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EAN : 9782924491836
Cheval d'août (01/06/2023)
3.39/5   52 notes
Résumé :
Après une rupture, la narratrice de Mise en forme voit ses repères lui échapper. Cloîtrée dans sa nouvelle chambre blanche, elle s’adonne à une pratique intensive du fitness, sculptant son corps pour reprendre le contrôle de sa vie. Mais les promesses des influenceuses ne l’aident pas à se sentir mieux. L’été suivant, en vacances à New York, elle accusera le choc de deux rencontres déterminantes : celles d’un inconnu hostile et d’un livre, The Red Parts de Maggie Ne... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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Après une rupture amoureuse, Mikella Nicol est au 36ème dessous. Dans un état dépressif, à la limite du burn-out, elle trouve par le biais de vidéos YouTube une façon de ne pas couler. Nombreuses sont les vidéos gratuites qui proposent des séances de fitness. Avoir un contrôle sur son corps l'aide à se réparer, du moins le pense-t-elle. Les vidéos tournent en boucle, les séances se multiplient, Mikella s'entraîne avec l'énergie du désespoir. Prise dans cet engrenage, elle transforme son corps pour mieux se reconstruire avec cette illusion que le mieux paraître est synonyme du mieux être.

Sauf que c'est un peu plus compliqué que ça. S'améliorer éternellement, physiquement parlant, et contrôler son corps ne riment pas forcément avec contrôler sa vie. Avoir un corps parfait (selon les critères de beauté et le regard des autres) ne rime pas forcément avec se sentir bien dans sa peau. Ça donne juste l'impression de maîtriser quelque chose mais ça ne dure pas. Mikella prend des muscles mais pas d'assurance.

Ainsi commence-t-elle à entrapercevoir le "vice" et nous partage-t-elle ses questionnements et ses doutes via ce récit quelque peu introspectif. Elle nous partage quelques anecdotes et souvenirs tout en évoquant "l'industrie du bien-être", deuxième nom du fitness, le paraître et l'obsession du paraître, la beauté et ses normes, le regard des autres, l'image de soi, la recherche du corps parfait par le biais d'une pratique sportive intensive.

Elle ne renie pas entièrement cette pratique puisque, encore aujourd'hui, Mikella continue ses entraînements. Mais elle a pris conscience de son addiction, du moins c'est ainsi que je le perçois. En tout cas, elle n'en a plus honte et ce livre féministe et dénonciateur le prouve.

Non pas que ce ne soit pas intéressant, mais il faut bien dire que ça tourne un peu en rond, puisqu'on en revient toujours au même point. La conclusion rejoint l'introduction : Mikella cherchait un sens à sa vie et elle le cherche toujours. Sa "mise en forme" a fini par soulever chez elle certaines interrogations, par semer des doutes, par lui ouvrir les yeux sur certains discours de ses instructrices youtubeuses. Elle a pris conscience de son besoin de pratiquer, de se raccrocher à quelque chose qu'elle peut enfin maîtriser.

Se sent-elle mieux pour autant ? L'écrire l'aide-t-elle ? Je n'en suis pas tellement sûre, c'est en tout cas l'impression que ça me donne. Prendre conscience que son corps changera quoiqu'elle fasse, qu'il vieillira, et surtout de l'accepter, est déjà un grand pas en soi, il me semble, et ses dernières lignes laissent à penser qu'elle y est parvenue.

De ce récit, je retiens un combat intérieur pas fini d'être mené à cause d'idéaux sociétaux et médiatiques qui vont à contre-courant de ce que l'on est en réalité, où ce que l'on voudrait être ne correspond pas toujours à ce que l'on cherche à être pour rentrer dans la "normalité", induisant de ce fait toutes les difficultés qu'on peut avoir à s'accepter, à se faire confiance, à s'assumer.

Comme je dis plus haut, ça tourne un peu en rond. Et paradoxalement, j'ai trouvé ce récit trop court, puisqu'il ne m'a pas fallu deux heures pour en venir à bout. Puis l'écriture inclusive, ce n'est pas trop mon truc, bien que l'autrice n'en abuse pas ici. Mais c'est très bien écrit et pensé, très intime également, et toujours d'un point de vue féministe. Les références sont nombreuses et étayées. La lecture se veut limpide et agréable.

Reçu et lu dans le cadre d'une Masse critique privilégiée, je remercie Nathan de Babelio et les éditions Le Nouvel Attila pour m'avoir permis de découvrir ce livre vers lequel je ne me serais sans doute pas dirigée de ma propre initiative.
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Toutouyoutou, Toutouyoutou, ça vous rappelle quelque chose? Mais oui, Véronique et Davina, la première émission de gymnastique : Gymtonic, à la télévision!
Depuis cette époque, dans les années 80, les programmes de gym ou à présent de fitness se sont multipliés notamment sur internet!
Alors c'est quoi le fitness? Si on traduit en français, il y a le fait d'être en forme physique (ou en formes physiques) et également en bonne santé!
Mise en forme, ce petit livre écrit par notre cousine québécoise Mikella Nicol est à la fois un essai sur les bienfaits, mais pas que, du fitness mais aussi un roman autobiographique de la petite Mikella qui en bave sacrément pour se mettre en forme et avoir les formes (qu'il faut avoir) et qu'elle se sent obligée d'avoir!
Il faut dire que son histoire commence par une rupture!
Elle va donc se lancer à corps perdu dans cette discipline dans l'univers tout blanc (marque de la pureté) de sa chambre. et va presque devenir une "junkie" de cette nouvelle addiction!
Il faut dire que cette discipline la pousse dans une quête du corps parfait! Mais qu'est-ce que le corps parfait?
C'est à ce niveau que la dimension essai devient intéressante: Il y est question des normes imposées par la société, le regard des autres, son propre regard, mais aussi par la discipline elle-même qui par l'intermédiaire de ses entraîneuses ou influenceuses, pourrait-on dire aujourd'hui. la discipline est redoutable et pousse les membres de cette secte vers un idéal pratiquement inatteignable!
J'ai bien aimé la réflexion féministe de Mikella qui analyse avec justesse ce côté malsain d'une industrie juteuse qui réduit les femmes à une soumission bien organisée aux injonctions de la société patriarcale.
J'ai moins aimé le côté introspectif de l'auteur qui nous entraîne au plus dur de sa souffrance dans une sorte de cycle de réflexion d'où il semble difficile de sortir.
Je n'ai pas non plus bien compris l'intérêt de mélanger ses récits de féminicides à son analyse sur le regard de la beauté féminine, je suis certainement passé à côté.
L'étude est intéressante mais c'est au niveau de la forme que je me suis senti un peu frustré.
Je remercie néanmoins Nathan (Masse Critique) pour cette proposition de lecture ainsi que l'éditeur d'avoir mis ce livre à ma disposition.
Allez: et un et deux et trois, je suis belle et je le dois...
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Suite à une rupture amoureuse, Mikella se met à perfectionner sa mise en forme qui est devenue son seul projet.

Qu'en est-il des diktats du corps ?
Corps faisant référence à la beauté par les médias à travers des personnes encore majoritairement jeunes, blanches et minces.

Le fitness, devenu une industrie de la beauté sur les réseaux sociaux.
L'autrice cite les vidéos des influenceuses, accessibles en nous faisant croire qu'elles sont comme nous, en étant parfaitement maquillées, coiffées, habillées, sans aucune graisse, bougent leurs popotins dans un décor de rêve voir même de luxe.

Pour ce qui est de la transformation, autre que le fitness, il y avait beaucoup de télé-réalité sur les transformations physiques. Aussi bien en relooking, en chirurgie esthétique ou autre pour ensuite être applaudi. En gros : Bravo à la personne que vous êtes devenue. Aurevoir à votre "vous" d'avant.
Cette façon de faire est humiliante et remplie de culpabilité.

Une "beauté", comme les femmes des vidéos citent, se gagne avec acharnement et persévérance.
La recherche du corps parfait est la quête principale de la majorité des personnes qui exercent cette discipline.
Une fois l'objectif atteint, on fait quoi après ?
On peut faire mieux que mieux !
Oui... ça peut devenir très vite un cercle vicieux.

Mikella Nicol pousse le lecteur à la réflexion. Pouvons-nous s'acharner autant pour se transformer ?
Être belle/beau pour qui ?

Elle ne remet pas en cause la pratique. Mais elle informe que trop en abuser peut être nocif.

Quand on pense bien faire pour soi-même, mais qu'en y regardant de plus près, on s'aperçoit que cela a une toute autre facette...
L'autrice met le doigt dessus et je trouve ça très intéressant de le partager avec nous.

Je remercie chaleureusement les Éditions Le Nouvel Attila ainsi que l'équipe Babelio pour cette masse critique privilégiée.
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« Mise en forme » de l'autrice Mikella Nicol est un ouvrage qui me sort totalement de ma zone de confort et pourtant, j'étais particulièrement emballée à l'idée de découvrir ce titre.
Le fitness, même si je ne le pratique pas, cela me parle. le fait de vouloir modeler son corps, aussi.

« Deux choses restent à moi : la chambre et le corps. C'est dans l'une que je sculpte l'autre. »

Suite à une rupture amoureuse, Mikella Nicol se jette à corps perdu dans la pratique du sport, le fitness. À travers des vidéos YouTube, celle-ci entraîne et raffermit son corps sans jamais sortir de sa chambre, son cocon blanc, avec l'aide de ses instructrices du net. Hélas, cela n'empêchera pas notre jeune femme d'être au plus mal, et le verdict finira par tomber : dépression. Alors finalement, le fitness ne suffit pas à se sentir mieux?
C'est à travers un bout de sa propre histoire - mais pas seulement - que la narratrice apportera des réflexions intéressantes sur le fait d'être et de disparaître, l'insécurité, la beauté, le regard des autres, mais aussi les féminicides - entre autres choses.

Essai/récit autobiographique qui se veut féministe, tout en apportant des réponses mais également beaucoup de questions, « Mise en forme » m'a été à la fois un plaisir et un défi à lire.
Plaisir, car j'avais l'impression "d'écouter" une copine qui me partage ses réflexions, c'est simple et facile à lire, argumenté et enrichi de citations de connaisseurs du sujet.
Défi, car comme je le disais plus haut cela me sort totalement de mes habitudes (je suis plutôt une lectrice de l'imaginaire) mais surtout, car j'ai trouvé parfois, si ce n'est souvent, le récit brouillon... Comme si la narratrice avait beaucoup à nous dire, mais ne savait peut-être pas comment nous le partager ou bien, tout était un peu désorganisé. On passait du fitness, à sa vie perso, aux meurtres de femmes. J'avoue ne pas avoir trop compris le rapport de ces derniers avec le sport, mais après lecture du résumé sur Babelio où il est indiqué, je cite « D'une intuition fulgurante, son propos ausculte les industries de la mise en forme et du fait divers dans ce qu'elles ont de mortifère : l'empêchement des femmes d'apparaître et de circuler comme elles l'entendent dans l'espace public.»
Est-ce alors une façon de nous prouver que non, le fitness ne nous rends pas plus fortes, c'est illusoire, car nous vivons dans l'insécurité de la rue dès que nous sortons du confort de notre chambre ? Et donc, nous n'avons pas le total contrôle de notre mise en forme, finalement ? Que de questions ! Mais comme je le disais, Mikella Nicol nous apporte ici d'intéressantes réflexions, à mon sens, malgré ce côté ''fouillis''.
[À noter : c'est selon moi, aussi, un hommage à toutes ces femmes décédées. Pour ne pas les oublier.]

J'insiste sur le fait qu'il ne s'agit ici, comme d'habitude, d'un avis totalement personnel lié à mon ressenti de lecture. Je pense que je m'attendais davantage à un essai entièrement sur le fitness façon ''documentaire'' avec la vie de l'autrice comme introduction seulement, et non raconté ici et là tout du long. Même si je n'ai pas réussi à comprendre dans son entièreté où voulait en venir la narratrice (je suis passée à côté de certains chapitres), je reste malgré tout ravie d'avoir découvert ce bouquin, qui me donne sincèrement envie de lire d'autres titres de ce genre. Aussi, je tiens à souligner la qualité de l'ouvrage, avec des pages très légèrement épaisses mais pas que : j'adore particulièrement la couverture avec cette petite ''jaquette'' rose par dessus. C'est très jolie.

Pour finir, voici quelques passages et citations que j'ai appréciés (j'ai pour la première fois utilisé des post-its pour marquer mon livre, c'est génial, pourquoi n'ai-je pas tenté cela avant?!) :

« Parfois, je suis fatiguée de m'entretenir comme une plante, de couper ce qui dépasse pour que quelque chose de plus beau repousse. Parfois, je considère que l'entraînement n'aboutit à rien d'autre qu'à ma propre perte. » (page 62)

« Ma chambre a toujours protégé mes secrets. Elle a changé de ville, de rue, de configuration, mais elle est restée la même ; elle me suit pour me contenir. Dans ma chambre, en me façonnant méticuleusement - non sans brutalité -, je me prépare au regard des autres, qui est à l'origine de tout. Je crois même avoir laissé leur regard s'immiscer dans ma chambre. Est-ce encore vraiment la mienne ? » (page 84)

« le discours du fitness, qui promet santé et accomplissement personnel, présente cet entraînement comme une préparation aux difficultés de la vie. Or il ne prépare à rien, puisqu'il nous maintient dans un état d'insatisfaction à propos de notre apparence. » (page 106)
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Merci à Babelio et aux éditions le nouvel Attila de m'avoir permis de découvrir ce livre très intéressant que je n'aurais sans doute jamais croisé sans cela.
L'autrice, jeune canadienne tourmentée et sportive, y développe une réflexion plutôt passionnante sur son rapport au corps, en particulier à partir de son expérience du fitness. Pourquoi tant d'énergie pour vouloir sculpter son corps ? Injonction sociale à la beauté ? Trauma de l'enfance mais renvoyant également à la première question ? Volonté de s'affirmer dans un espace social très masculin ?
le livre prend la forme assez composite d'un essai qui tient à la fois d'un récit intime, d'un récit de voyage par moments, d'un essai philosophique avec parfois quelques notes en bas de page.
J'ai été réellement touché par cette autrice canadienne féministe qui m'a fait m'interroger sur des choses auxquelles je n'avais guère pensé. Par ailleurs le livre est bien écrit, sensible, intelligent.
On peut au sortir de celui-ci se demander toutefois si cette charge brûlant contre la "société patriarcale" n'est pas un poil excessive, ou bien sans doute davantage, quelles sont les conséquences qui découlent du récit que l'on vient de lire ?
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Citations et extraits (41) Voir plus Ajouter une citation
(p. 45-46)

En 2018, la plateforme YouTube répertoriait quelque neuf millions de chaînes actives sous le thème "santé et fitness". Les influenceurs se sont emparés du marché, rebaptise "industrie du bien-être". Plus que jamais, "s'entraîner, ce n'est pas que rester en forme : la frontière entre le fitness et le mouvement du sélf-help (ou la croissance personnelle, ou auto-aide) est devenue floue". Car, par le biais de ces activités, il est aussi de notre responsabilité d'entretenir notre santé mentale. Les vidéos que je consomme sont ponctuées d'interventions valorisant l'empathie envers mon corps, mes capacités. Le simple fait de m'engager dans l'activité de fitness est un pas dans la bonne direction, un accomplissement en soi; "rien qu'en étant ici aujourd'hui, vous avez déjà réussi", dit Amy. Le fitness serait le remède désigné pour guérir, parmi un ensemble de choix menant au mieux-être. [...] Dans une chambre blanche, pourtant toujours impure, je m'entraîne comme si j'allais sortir le mal de moi.
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Deux choses restent à moi : la chambre et le corps. C'est dans l'une que je sculpte l'autre. Je le prépare dans ce lieu intime pour le livrer au monde une fois prêt. Une forme de structure m'encadre ici en tant que femme seule, qui ne peut plus se définir, qui erre. Je sais intuitivement que la mal-aimée, l'abandonnée, doit reprendre le contrôle de son apparence, puisque C'est sûrement dans son laisser-aller que s'est joué le désamour.
Cette faute que la société rejette sur les femnes en ca d'echec a même engendré un concept, le revenge boy. Apparemment, se venger par son corps veut dire l'amincir et le rattermir jusqu'à faire payer nos détracteurs par le désir ou la jalousie et, plus souvent, jusqu'à ce que notre ex regrette d'être parti ; c'est transformer « votre corps en couteau supersexy [qui] poignarde un ex ou la méchante de l'école secondaire ». En s'engageant à atteindre les standards de beauté, la femme délaissée redéploie son capital de séduction ; elle s'affine pour dévoiler son noyau, son cœur, pour que l'homme comprenne enfin ce qu'il a perdu.
Le concept s'est cristallisé dans la téléréalité Revenge Body With Khloé Kardashian, lancée en 2017. Khloé, qui a maigri et changé d'apparence de manière radicale à la suite de son divorce médiatisé en 2013, devient le symbole du corps vengeur.
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(p. 84)

Jeté en pâture aux autres, mon corps m'est inconnu. Je lui cherche une objectivité, mais il ne peut y en avoir, puisque la beauté réside dans le regard de celui qui regarde. Et j'oublie qu'il y a d'autres vérités du corps que la beauté ou la laideur , d'autres juges que ces étrangers.
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La beauté est un territoire où l'on flirte avec la disparition pour apparaître
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À I'instar de leur décor qui embellit avec les années, parfois même d'une vidéo à l'autre, les influenceuses se font toujours plus « belles». L'ensemble de leur mise en scène évolue, devient plus léchée et uniforme. Leurs chaines formant un système cohérent d'images, leur apparence ne peut échapper à la scénographie. Mes entraîneuses se ressemblent de plus en plus entre elles, comme les studios dans lesquels elles se meuvent. Et les discours d'acceptation de soi qu'elles profèrent tombent par conséquent en désuétude. Alors pourquoi je les écoute ?
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Video de Mikella Nicol (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Mikella Nicol
Steph Rivard reçoit Geneviève Pettersen, Mikella Nicol et Catherine Mavrikakis.
Les libraires en coulisses, une initiative de l?Association des libraires du Québec (ALQ) et de la coopérative des Librairies indépendantes du Québec (LIQ), ont présenté des rencontres passionnantes lors du Salon du livre de Montréal 2014 avec des écrivains, notamment Janette Bertrand, Michel Tremblay, Katherine Pancol, Gabriel Nadeau-Dubois et Emmanuel Carrère.
Réalisation et montage : Jessica Gélinas
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