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Citations sur Le cycle de Gor, Tome 9 : Les maraudeurs de Gor (18)

- Apporte le fouet à cinq lanières, dit Ivar Forkbeard à Gunnhild.
…… Le premier coup la jeta contre le poteau; je vis la stupéfaction, dans ses yeux, puis la douleur; la fille de Thorgard de Scagnar parut paralysée; puis elle hurla pitoyablement; c’est seulement à ce moment-là qu’elle comprit ce que le fouet pouvait faire à une fille.
- Je t’obéirai! cria-t-elle. Je t’obéirai!
Ivar Forkbeard, qui avait l’expérience des captives récalcitrantes, ne frappa pas pendant une ehn. Elle hurla inlassablement qu’elle lui obéirait. Puis il frappa à nouveau. Son corps, une nouvelle fois, fut jeté contre le poteau; ses poignets tirèrent sur la lanière de cuir; son corps tout entier se frottait contre le poteau sous l’effet de la souffrance, se pressant contre lui; les larmes jaillirent de ses yeux; elle était sur la pointe des pieds, serrée contre le poteau; mais le poteau ne céda pas; elle était attachée à lui. Puis il frappa encore. Elle se tordit, tira sur ses liens et hurla.
- Je demande seulement à t’obéir! cria-t-elle. Je supplie de t’obéir.
Quand il frappa à nouveau, elle ne put que fermer les yeux sous l’effet de la douleur. Elle pouvait à peine respirer. Elle hoquetait. Elle ne pouvait plus ni crier ni hurler. Elle se crispa, les dents serrées, son corps tout entier n’étant qu’un hurlement silencieux. Mais le coup ne s’abattit pas. La punition était-elle terminée? Puis elle fut frappée à nouveau. Les cinq derniers coups s’abattirent alors qu’elle se laissait pendre à la lanière de cuir, le corps pressé contre le poteau, le visage contre le flanc de celui-ci. Quand on la détacha, elle tomba à quatre pattes. La punition avait été légère, seulement vingt coups. Néanmoins, à mon avis, la fille de Thorgard de Scagnar n’avait pas la moindre envie d’être à nouveau attachée au poteau. La punition, quoique légère, avait parfaitement rempli son office, à savoir : enseigner le fouet à une captive.
Les femmes n’oublient jamais
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Elle ferma les yeux et respira profondément, impatiemment.
Elle ouvrit les yeux et secoua la tête.
- Qu’est-ce que c’est ? demanda-t-elle.
- Du parfum de capture, répondis-je.
Je lui pris les avant-bras. Ivar Forkbeard, rapidement, s’empara de ses bagues et de ses bracelets. Puis il lui prit ses chaînes en or. Je la fis lever, la tenant par les poignets, Ivar arrachat le filet d’or qui retenet ses cheveux. Ils tombèrent, blonds, jusqu’à ses reins. Il déchira le haut col de sa robe de velours vert, découvrant son cou.
- Qui êtes-vous ? souffla-t-elle.
Il referma les menottes de fer noir sur ses poignets. Ceux-ci, par les menottes et leur unique maillon, étaient immobilisés à une dizaine de centimètres l’un de l’autre.
- Qui es-tu ? souffla-t-elle.
- Un ami de ton père, répondit-il.
Il se débarrassa, rapidement, de la robe des Parfumeurs, en soie jaune et blanche. Je quittai également la robe des Parfumeurs.
……. – Faut-il lui faire respirer à nouveau le flacon ? demandai-je.
Un morceau de tissu et une écharpe, imprégnés du liquide et maintenus sur le nez et la bouche d’une femme peuvent lui faire perdre connaissance en cinq ihns. Elle se débat vigoureusement pendant une ou deux ihns, puis faiblement, avant de s’effondrer. Les Tarniers utilisent parfois cette méthode; les Marchands d’Esclaves l’emploient souvent. On se sert également, parfois, de fléchettes enduites d’anesthésique, pour capturer les femmes; on peut les lancer ou les enfoncer dans le corps; elles font effet en approximativement quarante ihns; la victime reprend connaissance, nue, dans une cage
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Pendant un festin, Marlenus, désireux d’offrir un traitement de faveur à ses officiers supérieurs, leur présenta une danseuse aux oreilles percées. Elle portait, symbole de son humiliation, des anneaux d’or aux oreillles; elle n’avait pas pu aller au terme de la danse; sur un signe de Marlenus, elle avait été saisie, jetée sur le dallage sur lequel elle dansait et violée par plus de cent hommes
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- Et Lèvres Boudeuses ? demanda une autre jeune femme, tombant à genoux devant lui, levant la tête vers lui.
Parfois, on donne des noms descriptifs aux captives. Elle était blonde; elle sentait le verr; c’était probablement elle que j’avais vue, sur la pente, gardant un troupeau de verrs……
- N’oublie pas Jolies Chevilles, Jarl ! s’écria une autre fille, délicieuse petite chose qui n’avait sans doute pas plus de seize ans.
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- Tu le mangeras, dit Forkbeard, sinon tu seras déshabillée et attachée sur la rame…. Dans ce châtiment, la femme, nue ou habillée, est solidement attachée à une rame, les mains dans le dos, la tête en bas, vers la pelle. Quand la rame sort de l’eau, elle s’efforce de respirer, mais se retrouve presque aussitôt plongée dans l’eau. Les filles récalcitrantes passent parfois plusieurs heures sur la rame. Néanmoins, cette forme de punition comporte des dangers car les sleens marins et les requins blancs du Nord tentent parfois de s’attaquer à la fille attachée à la rame. Lorsque la nourriture manque, les hommes du Torvaldsland utilisent souvent une captive, lorsqu’ils en ont une sous la main, comme appât, de cette manière. On utilise toujours la femme la moins séduisante. Cette pratique, naturellement, pousse les captives à faire tout leur possible pour plaire à leurs maîtres. Une ahn sur la rame suffit généralement pour transformer la femme la plus froide et orgueilleuse en captive obéissante, prête à tout pour plaire. La seule technique qui soit considérée comme supérieure est le fouet goréen à cinq lanières, utilisé également dans le Sud, et ce que les Torvaldslandais appellent le Fouet des Fourrures, méthode aux termes de laquelle le Maître, avec son corps, enseigne irrémédiablement son asservissement à la femme
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Les femmes poussèrent des cris de désespoir. Entrer dans le cercle, lorsqu’on est une femme, selon les lois du Torvaldsland, c’est reconnaître qu’on est captive. Naturellement, il n’est pas nécessaire que la femme y entre volontairement. On peut la jeter à l’intérieur, nue et attachée. Quelle que soit la manière dont elle entre dans le cercle, volontairement ou sous la contrainte, libre ou attachée, elle en sort, conformément aux lois du Torvaldsland, captive.
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Aucune femme, incidemment, ne peut devenir Initiée. En conséquence, aucune femme ne peut accéder à la vie éternelle
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- Ces deux femmes, lui dis-je, étaient libres. Par conséquent, dès qu’elles porteront le collier, force-les à boire le vin des esclaves.
- Oui , Capitaine, répondit-il avec un sourire.
Le vin des esclaves est amer, intentionnellement. Ses effets durent plus d’un mois goréen. Je ne voulais pas que les femmes conçoivent. Les esclaves ne cessent de boire le vin que lorsque leur maître a l’intention de leur faire porter un enfant.
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