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3,12

sur 90 notes
C'est un constat doux-amer, une sorte d'état des lieux socio-culturel d'une génération née à la fin du vingtième siècle, et qui doit bâtir son futur sur des sables mouvants, tant l'incertitude est grande sur l'avenir qui nous attend tous.

C'est aussi une observation fine du fonctionnement d'un couple, qui au delà des illusions et des promesses imprudentes, se délite lentement sur fond d'inégalité des chances. Une fois la passion apaisée, il faut peu de choses pour que le quotidien se consomme sur des rancoeurs enfouies.

Raphaëlle a la chance de trouver immédiatement du travail après l'obtention de son diplôme. Antoine reste sur le pavé. Il n'en faut pas plus pour que les stigmates du fonctionnement du couple, que l'on voudrait reléguer au passé, surgissent malgré tout : le féminisme est un combat pas encore gagné et la plume de Lola Nicolle le revendique clairement.

L'écriture est résolument moderne, convaincante, lucide, douce et énergique à la fois et très agréable à parcourir.

Malgré un a priori plutôt négatif lié au thème, j'ai finalement beaucoup apprécié ce roman très contemporain mais pas désespéré.





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Un couple voguant entre études et premier travail
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Lu dans le cadre des #68premièresfois
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Ce premier roman s'articule sur la difficulté d'un couple parisien de survivre dans les méandres de la vie quotidienne. Etudes, apprentissage d'une vie commune puis les débuts dans le monde du travail. Et ce d'autant plus complexe quand les milieux sociaux sont différents.
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L'auteure a cette justesse des mots, cette façon élégante de décrire la lente dégradation du jeune couple.
Oui après la fête, que se passe-t-il? On allume les lumières, on remballe les rêves et on entre de plein fouet dans la vie réelle.
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Des références musicales sèment le récit (du rap essentiellement) ainsi que de la poésie (que j'ai trouvé parfois décalée, comme hors du temps). Saupoudré de phrases romantiques, je n'ai pas bien compris la chronologie de cette histoire. Entre les va-et-vients et les coqs à l'âne, ma lecture s'est trouvée chaotique.
De plus, la génération Y n'étant pas la mienne, j'ai eu beaucoup de distance émotionnelle avec nos deux amants.
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Néanmoins, je pense que ce roman mélancolique pourrait s'adapter en film car tout de même, Paris ferait un bel écrin de cette insouciance propre à l'adulescence.
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Après la fête, premier roman de Lola Nicolle nous plonge au coeur d'une génération en quête d'un sens assez illusoire au cours d'une jolie et triste chronique mélancolique d'une jeunesse, cette fameuse génération Y, dont les rêves s'effondrent une fois confrontée à la réalité.

Antoine et Raphaëlle, jeune couple qui s'est rencontré lors de leur étude de lettres (dans une terne faculté de banlieue parisienne qui n'est jamais nommée mais que ceux comme moi qui y sont allés reconnaîtront facilement ), voit l'édifice conjugal se disloquer lorsqu'ils sont soudain confrontés à la dure réalité du marché du travail .

Cet élégant roman d'apprentissage qui ausculte la fin d'une histoire d'amour décrit puissamment le basculement du statut d'étudiant, toujours un peu dans un cocon à la dureté du monde actif, ce basculement dans le réel si difficile d'autant plus quand les différences de classe sociale s'en mêlent.

Sans que cela soit démonstratif, le texte de Lola Nicolle montre comment une différence de classe sociale achèvera de rendre leur relation pérenne: la jeune fille d'origine plus aisée aura forcément plus de facilité pour s'en sortir que le garçon, qui vient des cités et n'a pas forcément les bonnes relations et le bon bacgkround.

Lola Nicolle, qui travaille désormais dans le milieu de l'édition (chez Delcourt), raconte des situations dans lesquelles tout un chacun pourrait se reconnaître, ses premières expériences professionnelles, ses soirées étudiantes, ses vacances en amoureux, mais le fait avec une plume sensible et parfois poétique, avec des jolis allers retours entre le passé et le présent.

"Après la fête", c'est un peu "la fête est finie" d'Oreslan, le même désenchantement, la même confrontation aussi douloureuse que nécessaire à la dure réalité de la vie .

Après le temps des fêtes , vient celui des défaites, c'est ce que ce très joli fragment de vie et cette douce amère peinture du passage à l'âge adulte est omniprésente nous raconte avec beaucoup de talent.
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Raphaëlle et Antoine, génération Y
Pour ses débuts en littérature, Lola Nicolle nous propose un portrait sensible et fouillé de la génération Y. En imaginant la relation entre Raphaëlle et Antoine, elle fait le constat de la difficulté à s'inventer un avenir.

Après deux recueils de poésie, Nous oiseaux de passage (Blancs Volants éditions, 2017) et Les Passagers du RER, (Les Arènes, 2019) ainsi qu'un album de lectures musicales, Les Liseuses (Sony Music), la boulimique Lola Nicolle – qui est en charge de la littérature française aux Éditions Delcourt – nous offre à 27 ans son premier roman dans lequel on sent le vécu.
C'est d'abord l'histoire d'une rencontre sur les bancs de la fac. Non, c'est d'abord la fin d'une histoire d'amour, comme le titre le suggère: «Pour toujours je te quittai. Tu as refermé la porte de l'appartement le 14 novembre très tôt dans la nuit. Et longtemps, j'ai entendu tes pas résonner dans les escaliers.»
En courts chapitres, la narratrice revient après cet épisode de rupture sur leur rencontre, sur la construction de leur belle histoire qui, on l'aura compris, finira mal, comme c'est le cas en général.
Ce qui rend le livre intéressant, ce sont les différentes strates qui le constituent et qui se complètent harmonieusement pour nous donner une image de cette génération Y si difficile à appréhender. La première strate est géographique, nous donnant à voir les lieux dans lesquels se meuvent Raphaëlle et Antoine. le quartier de Château-Rouge dans le XVIIIe arrondissement de Paris, où vivent les amoureux, devient par exemple un élément essentiel de leur histoire et dont il deviendra très difficile de s'émanciper une fois la rupture consommée: «Si je ne jurais que par lui, alors peut-être que t'y installer te rapprocherait de moi. Ou plus encore, que le quartier me remplacerait. À moins que, craignant l'inconnu, tu choisisses de rester dans cet univers confortable que nous avions dompté, te le réapproprier. Mais plus vraisemblablement, tu aimais simplement y habiter. Tu cherchas longtemps un lieu idéal, préférant le canapé d'un ami à un endroit que tu n'aimerais pas, qui ne serait pas ici. Et tu finis par trouver.» Mais la géographie est aussi celle des escapades qui marquent leurs attaches familiales et leurs rêves, de Marseille à Enghien-les-Bains, et de la maison de campagne en Touraine à la ferme du Lubéron.
La seconde strate est celle de l'orientation, des aspirations professionnelles qui vont très vite se heurter à une dure réalité, à la précarité. «Nous étions en quête d'un absolu. Dans la recherche d'un sens que l'entreprise ne semblait guère pouvoir nous offrir. Nous l'avions remarqué: cette poursuite s'annonçait tout à fait illusoire. Alors, nous avions commencé à nous faire une raison. Et se faisant, on s'était demandé qui avait bien pu nous mettre cette idée en tête – que le travail avait un lien quelconque avec le bonheur. Qu'il s'obtiendrait contre une rémunération?»
Dans ce roman de formation, sur le passage dans l'âge adulte, la troisième strate, celle de la psychologie, de l'intime, est sans doute la plus passionnante. Ce qu'Annie Ernaux appelle joliment la «sociologie poétique» nous offre quelques surprises. On y découvre notamment que la lutte des classes ou, pour le moins, la comparaison entre les classes et leur héritage reste un marqueur puissant, tout comme la recherche de valeurs, de rites de passage forts. le mariage pouvant être ce «quelque chose qui serait assez solide pour nous définir». Aspiration vaine, là aussi, entre désillusion et espoir: «Et moi, je t'avais possédé jusqu'à t'acheter. Et toi, piégé, tu n'avais souhaité alors qu'une Chose, m'acheter en retour. Et alors que j'étais là, sur les épaules du dragon endormi de la ville, il m'apparut que la solution était là, juste sous nos yeux.
Il nous fallait réinventer la fête.»

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**,*

Après la fête est l'histoire d'une rencontre, d'un amour, d'une rupture. Ce sont les pas de danse d'un couple qui valse au fil du temps, des souvenirs, de la vie. le quotidien qui tue à petit feu les rêves de jeunesse.

Malgré une belle écriture, poétique, douce et musicale, le roman de Lola Nicolle ne m'a pas convaincu.

On y déambule dans Paris, ses rues, ses cafés et ses salles d'université. Mais ce paysage ne m'a pas murmuré à l'oreille tout ce que l'auteur a voulu cacher sous les pas de ces personnages.
Personnages qui eux non plus n'ont pas su m'émouvoir...

C'est pour moi, un simple rendez-vous manqué, je le sais, ce roman a trouvé son public. C'est tout de même une belle rencontre avec un auteur à suivre...

Une fois encore, un grand merci aux 68 premières fois pour m'avoir emmené là où seule, je ne serais jamais allée...
Lien : https://lire-et-vous.fr/2019..
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Un profond ennui m'a lourdement accablé à le lecture de cette histoire insipide où l'auteur abuse de la répétition des mêmes temps grammaticaux (simple opinion)
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« J'essayais de t'impressionner, mais tu ne m'écoutais pas, je le voyais bien. J'ai parlé vite pour combler ma gêne, coupé les mots en deux. Tu m'as embrassée. L'histoire débute sur une phrase jamais terminée. » (p. 11) Raphaëlle, la narratrice, raconte son bel amour avec Antoine, leurs années étudiantes et le début de la vie active. Mais ce roman, un peu comme l'annonce le titre, est surtout la chronique d'une séparation annoncée. Elle s'écrit au son d'une bande-son qui mêle musique populaire française et rap énergique. C'est un fond sonore un peu vain, que tout le monde entend sans vraiment l'écouter, comme dans les fêtes qui toujours finissent. « En arrivant sur la rive, tu m'avais murmuré : cette femme qui serait ma vie, je croyais que c'était toi. /, Mais j'étais seulement la femme de la mienne. Et nous en étions restés là, chacun pour soi. » (p. 137)

Avec ce premier roman, Lola Nicolle fait montre d'un talent à suivre, même si je déplore une tendance un peu artificielle à filer trop longtemps les métaphores. Mais je salue les très belles images qu'elle invente pour parler de l'amour, du plaisir et du désir. Avec simplicité et élégance, l'autrice dépeint les ravages silencieux du temps sur les espoirs et les ambitions.
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A travers Raphaëlle, nous découvrons son histoire avec Antoine. Ils se sont connus à l'université, ils aiment les livres et la culture même s'ils savent que trouver du travail sera dur. Raphaëlle vient d'un milieu social à l'aise tandis qu'Antoine est d'un milieu plus défavorisée, et même s'ils s'aiment cela les perturbera.
C'est un livre sur notre société qui nous montre une nouvelle génération désabusée, perturbée et qui n'attend rien de la vie. Clinquant de vérité.
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Il y des romans (et il s'agit ici d'un premier roman) dont l'écriture vous transporte et ce fut le cas pour Après la fête de Lola Nicole.

Peut-être parce que je suis parisienne de naissance, peut-être parce que j'ai parcouru et retrouvé les rues, quartiers et ambiances de la capitale, peut-être parce que, même s'il est très marqué par la génération actuelle des trentenaires, ceux dont les études parfois longues ne débouchent pas forcément sur un emploi, par la course à l'indépendance mais sans les moyens pour y faire face, par le désir de réussite, par les clivages sociétaux je m'y suis reconnue, oui peut-être pour toutes ces raisons j'ai aimé ce roman.

Mais le premier argument c'est la découverte d'une écriture, fine, belle, douce et poétique avec laquelle Lola Nicolle nous raconte la fin d'une histoire mais aussi la fin des illusions. C'est un état des lieux ; après l'amour, les études, les fêtes, les espoirs vient le temps du regard en arrière, le temps du bilan. Raphaëlle, issue de la petite bourgeoisie parisienne, s'adresse à celui qu'elle vient de quitter, Antoine, pour la deuxième fois. Elle se plonge dans ses souvenirs, lui confie sa vision de leur histoire commune et nous invite à entrer dans la confidence.

Du temps de leur amour ils ne voyaient pas les barrières qui risquaient de les séparer, de les différencier : lui vient de l'autre côté du périphérique et n'a qu'un seul but : franchir tous les obstacles qui le mèneront à la reconnaissance de son travail et devenir Parisien, comme un graal à atteindre, lui qui ne peut compter que sur lui. Elle, elle est dans une suite logique de réussites, un parcours idéal sans obstacles et même s'ils surgissent elle a sa famille, sa roue de secours. Pour elle la vie est une fête pour lui la vie est un combat…

Une banale histoire d'amour qui finit mal comme beaucoup d'histoire d'amour allez-vous me dire ? Oui et non car il s'agit ici d'évoquer d'abord Paris, ville de tous les espoirs, Paris et ses codes, ses quartiers, la vie que l'on y mène quand on est jeune, que l'on croit en l'avenir, que tout vous est permis parce que vous n'avez pas encore été confronté à la réalité.

"Mais j'avais la pensée verte. le temps n'a de cesse de polir les idéaux, de les dissoudre placidement dans son cours, de couper discrètement l'herbe sous le pied de la jeunesse. Et la réalité de reprendre sa marche. (p110)"

C'est ce qui va arriver à Antoine, une fois le diplôme en poche, pour lui rien n'est simple alors que pour Raphaëlle toutes les portes s'ouvrent sans difficulté, parce que pour elle la vie coule comme un long fleuve tranquille jusqu'au jour où elle ne reconnaît plus l'Antoine qu'elle aime, parce que non seulement il sombre mais surtout il a face à lui l'image d'une réussite qu'il peine à atteindre.

C'est dans l'adversité que l'on se révèle et c'est ce que montre excellemment bien Lola Nicolle dans ce court roman, après l'euphorie vient le temps du quotidien, des frustrations voire des jalousies, où ce que l'on a tant aimé devient insupportable.

Tout en pudeur et retenue, l'auteure dissèque le couple, les gestes du quotidien, les mille et une petites choses qui font que l'on s'aime et qu'un jour on se quitte. Ni tout à fait un autre mais plus tout à fait le même. La distance s'installe : rien à se reprocher, c'est simplement les écueils du passage à l'âge des responsabilités qui vous transforment.

"Toujours, on se dit qu'ils auraient pu durer, ces instants-là, appartenir à la majorité. Qu'ils n'éclatent plus au hasard, qu'ils soient domestiqués, prêts à être convoqués lorsque je m'ombrais et que tu trébuchais. (p130)"

Une prose poétique qui surfe sur les textes d'une bande originale des groupes NTM, IAM mais aussi Juliette Gréco ou Baudelaire. Un petit bémol : l'utilisation de métaphores assez nombreuses, parfois inutiles et qui alourdissent un peu la narration.

J'ai flâné dans les rues de Paris, respirer ses odeurs, écouter ses bruits, retrouver tout ce qui fait son charme mais aussi sa rudesse car c'est une ville belle, cosmopolite mais qui peut également vous broyer.

Oui les lendemains de fête sont parfois difficiles, viennent parfois ensuite la gueule de bois, le désenchantement, le retour aux réalités. Que faisons-nous de nos rêves, de nos espoirs, de nos bonheurs quand la vie vous impose sa loi et que l'amour fait ses valises ?

Car si l'avenir lointain ne semblait rien vouloir promettre, le refuge du passé nous accueillait les bras ouverts, nous rappelant à lui comme pour nous consoler d'une angoisse qui pesait discrètement sur notre conscience. Et si tout s'effondrait ? (p46)

Merci à Lola Nicolle pour avoir avec autant de finesse et de délicatesse parlé d'un amour qui n'est plus, sans violence, sans haine, simplement une flamme qui s'éteint.

Auteure à suivre……

"Jamais tu n'arrêtais de lire. Tu achetais les livres par cinq, dix, de poche et d'occasion, chez les revendeurs qui bordaient le boulevard. Lorsque nous croisions une librairie, c'était plus fort que toi ; tu entrais, embrassais du regard l'ensemble des rayonnages. Tu aurais aimé avoir tout lu. Tu imaginais tout ce que tu avais à rattraper, les textes merveilleux manqués. Ceux dont tu ignorais l'auteur, le titre, l'existence. (p57)"
Lien : https://mumudanslebocage.wor..
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Mon amie F., expatriée à Seattle, m'a offert le roman de Lola Nicolle lors de son dernier passage en Belgique cet été. Un petit clin d'oeil peut-être, à nos vies qui ont pris des chemins différents et qui se croisent de temps en temps.

« Après la fête », c'est un roman composé de tout un tas de petits fragments d'un amour qui prend fin : celui de Raphaëlle et Antoine. Raphaëlle raconte leur rencontre à l'université, leur vie à deux, leur cercle d'amis. Elle vient d'un milieu bourgeois, lui vient de la banlieue et d'un milieu modeste mais ils s'aiment. Jusqu'à leur entrée dans la vie active vienne accentuer encore un peu plus leurs différences…

Dans un style très poétique, Lola Nicolle évoque le passage vers l'âge adulte, ce moment de flottement où l'étudiant quitte la dernière part d'insouciance qui lui reste pour se lancer dans la vie active, avec tout ce que cela peut ou doit impliquer : responsabilités à prendre, amis qui s'éloignent, chemins qui se séparent, nostalgie… Je suis moi aussi passée par ce moment où l'on se dit « La fête est finie… et après, il se passe quoi ? » mais j'ai eu quelques difficultés à m'attacher au personnage de Raphaëlle : peut-être parce qu'elle m'a donné l'impression de ne pas vouloir réellement emprunter ce passage, de ne pas vouloir réellement grandir ni se remettre en question. Peut-être aussi parce que, malgré toute la poésie posée par Lola Nicolle sur les mots de Raphaëlle, je n'ai pas vraiment vibré en même temps qu'elle. Les souvenirs fragmentés sont évoqués dans le désordre, un peu à la manière de notre mémoire qui n'est pas toujours linéaires mais c'est tout de même un peu déstabilisant et j'ai parfois été un peu perdue en me demandant où on en était dans l'histoire. J'ai également trouvé le texte d'une grande tristesse, très mélancolique, il m'a un peu filé le bourdon.

Sans doute parce que j'éprouve rarement autant de nostalgie face aux souvenirs qu'il me reste personnellement de cette période avant et après la fête
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