chronique, j'avais peut-être espéré un récit plus optimiste et joyeux et j'ai découvert une vie que j'ai ressentie comme triste et solitaire, finalement conforme à ce que j'imaginais être la vie de nombreux jeunes homos restés en province à cette époque là. le dessin de l'auteur s'articule d'ailleurs dans cette bichromie noir et blanc, ce qui renforce une ambiance un peu morose. Je ne pense pas lire le 3e tome, mais je remercie l'auteur et l'éditeur de m'avoir confié cet exemplaire à découvrir.

🔗 Service de presse numérique obtenu via NetGalley
Commenter  J’apprécie          80
☼ Mon avis ☼

Avant de commencer ma chronique, je voulais remercier les Éditions Delcourt ainsi que Babelio pour l'envoi du roman graphique Journal 1 & 2 de Fabrice Neaud.
" Journal 1 & 2 " possède une histoire qui a déjà été publiée en 1996 et 1998, c'est tout récemment que la maison d'édition Delcourt a voulu remettre en lumière cette oeuvre en la rééditant.
Malgré les 20 ans d'écart entre l'ancienne édition et la nouvelle, c'est pour moi la première fois que j'entends parler de l'auteur et de son histoire.
Fabrice Neaud nous raconte sans tabou son homosexualité, ses difficultés professionnelles ainsi que ses relations sentimentales.
Pour le coup, je suis très contente d'avoir pu découvrir une partie de sa vie malgré que je n'aie pas entièrement aimé ma lecture.
Tout d'abord ce qui est génial avec ce titre, c'est que Fabrice ose raconter certains moments difficiles de sa vie tout en restant le plus sincère possible.
Forcément, nous allons rentrer dans sa vie privée qu'il expose sans l'embellir.
On remarque très rapidement ses galères dans le domaine du travaille ou bien même dans ses relations personnelles.
Il y a très peu de moments où il est joyeux, on ressent à longueur de temps sa détresse, son envie de trouver la bonne personne ou de réussir sa vie grâce à son coup de crayon.
Personnellement, j'ai bien aimé les mots qu'utilise l'auteur pour nous décrire ses sentiments, sa dépression ainsi que l'amour qu'ils pouvaient ressentir à certains moments.
Parfois, il y a des planches très réussies avec de jolis décors ou des personnages bien détaillés au niveau du visage.
Cependant, toutes les planches ne sont pas comme ça, il y a des séquences où les visages sont moins beaux à regarder, flouté ou qui disparaît volontairement à cause des émotions du protagoniste.
C'est un livre qui montre l'état d'esprit du personnage qu'on suit et ce qu'il a envie de faire.
Il y aura des phrases crues, des moments osés, des scènes de sexe qui ne sont pas cachées et tout simplement des moments privés de sa vie.
Par contre, je n'ai pas accroché plus que ça pour le dessin ni pour les personnages du récit ou la manière dont l'histoire est racontée.
À la fin du livre, on peut découvrir une postface de l'auteur qui nous explique les raisons qui l'ont poussé à divulguer sa vie dans les années 90 ou il était difficile de vivre librement quand on a un penchant pour les hommes.
Journal 1 & 2 est un livre qu'il faut tout de même découvrir, qui a sa place et dont j'ai tout simplement aimé le franc parlé de l'auteur.

Lien : https://mangastra.blogspot.c..
Commenter  J’apprécie          50
Après plus d'un an de galère, Fabrice, diplôme des Beaux arts est embauché dans une église pour peindre un chemin de croix. Allégorie pour le moins en lien avec la débâclé de sa vie amoureuse tant elle est chaotique et instable. Parce que voila nous sommes en 1992 et Fabrice est homosexuel. Pas fa ile à cette époque d'assumer cette identité et les bars glauques et les parcs sont les seuls endroits où faire des rencontres. Il aura le sentiment de trouver l'amour avec Stéphane mais ce sentiment n'est pas partagé et il est pénible à Fabrice de renoncer à cette relation, de passer à autre chose…
C'est un récit extrêmement intime et presque impudique que nous livre Fabrice Neaud, le journal sombre et triste d'un jeune homme dans une ville de province. C'est sombre, c'est dur, à l'image du dessin noir et blanc, ne laissant aucune trace d'espoir dans ce récit assez tragique. C'est agressif aussi, révolté, c'est le cri de colère d'un écorché vif.
J'ai été particulièrement marquée par les portraits, parfois superbes et précis, comme c'est souvent le cas de Stéphane, parfois aux visages estompés, voire aux traits absents, comme pour souligner le peu d'importance accordé à certains protagonistes ou pour mettre en exergue les soubresauts de la mémoire.
Difficile de dire si j'ai aimé ou pas. J'avoue avoir eu du mal avec les interrogations philosophiques du héros mais ce roman ne m'a pas laissée insensible et je lirai avec intérêt les tommes 3 et 4.
Merci à la masse critique Babelio et aux éditions Delcourt pour la découverte. Il est toujours intéressant de découvrir un univers même et surtout lorsque celui ci nous est totalement étranger.
Commenter  J’apprécie          50
Ecrire cette critique a été difficile car je suis très mitigée sur cette bande dessinée.

D'un côté, j'ai été touchée par la mise à nu de l'auteur sur son homosexualité et sur son décalage au monde mais d'un autre on est tenu à distance comme si Fabrice Neaud ne souhaitait pas nous voir trop près. Ce sentiment est assez paradoxal car nous assistons à des pans de vies très intimes mais finalement on nous laisse là... et on s'empreigne assez peu des pensées de notre personnage.

J'ai eu du mal à finir ce roman graphique. Je reconnais la maîtrise du trait et la beauté de certaines planches mais j'avoue que je n'y ai pas été sensible. N'étant pas physionomiste et ne retenant pas les noms, il m'est arrivé plusieurs de mélanger les personnages.

Je suis restée, quand même, sur ma faim à la fin de ce roman, j'ai eu envie de connaître la suite c'est pourquoi j'ai trouvé la postface assez intéressante. Et, bien qu'imposante, j'ai beaucoup aimé ce dévoilement de la part de l'auteur où il revient 30 ans après sur cette oeuvre intime.

Je remercie grandement Babelio et Delcourt pour l'envoi de ce roman graphique pour une masse critique privilégiée.
Commenter  J’apprécie          40
Journal 1 & 2 de Fabrice Neaud, ou l'art de l'autobiographie en bande dessinée.
Un exercice bien difficile que te raconter sa propre vie, en la découpant morceau par morceau, de livrer au regard de tous des morceaux de son journal intime.
Et c'est pourtant ce que fait Fabrice Neaud dans ce journal.
On saute du harcèlement subi dans ses jeunes années au chagrin d'amour, de l'amour non réciproque aux difficultés du métier de dessinateur, des projets plus ou moins enthousiasmants aux relances de la Banque.
Si le dessin crayonné tout de noir et blanc est approprié à l'autobiographie et au ton pessimiste et pesant qui prédomine, je n'ai pas trop accroché aux confessions bien tristes de l'auteur.
Une bande dessinée un peu trop sombre et lente pour moi, des difficultés à foison et peu d'espoir le tout rendant ma lecture pesante en fin de compte. Et les dernières pages avec notamment des cases entières noircies de texte m'ont achevée.
Une lecture qui n'a pas fonctionnée avec moi, mais j'espère sincèrement que cet exercice aura au moins procuré à l'auteur ce qu'il recherche.
Un livre reçu dans le cadre d'une masse critique, je remercie Babelio & Delcourt pour l'envoi.
Commenter  J’apprécie          30
Je remercie Fabrice Neaud et les éditions Delcourt pour l'envoi du « Journal 1 & 2 » dans le cadre de l'opération masse critique spéciale de fin mars 2022.

L'auteur nous propose un ouvrage graphique autobiographique s'étalant sur une période d'un an et demi. Il est alors âgé d'une vingtaine d'années.

Fabrice vit dans la précarité, n'ayant pas même droit au RMI, puisqu'âgé de moins de 25 ans. Il ne réussi à subsister que par de petits contrats qui sont loin de le passionner.

Jeune homosexuel, avant l'heure de l'avènement d'internet, ses rencontres se font dans des parcs publics réputés pour ses rencontres hétéroclites ou au sein d'un bar dédié au public homosexuel.

Un jour, Fabrice fait la rencontre de Stéphane avec lequel il va passer la nuit, une unique nuit. Il va en tomber éperdument amoureux. Pourquoi lui ? Qu'a-t-il te plus que les autres ? Nous ne le saurons pas. Mais voilà, les sentiments ne sont pas partagés. Stéphane poursuit sa vie, ses rencontres, est assez clair avec Fabrice mais cela ne suffit pas à ce dernier. Fabrice va aller loin, très loin, à la limite du harcèlement, pour tenter le rapprochement impossible avec Stéphane.

C'est un roman graphique qui a pour qualité de raconter très honnêtement le parcours et les sentiments de son auteur sans détour et avec une grande franchise.

Mais voilà, ce fut pour moi une lecture pénible, le dessin est crayonné en noir et blanc, ce dernier très franc n'est malgré tout pas très beau. le ton est morose voir lugubre. Fabrice se perd dans sa passion d'un soir qui empli ensuite toute son existence, et, il m'a perdue avec lui….

Le second tome prend quelque peu de la distance avec Stéphane mais demeure extrêmement autocentré.

La postface, écrite vingt ans après, promet d'apporter un éclairage de l'auteur sur son oeuvre mais est d'une densité telle que j'ai eu des difficultés à parvenir au bout de ma lecture.

Je suis navrée de ne pas avoir accroché avec cette proposition, le sujet m'était cher, mais le propos n'a pas réussi à me toucher. Je ne dois pas être le bon public…
Commenter  J’apprécie          30




Lecteurs (100) Voir plus



Quiz Voir plus

Les personnages de Tintin

Je suis un physicien tête-en-l'air et un peu dur d'oreille. J'apparais pour la première fois dans "Le Trésor de Rackham le Rouge". Mon personnage est inspiré d'Auguste Piccard (un physicien suisse concepteur du bathyscaphe) à qui je ressemble physiquement, mais j'ai fait mieux que mon modèle : je suis à l'origine d'un ambitieux programme d'exploration lunaire.

Tintin
Milou
Le Capitaine Haddock
Le Professeur Tournesol
Dupond et Dupont
Le Général Alcazar
L'émir Ben Kalish Ezab
La Castafiore
Oliveira da Figueira
Séraphin Lampion
Le docteur Müller
Nestor
Rastapopoulos
Le colonel Sponsz
Tchang

15 questions
5240 lecteurs ont répondu
Thèmes : bd franco-belge , bande dessinée , bd jeunesse , bd belge , bande dessinée aventure , aventure jeunesse , tintinophile , ligne claire , personnages , Personnages fictifsCréer un quiz sur ce livre

{* *}