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3,12

sur 90 notes

Critiques filtrées sur 4 étoiles  
C'est un constat doux-amer, une sorte d'état des lieux socio-culturel d'une génération née à la fin du vingtième siècle, et qui doit bâtir son futur sur des sables mouvants, tant l'incertitude est grande sur l'avenir qui nous attend tous.

C'est aussi une observation fine du fonctionnement d'un couple, qui au delà des illusions et des promesses imprudentes, se délite lentement sur fond d'inégalité des chances. Une fois la passion apaisée, il faut peu de choses pour que le quotidien se consomme sur des rancoeurs enfouies.

Raphaëlle a la chance de trouver immédiatement du travail après l'obtention de son diplôme. Antoine reste sur le pavé. Il n'en faut pas plus pour que les stigmates du fonctionnement du couple, que l'on voudrait reléguer au passé, surgissent malgré tout : le féminisme est un combat pas encore gagné et la plume de Lola Nicolle le revendique clairement.

L'écriture est résolument moderne, convaincante, lucide, douce et énergique à la fois et très agréable à parcourir.

Malgré un a priori plutôt négatif lié au thème, j'ai finalement beaucoup apprécié ce roman très contemporain mais pas désespéré.





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Après la fête, premier roman de Lola Nicolle nous plonge au coeur d'une génération en quête d'un sens assez illusoire au cours d'une jolie et triste chronique mélancolique d'une jeunesse, cette fameuse génération Y, dont les rêves s'effondrent une fois confrontée à la réalité.

Antoine et Raphaëlle, jeune couple qui s'est rencontré lors de leur étude de lettres (dans une terne faculté de banlieue parisienne qui n'est jamais nommée mais que ceux comme moi qui y sont allés reconnaîtront facilement ), voit l'édifice conjugal se disloquer lorsqu'ils sont soudain confrontés à la dure réalité du marché du travail .

Cet élégant roman d'apprentissage qui ausculte la fin d'une histoire d'amour décrit puissamment le basculement du statut d'étudiant, toujours un peu dans un cocon à la dureté du monde actif, ce basculement dans le réel si difficile d'autant plus quand les différences de classe sociale s'en mêlent.

Sans que cela soit démonstratif, le texte de Lola Nicolle montre comment une différence de classe sociale achèvera de rendre leur relation pérenne: la jeune fille d'origine plus aisée aura forcément plus de facilité pour s'en sortir que le garçon, qui vient des cités et n'a pas forcément les bonnes relations et le bon bacgkround.

Lola Nicolle, qui travaille désormais dans le milieu de l'édition (chez Delcourt), raconte des situations dans lesquelles tout un chacun pourrait se reconnaître, ses premières expériences professionnelles, ses soirées étudiantes, ses vacances en amoureux, mais le fait avec une plume sensible et parfois poétique, avec des jolis allers retours entre le passé et le présent.

"Après la fête", c'est un peu "la fête est finie" d'Oreslan, le même désenchantement, la même confrontation aussi douloureuse que nécessaire à la dure réalité de la vie .

Après le temps des fêtes , vient celui des défaites, c'est ce que ce très joli fragment de vie et cette douce amère peinture du passage à l'âge adulte est omniprésente nous raconte avec beaucoup de talent.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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A travers Raphaëlle, nous découvrons son histoire avec Antoine. Ils se sont connus à l'université, ils aiment les livres et la culture même s'ils savent que trouver du travail sera dur. Raphaëlle vient d'un milieu social à l'aise tandis qu'Antoine est d'un milieu plus défavorisée, et même s'ils s'aiment cela les perturbera.
C'est un livre sur notre société qui nous montre une nouvelle génération désabusée, perturbée et qui n'attend rien de la vie. Clinquant de vérité.
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Il y des romans (et il s'agit ici d'un premier roman) dont l'écriture vous transporte et ce fut le cas pour Après la fête de Lola Nicole.

Peut-être parce que je suis parisienne de naissance, peut-être parce que j'ai parcouru et retrouvé les rues, quartiers et ambiances de la capitale, peut-être parce que, même s'il est très marqué par la génération actuelle des trentenaires, ceux dont les études parfois longues ne débouchent pas forcément sur un emploi, par la course à l'indépendance mais sans les moyens pour y faire face, par le désir de réussite, par les clivages sociétaux je m'y suis reconnue, oui peut-être pour toutes ces raisons j'ai aimé ce roman.

Mais le premier argument c'est la découverte d'une écriture, fine, belle, douce et poétique avec laquelle Lola Nicolle nous raconte la fin d'une histoire mais aussi la fin des illusions. C'est un état des lieux ; après l'amour, les études, les fêtes, les espoirs vient le temps du regard en arrière, le temps du bilan. Raphaëlle, issue de la petite bourgeoisie parisienne, s'adresse à celui qu'elle vient de quitter, Antoine, pour la deuxième fois. Elle se plonge dans ses souvenirs, lui confie sa vision de leur histoire commune et nous invite à entrer dans la confidence.

Du temps de leur amour ils ne voyaient pas les barrières qui risquaient de les séparer, de les différencier : lui vient de l'autre côté du périphérique et n'a qu'un seul but : franchir tous les obstacles qui le mèneront à la reconnaissance de son travail et devenir Parisien, comme un graal à atteindre, lui qui ne peut compter que sur lui. Elle, elle est dans une suite logique de réussites, un parcours idéal sans obstacles et même s'ils surgissent elle a sa famille, sa roue de secours. Pour elle la vie est une fête pour lui la vie est un combat…

Une banale histoire d'amour qui finit mal comme beaucoup d'histoire d'amour allez-vous me dire ? Oui et non car il s'agit ici d'évoquer d'abord Paris, ville de tous les espoirs, Paris et ses codes, ses quartiers, la vie que l'on y mène quand on est jeune, que l'on croit en l'avenir, que tout vous est permis parce que vous n'avez pas encore été confronté à la réalité.

"Mais j'avais la pensée verte. le temps n'a de cesse de polir les idéaux, de les dissoudre placidement dans son cours, de couper discrètement l'herbe sous le pied de la jeunesse. Et la réalité de reprendre sa marche. (p110)"

C'est ce qui va arriver à Antoine, une fois le diplôme en poche, pour lui rien n'est simple alors que pour Raphaëlle toutes les portes s'ouvrent sans difficulté, parce que pour elle la vie coule comme un long fleuve tranquille jusqu'au jour où elle ne reconnaît plus l'Antoine qu'elle aime, parce que non seulement il sombre mais surtout il a face à lui l'image d'une réussite qu'il peine à atteindre.

C'est dans l'adversité que l'on se révèle et c'est ce que montre excellemment bien Lola Nicolle dans ce court roman, après l'euphorie vient le temps du quotidien, des frustrations voire des jalousies, où ce que l'on a tant aimé devient insupportable.

Tout en pudeur et retenue, l'auteure dissèque le couple, les gestes du quotidien, les mille et une petites choses qui font que l'on s'aime et qu'un jour on se quitte. Ni tout à fait un autre mais plus tout à fait le même. La distance s'installe : rien à se reprocher, c'est simplement les écueils du passage à l'âge des responsabilités qui vous transforment.

"Toujours, on se dit qu'ils auraient pu durer, ces instants-là, appartenir à la majorité. Qu'ils n'éclatent plus au hasard, qu'ils soient domestiqués, prêts à être convoqués lorsque je m'ombrais et que tu trébuchais. (p130)"

Une prose poétique qui surfe sur les textes d'une bande originale des groupes NTM, IAM mais aussi Juliette Gréco ou Baudelaire. Un petit bémol : l'utilisation de métaphores assez nombreuses, parfois inutiles et qui alourdissent un peu la narration.

J'ai flâné dans les rues de Paris, respirer ses odeurs, écouter ses bruits, retrouver tout ce qui fait son charme mais aussi sa rudesse car c'est une ville belle, cosmopolite mais qui peut également vous broyer.

Oui les lendemains de fête sont parfois difficiles, viennent parfois ensuite la gueule de bois, le désenchantement, le retour aux réalités. Que faisons-nous de nos rêves, de nos espoirs, de nos bonheurs quand la vie vous impose sa loi et que l'amour fait ses valises ?

Car si l'avenir lointain ne semblait rien vouloir promettre, le refuge du passé nous accueillait les bras ouverts, nous rappelant à lui comme pour nous consoler d'une angoisse qui pesait discrètement sur notre conscience. Et si tout s'effondrait ? (p46)

Merci à Lola Nicolle pour avoir avec autant de finesse et de délicatesse parlé d'un amour qui n'est plus, sans violence, sans haine, simplement une flamme qui s'éteint.

Auteure à suivre……

"Jamais tu n'arrêtais de lire. Tu achetais les livres par cinq, dix, de poche et d'occasion, chez les revendeurs qui bordaient le boulevard. Lorsque nous croisions une librairie, c'était plus fort que toi ; tu entrais, embrassais du regard l'ensemble des rayonnages. Tu aurais aimé avoir tout lu. Tu imaginais tout ce que tu avais à rattraper, les textes merveilleux manqués. Ceux dont tu ignorais l'auteur, le titre, l'existence. (p57)"
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"Après la fête" est un court roman qui suit Raphaëlle et son compagnon Antoine à travers leurs fin d'études, leurs rencontres, leurs amours, leurs ruptures, leurs doutes, leurs visions...

Lola Nicolle montre à travers ce couple le passage difficile, du statut d'étudiant (avec cours, thèses, petits boulots, sorties, amies.. ) au statut de jeunes actifs (premiers CV, recherches d'emploi, vie de couple, premières difficultés... ).

Un roman générationnel, un roman d'aujourd'hui qui prouve que le passage à la vie d'adulte peut se révéler parfois difficile, que les milieux sociaux rôde sur le quotidien et nous divisent. Mais, c'est aussi un roman d'amour, de quête et de reconquête que la vie met à l'épreuve.
Avec simplicité, l'auteure met des mots sur l'amour et les désirs de Raphaëlle et Antoine tel un musicien pousserait des notes sur une partition, avec sensibilité et délicatesse.

Un livre court certes, mais un livre qui se dévore sur fond de musique populaire, l'auteure est totalement bluffante avec sa plume poétique, raffinée et limpide.
Lola Nicolle déclare son amour à la musique, notamment au RAP, qui ne s'écoute pas seulement entre deux barres d'HLM et aux livres.

Comme le tire d'une chanson "après la fête" est un premier roman hautement réussi dévoilant le passage a une vie d'adulte rempli de tension que Lola Nicolle insuffle de sa plume poétique qui vient obscurcir la lumière de la jeunesse et de nos illusions.
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Il y a ceux qui font de leurs souvenirs des albums de photos qu'ils feuillèteront peut-être un jour en évoquant maladroitement des instants ou des rencontres qui auront pourtant déposé une trace indélébile dans leur mémoire et dans leur vie, et il y a ceux qui, mettant entre eux et leurs souvenirs un narrateur et un peu de hauteur, se lancent dans l'effarante entreprise d'en faire un roman. Il y a ceux qui, à cet exercice, suscitent un vaste questionnement sur l'intérêt d'avoir ainsi proposé une vue imprenable sur le contour de leur nombril, et puis, quelques fois, il y a celui ou celle qui, touché(e) par la grâce, va trouver les mots, va savoir les écrire et les agencer de telle sorte que sa vie deviendra un roman ou que son roman aura furieusement l'air d'être sa vie. Lola Nicolle est de ceux-là. C'est à peine si cette jeune éditrice se dissimule derrière Raphaëlle pour évoquer les années charnières où tant de choses se jouent, celles des études, premières libertés, premiers engagements, premiers appart's, premiers vrais couples, premières contraintes, premiers boulots, premiers vrais choix.
Que l'on ne s'y trompe pas : derrière sa silhouette adolescente et ses lunettes de première de la classe, Lola Nicolle planque discrètement, non pas une âme torturée, mais la conscience aigüe d'avoir laissé derrière elle des années fondatrices et déterminantes de sa jeune existence. Avec le détachement d'un vieux sage, elle en fait un récit aux lignes sobres et rigoureusement structurées mais dont se dégage une mélancolie pleine de poésie. Les sentiments qu'elle évoque, loin de noyer son propos, restent contenus avec beaucoup de pudeur et offrent au lecteur, luxe suprême et délectable, l'espace nécessaire pour y mêler les siens dans une communion de souvenirs.
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Depuis l'université, Raphaëlle et Antoine sont inséparables. Leurs études, les amitiés en commun, le monde à refaire, les projets et l'insouciance des années étudiantes les ont rapprochés. Vivre ensemble est un bonheur de chaque jour. Pourtant, une fois leurs diplômes en poche, lorsque Raphaëlle trouve un emploi, Antoine peine à trouver sa place. D'échecs et refus, son caractère change. Il devient irritable, perd confiance et cette instabilité vient perturber l'équilibre du couple. Leur relation se délite peu à peu.

Sous la plume de l'auteur qui écrit à la première personne, Raphaëlle évoque sa vie avec Antoine et s'adresse à lui tout au long du roman, en employant alors la deuxième personne. C'est tout d'abord déroutant, puis on entre peu à peu dans cette écriture. J'ai suivi avec bienveillance les aléas de leur vie, qui nous rappelle insidieusement celle de tous ces jeunes gens qui vivent ou ont vécu ces moments de doute et d'incertitude. Qui a dit que l'entrée dans le monde du travail et la vie adulte était une libération ? La vie étudiante est une période d'insouciance et de liberté unique, c'est aussi le siège de nombreux enjeux dont la réussite ou l'échec vont conditionner votre avenir.

Malgré quelques longueurs ou répétitions, Lola Nicolle a su me faire entrer dans la tête de Raphaëlle, et d'Antoine à ses côtés. Il y a dans son roman une forme de mélancolie et une sincérité dans les personnages qui les rend particulièrement attachants.
lire ma chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2019/08/23/apres-la-fete-lola-nicolle/
Lien : https://domiclire.wordpress...
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Assez bizarrement l'utilisation du passé simple m'a gêné en début de lecture mais il y a une telle profondeur du propos, du sentiment et puis cette habilité à écrire un glissement d'une état à un autre !
Raphaëlle rencontre Antoine à la fac. Ils sont jeunes, ils s'aiment, ils ont pleins de projets pour l'avenir et une bande d'amis avec qui partager tout ça !
Et puis l'insouciance glisse lentement car diplôme en poche il faut entrer dans le vrai, dans la vie d'adulte, celle du couple et du travail.
Raphaëlle s'en sort, elle bosse et sait qu'en cas de coup dur elle pourra compter sur ses parents. Pour Antoine c'est une autre histoire...
J'ai refermé ce livre avec le sentiment d'avoir fait une belle lecture, d'être entrée dans les pensées de Raphaëlle et ça m'a beaucoup plu.
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Désenchantement
L'histoire commence par une séparation- un amour qui fut et ne sera plus.
Raphaëlle est la narratrice, celle qui a vécu puis perdu cet amour. Alors elle s'adresse à Antoine comme pour éviter encore un peu de s'éloigner de lui.
Raphaëlle/Antoine: deux origines sociales éloignées que l'amour avait su avec élégance oublier et que Lola résume en ces mots superbes: "et les frontières de nos vies se dissipèrent" au moment où leurs corps se rencontrent et fusionnent.
Ils sont étudiants, leur vie est celle de l'insouciance, du plaisir, des amis, des soirées bien arrosées- danser beaucoup, chanter NTM- la vie comme une fête- carpe diem, quartier de la Goutte d'or.
Mais le temps passe et l'âge de la liberté doit laisser place à celui des responsabilités. L'insouciante jeunesse s'éclipse peu à peu au profit d'une vie d'adulte tant redoutée mais dans laquelle Raphaëlle et Antoine doivent inexorablement plonger. Quitter la légèreté, s'alourdir du poids d'un monde vertigineux- rechercher un emploi, subir le chômage, la réussite des autres, l'attente, la solitude, l'envie de revenir en arrière, de s'aimer allègrement: "je voulais t'aider, te ramener dans notre vie d'avant...".
Mais l'amour vacille "après la fête". La réalité sociale vient égratigner leurs fougueuses certitudes de jeunesse et bien-sûr leur amour. La nostalgie s'installe jusque dans l'écriture. La vie n'est plus une fête... la désillusion... et Lola Nicolle sait raconter avec mélancolie la banalité lancinante de la vie qui s'ouvre à cette jeunesse désenchantée, ce quotidien sans nuances, sans folie qu'Antoine subit, mutique.
Raphaëlle/Antoine... leurs corps s'éloignent au rythme d'un amour en pleine asphyxie. le chagrin se réfugie en elle, cherchant un nouveau souffle tardant à venir.
D'abord poétesse, Lola Nicolle signe ici son premier roman dans une écriture poétique tout simplement belle et solaire. D'un poncif littéraire, elle parvient à nous toucher par une écriture occupée par des analogies qui nous transportent et nous émeuvent- de celles qu'on rêve secrètement de savoir écrire!
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Le parcours d'une génération exploré avec poésie et lucidité qui m'a embarquée dans un Paris enchanté où beaucoup de jeunes étudiants s'installent loin du cocon familial.

Le récit est rythmé par l'histoire d'amour entre Antoine et Raphaëlle, première rencontre, approche, passion puis désillusions sur fond d'inégalité des chances, chemins qui se séparent inexorablement.

Lola Nicolle embarque vers une vie étudiante, faite de rencontres, d'amitiés, ponctuée de fêtes et d'insouciance, où pointe l'impatience (teintée d'angoisse) d'entrer enfin dans la vie active.

Viennent ensuite les galères pour le premier travail ; constat doux-amer de ceux qui trouvent de suite alors que la survie de certains ne dépend pas que de l'emploi. L'analyse est pertinente, entrée dans la vie active où, en dépit de diplômes identiques, le milieu social d'origine influe sur la carrière à venir (comme il ne ménage pas non plus l'histoire d'amour).

Puis arrivent les déceptions une fois le premier job décroché et la confrontation au monde du travail, les désillusions face aux amitiés qui se délitent.

A la fois sociologique et poétique, mélancolique sans être désabusé, j'ai beaucoup aimé ce texte qui m'a replongée avec douceur bien des années en arrière ; souvenirs des années facs, emprunts de nostalgie.

Une agréable balade de sensations, de couleurs, ponctuée de musique et de douceur.

Merci beaucoup à Masse Critique Babelio pour cette découverte.


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