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Critiques filtrées sur 3 étoiles  
Toutouyoutou, Toutouyoutou, ça vous rappelle quelque chose? Mais oui, Véronique et Davina, la première émission de gymnastique : Gymtonic, à la télévision!
Depuis cette époque, dans les années 80, les programmes de gym ou à présent de fitness se sont multipliés notamment sur internet!
Alors c'est quoi le fitness? Si on traduit en français, il y a le fait d'être en forme physique (ou en formes physiques) et également en bonne santé!
Mise en forme, ce petit livre écrit par notre cousine québécoise Mikella Nicol est à la fois un essai sur les bienfaits, mais pas que, du fitness mais aussi un roman autobiographique de la petite Mikella qui en bave sacrément pour se mettre en forme et avoir les formes (qu'il faut avoir) et qu'elle se sent obligée d'avoir!
Il faut dire que son histoire commence par une rupture!
Elle va donc se lancer à corps perdu dans cette discipline dans l'univers tout blanc (marque de la pureté) de sa chambre. et va presque devenir une "junkie" de cette nouvelle addiction!
Il faut dire que cette discipline la pousse dans une quête du corps parfait! Mais qu'est-ce que le corps parfait?
C'est à ce niveau que la dimension essai devient intéressante: Il y est question des normes imposées par la société, le regard des autres, son propre regard, mais aussi par la discipline elle-même qui par l'intermédiaire de ses entraîneuses ou influenceuses, pourrait-on dire aujourd'hui. la discipline est redoutable et pousse les membres de cette secte vers un idéal pratiquement inatteignable!
J'ai bien aimé la réflexion féministe de Mikella qui analyse avec justesse ce côté malsain d'une industrie juteuse qui réduit les femmes à une soumission bien organisée aux injonctions de la société patriarcale.
J'ai moins aimé le côté introspectif de l'auteur qui nous entraîne au plus dur de sa souffrance dans une sorte de cycle de réflexion d'où il semble difficile de sortir.
Je n'ai pas non plus bien compris l'intérêt de mélanger ses récits de féminicides à son analyse sur le regard de la beauté féminine, je suis certainement passé à côté.
L'étude est intéressante mais c'est au niveau de la forme que je me suis senti un peu frustré.
Je remercie néanmoins Nathan (Masse Critique) pour cette proposition de lecture ainsi que l'éditeur d'avoir mis ce livre à ma disposition.
Allez: et un et deux et trois, je suis belle et je le dois...
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Une jeune femme en proie à la dépression après une rupture amoureuse douloureuse, trouve une porte de sortie dans le fitness. du moins le croyait-elle. Car les leitmotiv des influenceuses en matière de Pilates et autres sport n'est-il pas « celle qui contrôle son corps contrôle sa vie »?
Ce récit autobiographique est une réflexion intelligente quoiqu'expérimentale sur le sujet du contrôle du corps par l'esprit, dont on nous rebat les oreilles. Au fur et à mesure de sa transformation, l'autrice saisit toute la complexité de sa démarche qui semblait si simple et toutes les contradictions aussi. le questionnement est réel car un corps sculpté envoie un message mais est ce que c'est le message que l'esprit détruit pensait vouloir envoyer?
Ce récit intelligent lève des questions que j'avoue ne m'être jamais posées mais qui sont très intéressantes et d'actualité, puisqu'aujourd'hui toute notre vie semble guidée par des « créateurs de contenus » qui nous disent comment faire pour avoir une vie parfaite…
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Fitness.

Suite à une rupture amoureuse, Mikella Nicol se jette à corps perdu dans le fitness. Mais la recherche du corps parfait est-elle soluble avec le bonheur ?

Je crois que j'ai de plus en plus de mal avec les autofictions. Même si je ne remet pas en cause la souffrance de l'autrice, je trouve que les autofictions tournent en rond autour des mêmes sujets. L'auteur/autrice a un problème/conflit à régler et écrit à ce sujet pour se faire entendre. En soi, j'aime bien en lire de temps à autre, mais j'ai l'impression que désormais un tiers des livres publiés sont des autofictions. Cela n'a plus rien d'innovant et c'est répétitif.

Ici il s'agit de la fuite en avant de l'autrice dans le fitness après une rupture. Elle aborde la question du corps féminin dans l'espace public. Celui-ci doit toujours être jeune et correspondre aux dicktats de la société. S'en suit l'intéressant dilemme de Mikella Nicol, le fitness est-il avant tout pour être bien dans son corps ou pour paraître conforme aux yeux des autres ? Plus son corps devient parfait, plus elle s'enfonce dans la dépression.

Si le débat est intéressant, je suis moins convaincue par la forme qu'il prend. Je trouve qu'il va dans tout les sens abordant pêle-mêle diverses thématiques, certes liées, mais qui sèment la confusion chez le lecteur. Il en ressort le triste constat que les femmes n'ont pas le droit d'avoir un corps imparfait.

Bref, une autofiction parfois inégale mais qui pose des questions essentielles.

Je remercie Babelio et les édition le nouvel Attila pour l'envoi de ce livre.

MASSE CRITIQUE PRIVILEGIEE

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« Mise en forme » de l'autrice Mikella Nicol est un ouvrage qui me sort totalement de ma zone de confort et pourtant, j'étais particulièrement emballée à l'idée de découvrir ce titre.
Le fitness, même si je ne le pratique pas, cela me parle. le fait de vouloir modeler son corps, aussi.

« Deux choses restent à moi : la chambre et le corps. C'est dans l'une que je sculpte l'autre. »

Suite à une rupture amoureuse, Mikella Nicol se jette à corps perdu dans la pratique du sport, le fitness. À travers des vidéos YouTube, celle-ci entraîne et raffermit son corps sans jamais sortir de sa chambre, son cocon blanc, avec l'aide de ses instructrices du net. Hélas, cela n'empêchera pas notre jeune femme d'être au plus mal, et le verdict finira par tomber : dépression. Alors finalement, le fitness ne suffit pas à se sentir mieux?
C'est à travers un bout de sa propre histoire - mais pas seulement - que la narratrice apportera des réflexions intéressantes sur le fait d'être et de disparaître, l'insécurité, la beauté, le regard des autres, mais aussi les féminicides - entre autres choses.

Essai/récit autobiographique qui se veut féministe, tout en apportant des réponses mais également beaucoup de questions, « Mise en forme » m'a été à la fois un plaisir et un défi à lire.
Plaisir, car j'avais l'impression "d'écouter" une copine qui me partage ses réflexions, c'est simple et facile à lire, argumenté et enrichi de citations de connaisseurs du sujet.
Défi, car comme je le disais plus haut cela me sort totalement de mes habitudes (je suis plutôt une lectrice de l'imaginaire) mais surtout, car j'ai trouvé parfois, si ce n'est souvent, le récit brouillon... Comme si la narratrice avait beaucoup à nous dire, mais ne savait peut-être pas comment nous le partager ou bien, tout était un peu désorganisé. On passait du fitness, à sa vie perso, aux meurtres de femmes. J'avoue ne pas avoir trop compris le rapport de ces derniers avec le sport, mais après lecture du résumé sur Babelio où il est indiqué, je cite « D'une intuition fulgurante, son propos ausculte les industries de la mise en forme et du fait divers dans ce qu'elles ont de mortifère : l'empêchement des femmes d'apparaître et de circuler comme elles l'entendent dans l'espace public.»
Est-ce alors une façon de nous prouver que non, le fitness ne nous rends pas plus fortes, c'est illusoire, car nous vivons dans l'insécurité de la rue dès que nous sortons du confort de notre chambre ? Et donc, nous n'avons pas le total contrôle de notre mise en forme, finalement ? Que de questions ! Mais comme je le disais, Mikella Nicol nous apporte ici d'intéressantes réflexions, à mon sens, malgré ce côté ''fouillis''.
[À noter : c'est selon moi, aussi, un hommage à toutes ces femmes décédées. Pour ne pas les oublier.]

J'insiste sur le fait qu'il ne s'agit ici, comme d'habitude, d'un avis totalement personnel lié à mon ressenti de lecture. Je pense que je m'attendais davantage à un essai entièrement sur le fitness façon ''documentaire'' avec la vie de l'autrice comme introduction seulement, et non raconté ici et là tout du long. Même si je n'ai pas réussi à comprendre dans son entièreté où voulait en venir la narratrice (je suis passée à côté de certains chapitres), je reste malgré tout ravie d'avoir découvert ce bouquin, qui me donne sincèrement envie de lire d'autres titres de ce genre. Aussi, je tiens à souligner la qualité de l'ouvrage, avec des pages très légèrement épaisses mais pas que : j'adore particulièrement la couverture avec cette petite ''jaquette'' rose par dessus. C'est très jolie.

Pour finir, voici quelques passages et citations que j'ai appréciés (j'ai pour la première fois utilisé des post-its pour marquer mon livre, c'est génial, pourquoi n'ai-je pas tenté cela avant?!) :

« Parfois, je suis fatiguée de m'entretenir comme une plante, de couper ce qui dépasse pour que quelque chose de plus beau repousse. Parfois, je considère que l'entraînement n'aboutit à rien d'autre qu'à ma propre perte. » (page 62)

« Ma chambre a toujours protégé mes secrets. Elle a changé de ville, de rue, de configuration, mais elle est restée la même ; elle me suit pour me contenir. Dans ma chambre, en me façonnant méticuleusement - non sans brutalité -, je me prépare au regard des autres, qui est à l'origine de tout. Je crois même avoir laissé leur regard s'immiscer dans ma chambre. Est-ce encore vraiment la mienne ? » (page 84)

« le discours du fitness, qui promet santé et accomplissement personnel, présente cet entraînement comme une préparation aux difficultés de la vie. Or il ne prépare à rien, puisqu'il nous maintient dans un état d'insatisfaction à propos de notre apparence. » (page 106)
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C'est le témoignage d'une phase de la vie de l'autrice : la fin d'une relation et la reconstruction. Elle a trente ans.

Le livre commence par la fin d'une relation. L'autrice part de chez elle et son ex et va s'installer provisoirement chez son amant, qu'elle nomme par l'initiale "G.". Il n'est pas dit s'ils étaient déjà des amants ou si c'est à partir du jour de la séparation qu'ils commencent une relation. Quelque temps après elle emménage dans un lieu à elle.

La première préoccupation est de se refaire physiquement pour se présenter à nouveau dans le marché des femmes seules à la recherche d'une nouvelle relation. le fitness est la solution qui se présente. Assez rapidement elle se rend compte que ce n'est pas la meilleure solution et que c'est plutôt du business et que cela peut se ranger dans la même catégorie que le développement personnel ou la psychologie positive.

A côté de cela apparaissent d'autres sujets liés à la reconstruction, presque du genre retrouver le sens de la vie.

Le couple fait un voyage à New York, où elle raconte quelques déboires liés à sa condition de femme. Puis un voyage seule au Portugal. Quelque temps après ils emménagement ensemble. A la fin du livre, le couple se sépare et elle n'a pas réussi à se reconstruire et trouver un but.

Le problème de reconstruction après une séparation existe aussi chez l'homme, mais elle n'en parle pas. Il y en a, aussi bien des hommes comme des femmes, qui lors d'une séparation se donnent la peine de réfléchir sur les causes et comment faire pour que ça aille mieux dans la prochaine relation. D'autres ne font que se dire que c'est juste un accident et, hop, on passe au suivant.

Le livre oscille entre témoignage et essai sans être complètement ni l'un ni l'autre. En tant qu'essai, il me semble qu'elle ne prend pas assez de distance. Mais on doit reconnaître que l'autrice a fait des recherches, avec plusieurs références bibliographiques, dans celle qui se répète souvent est le livre "La beauté fatale" de Mona Cholet. Il est question aussi de féminisme et de la condition de la femme. Mais à force de vouloir traiter plusieurs aspects, ils restent tous assez superficiels.

En tant que témoignage, ça reste léger. Peut-être qu'elle donne trop de place à ses réflexions et quasiment pas à ce qu'elle a vraiment vécu, à l'exception du voyage à New York et a son voyage au Portugal. Rien est dit sur sa relation avec G. La séparation est juste mentionné en une phrase dans les conclusions du livre.

Bref, je suis resté sur ma faim.

Je remercie Babelio et l'éditeur "Le nouvel Attila" pour l'opportunité de connaître cet auteur.
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Après sa rupture amoureuse, l'auteure subit une grave dépression. Un puits sans fond qui l'aspire et dont elle ne trouve pas la sortie. Afin d'alléger son quotidien, elle décide de suivre des cours de fitness gratuit en ligne. Chaque jour, c'est donc des femmes "parfaites" qui l'accompagnent pour se reprendre en main. Mais cette pratique l'interroge. Chaque rupture, chaque "échec", chaque bouleversement de la vie d'une femme la conduit irrémédiablement vers une salle de sport. Presque un tabou car entre elles, les femmes n'en parlent presque jamais. Reprendre le contrôle de sa vie n'est pas aussi aisé qu'aller à la salle de sport et s'y conforter. La beauté reste superficielle dans un monde où les codes changent sans cesse. Une énergie désespérée pour tenter de reprendre pieds et se faire croire qu'on a repris du poil de la bête, qu'on est a nouveau aux commandes.

Je ne peux pas dire que ce livre m'est entièrement convaincue mais c'est un essai à mon sens. Une interrogation sur une pratique largement répandue et qui rentre dans les codes du féminisme. A l'évocation de certaines scènes, cela m'a fait sourire. La pièce épurée, blanche ou le cadre idyllique de la piscine. Ces femmes qui vendent du rêve mais reviennent sur leur propre ligne de conduite s'il le faut. Une vie rythmée par la mode, le patriarcat et les burn out. Cela nous laisse pensifs...
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Je trouve toujours difficile et délicat de donner mon avis sur un livre qu'on m'a offert gracieusement en échange d'une chronique et qui ne m'a pas emballée... Bon, c'est le cas de Mise en forme, dont la couverture et le titre m'avaient pourtant séduite lorsqu'il m'a été proposé dans le cadre d'une Masse critique privilégiée Babelio.
L'auteure, Mikella Nicol, s'est lancée dans ce projet autobiographique pour raconter comment elle s'est plongée à corps perdu dans le fitness suite à une rupture amoureuse. Elle explique comment le fait de sculpter son corps lui a permis de ne pas sombrer, d'avoir malgré la tristesse le sentiment de maîtriser sa vie et le plaisir procuré par la vision de ses muscles se dessinant au fil des séances exigeantes qu'elle s'est imposées. le style est agréable, cependant le récit ne m'a pas séduite, en raison de nombreuses digressions et réflexions sur l'image de la femme et de son corps dans la société, la violence dont elle est parfois l'objet. J'en suis venue à me demander si je n'étais pas plutôt en train de lire un essai féministe. Bref, ce texte est pour moi difficile à classer.
Je remercie Babelio et les éditions Le Nouvel Attila pour leur confiance.
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Le sujet est intéressant mais la manière de l'aborder moins. Je trouve que le sujet de la dépression est beaucoup plus développé dans ce livre que le rapport au corps. J'ai souvent été perdue entre les deux et le fitness est peu être pas abordé comme je l aurai voulu. J'ai bien compris la détresse de l'autrice mais j ai souvent été perdue entre les deux... fitness et dépression.
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Ce roman c'est le récit d'une tranche de vie de l'auteur, Mikella Nicol. Après une douloureuse rupture, elle se sent perdue, égarée. Son seul point d'accroche, le fitness, dans lequel elle va se lancer à outrance. Pourquoi ? Car c'est le seul moment où son cerveau se met en off, qu'elle ne pense plus à tous ces soucis, ces interrogations. Mais aussi, elle pense qu'en sculptant son corps, en le rendant plus attirant, elle se sentira mieux. Or, ce n'est pas du tout, ce qu'il va lui arriver.
Heureusement, à un moment, elle aura cette présence d'esprit critique, ce petit recul nécessaire, qui va lui fera rendre compte, que finalement, ce diktat de la forme du corps féminin, martelée par ces influenceuses en tout genre, n'est qu'un carcan, imposée par une société patriarcale.
Résolument féministe, ce récit pousse à la réflexion, dénonce certaines normes physiques imposées par la société, et critique les vidéos des coachs sportifs, qui prônent ce culte du corps, en faisant miroiter un mieux être. Car même si la plastique est parfaite, le bien être psychologique ne va pas toujours de pair.
Clairement, ce récit m'a sorti de ma zone de confort. C'est intéressant, sans filtre, puisque l'auteur se met à "nu" en exposant toutes ses pensées et son cheminement intérieur,
et positif, puisqu'il montre qu'il est possible de sortir de cette spirale infernale, dans laquelle l'auteure s'est engluée.
Néanmoins, j'ai eu du mal à y adhérer et il m'a manqué un petit quelque chose, pour me captiver d'avantage.
Merci néanmoins à Nathan pour cette masse critique privilégiée et aux Editions "Le nouvel Attila", pour cet envoi.
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Suite à une rupture amoureuse, la narratrice de mise en forme sombre dans la dépression. Son seul exutoire ? le sport, et notamment le fitness qu'elle pratique à outrance dans sa chambre, comme si elle avait besoin de châtier son corps, incapable de la rendre heureuse. En sculptant rigoureusement sa silhouette, elle essaie tant bien que mal de reprendre le contrôle de sa vie. Mais elle s'aperçoit rapidement que les influenceuses qui lui donnent des cours de sport en ligne font des promesses intenables. Toujours plus, pour avoir un corps parfait. Et surtout que les injonctions qui pèsent sur le corps des femmes sont innombrables.

En nous racontant son quotidien, Mikella nous fait part de sa souffrance et de ses problèmes. Elle nous livre en même temps des faits divers et des études alarmantes sur les femmes et les motivations qui les poussent à s'entrainer. Finalement, elle évoque surtout les normes imposées par la société au corps des femmes qui ne leur permettent pas d'avoir un corps imparfait.

Si j'ai trouvé certaines réflexions intéressantes, je reproche à ce livre de manquer de structure. A la croisée du récit autobiographique et de l'essai, je trouve que le récit tourne beaucoup en rond – comme Mikella qui est en dépression, sans doute – et que les études nous sont livrées pêle-mêle, sans réelle connexion entre elles.
Lien : https://alinebouquine.fr/mis..
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